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France : Société

La justice dit bienvenue à Daech en France

Unknown-25Curieux message que la justice française envoie aux terroristes islamistes : alors que 4 ans de prison avaient été requis contre lui, Jawad Bendaoud, poursuivi pour «recel de malfaiteurs terroristes», a été relaxé par le tribunal correctionnel de Paris.

Le parquet a aussitôt fait appel de cette décision. 

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17 commentaires

  1. Relaxé ! Ils sont fous !
    Peut-on connaître les attendus ?

  2. Les Kollabos de 1940-1944, seront dépassés par ceux de demain !

  3. Ce jugement est surprenant de prime abord.
    Il faut cependant se garder d’une appréciation trop catégorique quand on ne connaît pas l’affaire dans ses détails, tant en fait qu’en droit.
    En Justice chaque affaire est spécifique.
    La motivation du jugement est importante.
    Au-delà de cela on ne peut connaître les raisons de cette décision, le tribunal siégeant en collégialité (1 président et 2 assesseurs, tous les 3 des magistrats professionnels) et délibérant secrètement.

  4. Petit aperçu du genre ” bon p’tit gars bien connu de tous dans sa cité ” qui aide les vielles dames à porter leurs commissions , et qui veut rentrer au pays ”
    La France en l’occurrence !!!!!
    Ca vaut le détour.
    Il n’y a pas d’images violentes ,des paroles seulement .
    https://video-streaming.orange.fr/actu-politique/document-terrifiant-face-a-face-avec-un-executeur-de-daech-VID0000002xOCp.html

  5. Cela vous étonne ? Moi non, le pouvoir maçonnique aux ordres a besoin de ses gens là afin de créer l’ordre par le chaos, vous ne vous êtes jamais demandé si un gouvernement pouvait organiser des attentats contre son peuple afin que par l’émotion suscitée on empêche ce dernier à remettre en cause le gouvernement et le monde qui nous entoure, cela organise un ordre qu’ils maitrisent, car la finalité c’est que par notre peur nous renoncions volontairement à notre liberté pour plus de sécurité par des lois liberticides.
    Regardez les conférences de Monsieur Ploncard d’Assac, il met le doigt dessus…

  6. D’accord avec JE.Et les antifas sont l’autre versant de la mise en place du chaos.

  7. La Justice rouge de notre pays fait toujours des choix curieux au départ qui semblent anodins à tout le monde. Pourtant c’est à ce moment-là que tout se joue.
    Ainsi ce lascar avait la possibilité de passer en Assises. Mais “ils” ont préféré le faire passer en correctionnelle. Comme çà le peuple n’a pas la possibilité de juger. Or le peuple aurait été sévère .
    Les juges, qui sont aux ordres d’une élite corrompue et achetée par l’Arabie Saoudite, sauve ainsi toute cette racaille islamiste !

  8. Ce jugement n’est en rien significatif d’une quelconque incurie de notre Justice, ou même d’une complaisance à l’égard de ces fous que sont les jihadistes.
    Les réactions que l’on voit fleurir sont, elles, bien plus significative d’un mal qui nous ronge: celui de nous tromper de combat ou de cible.
    Aucun élément du dossier ne permet de retenir la culpabilité de M. Bendaoud. Quoique celui-ci soit un rustre ostrogoth doublé d’un idiot de village, peut-on le tenir responsable de son ignorance confite dans l’alcool et le haschish?
    Ici nos magistrats ne méritent nos coups de semonces. Ils n’ont fait qu’appliquer un principe qu’aucun d’entre nous souhaite se voir refuser le bénéfice: pas de condamnation sans preuve.
    Nous pouvons récriminer, nous le devons même, mais pas contre ce jugement, aussi scandaleux puissent-il paraître aux profanes de nos principes juridiques.
    Récriminons plutôt contre quantité de scandales, au premier rang desquels la présence à la présidence du Conseil constitutionnel d’un homme qui a de fait favorisé le jihadisme lorsqu’il était au Quai d’Orsay. Les motifs de scandale sont nombreux, mais le jugement rendu à l’encontre de M. Bendaoud, pour lequel vous aurez compris que je n’ai pas l’once d’un sentiment de sympathie, n’en fait pas partie.

  9. Après ça, tu m’étonnes qu’ils veuillent tous revenir !….

  10. Ce jugement n’est en rien significatif d’une quelconque incurie de notre Justice, ou même d’une complaisance à l’égard de ces fous que sont les jihadistes.
    Les réactions que l’on voit fleurir sont, elles, bien plus significative d’un mal qui nous ronge: celui de nous tromper de combat ou de cible.
    Aucun élément du dossier ne permet de retenir la culpabilité de M. Bendaoud. Quoique celui-ci soit un rustre ostrogoth doublé d’un idiot de village, peut-on le tenir responsable de son ignorance confite dans l’alcool et le haschish?
    Ici nos magistrats ne méritent pas nos coups de semonces. Ils n’ont fait qu’appliquer un principe qu’aucun d’entre nous ne souhaite se voir refuser le bénéfice: pas de condamnation sans preuve.
    Nous pouvons récriminer, nous le devons même, mais pas contre ce jugement, aussi scandaleux puisse-t-il paraître aux ignorants de nos principes juridiques.
    Récriminons plutôt contre quantité de scandales, au premier rang desquels la présence à la présidence du Conseil constitutionnel d’un homme qui a de fait favorisé le jihadisme lorsqu’il était au Quai d’Orsay. Les motifs de scandale sont nombreux, mais le jugement rendu à l’encontre de M. Bendaoud, pour lequel vous aurez compris que je n’ai pas l’once d’un sentiment de sympathie, n’en fait pas partie.

  11. Si le jugement prononcé dépasse l’entendement pour moi, (je rejoins Exupéry et jejomau), le commentaire d’EROUANI est intéressant pour bien comprendre le “fonctionnement” de la justice en France…
    Le droit et l’élémentaire bon sens ne font vraiment pas bon ménage !

  12. d’abord la qualification de logeur et non de complice annonçait la couleur!
    la relaxe ensuite!
    ces juges participent au suicide de la France

  13. Peut-être a t il droit à des dommages et intérêts ???

  14. Entièrement d’accord avec Etienne.
    Ce monsieur est certes totalement antipathique, il a de facto apporté une aide aux terroristes, mais rien ne prouve qu’il ait eu connaissance de leurs projets. Si les lecteurs du SB et autre jurés du café du commerce ont des preuves, qu’ils les fournissent à la Justice. Ce n’est pas parce que la plupart des protagonistes des attentats sont morts, qu’un lampiste doit servir de bouc émissaire.
    Certains d’entre vous louent peut être une chambre via “air B&B” ou une résidence secondaire, qui vous dit que vos locataires ne sont pas des terroristes ? Si je prends un type en stop ou en covoiturage, et que cet inconnu s’avère être un bandit en cavale, un tueur en série ou un violeur pédophile, je dois être condamné pour complicité ?

  15. Les Collabos d’aujourd’hui n’ont absolument rien à voir avec ceux que l’on appelait les Collabos en 40. Aujourd’hui ils trahissent la France, le sol et le sang du peuple de souche, par le métissage imposé et le grand remplacement…
    Les Collabos de 40-44 contrairement à ce que l’on pense dans l’esprit unique qu’est notre société se battaient pour une France anti-maçonnique et anti-communiste et socialiste, ce fut d’ailleurs l’une des premières actions du Maréchal Pétain : interdire les loges franc-maçonnes qui avaient main mise sur le pouvoir et l’ensemble des institutions.
    La France aurait put être grande et le serait encore s’il n’y avait pas eu un certain général par ordonnance retrouvant son grade de colonel et mis à la retraite par la IIIème République pour désertion face à l’ennemi en refusant de revenir d’en Angleterre…
    On ne refait pas l’histoire, surtout celle des vainqueurs.

  16. Pour répondre à patphil le terme “logeur” n’est pas juridique.
    Il relève tout au plus du langage journalistique.
    Le terme “complice” est par contre approprié mais répond à des conditions précises. La loi pénale est d’application stricte.
    Affirmer que ces juges participent au suicide de la France est rapide. C’est une affaire de cas d’espèce.
    Les juges appliquent le droit positif, qui était en vigueur lors des faits poursuivis.
    Que serait la France sans un état de droit? Une république bananière?

  17. La justice n’est pas affaire de braillards. Les discussions du Café du commerce n’ont rien à voir avec le droit.
    La question posée à la justice n’était pas : aimez-vous ce monsieur ? lui donneriez-vous la main de votre fille ? voteriez-vous pour lui à l’élection présidentielle ? a-t-il l’air d’apprécier les Français ? est-il bien intégré ? Mais : était-il complice d’attentats terroristes, selon les termes de la loi ?
    Défendre une justice politique, une justice qui se prononce selon la “note de gueule”, c’est appeler de ses voeux une justice arbitraire, susceptible de nuire à n’importe qui. Y compris à vous.
    Méfiez-vous du sectarisme et du tribalisme. Si jamais ils deviennent la norme en France, il sera très difficile de rétablir la justice. Il est facile de briser les antiques règles. Il est beaucoup plus difficile de les rebâtir. Craignez qu’une vindicte malavisée ne se retourne rapidement contre vous.

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