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Communisme

La Fête de l’Huma, le masque du communisme intrinsèquement pervers

Lu sur l'Observatoire du Parlement :

H "Voilà comment le Monde présente la "Fête de l'Huma" :

"C'est bien là le paradoxe de la Fête de L'Huma depuis sa création : à gauche toute, fréquentée par des artistes sans étiquette, des anars de gauche et de droite (Jacques Dutronc, le 12) ou même engagés chez l'ennemi de classe (concerts mémorables de Johnny Hallyday, en 1985 et 1991), des groupes fameux (Madness ou Simple Minds, le 11) et des chanteurs dont le coeur penche vers l'humain (Alain Souchon, le 11). "Une très belle fête s'annonce", se réjouit la direction du journal. En 2009, quelque 600 000 entrées avaient été enregistrées."

Aucun retour critique sur ce journal, organe du Parti communiste, qui pendant des décennies a déversé son fiel sur toute pensée non conforme aux directives de Moscou, allant de l'insulte à l'appel au meurtre ! L'Huma est le journal du totalitarisme rouge en France. La Fête de l'Huma, c'est le décor popu et bon enfant qui masque l'arrière-boutique, celle des procès en tout genre, de la haine de classe et de personne. Mais en France, avec un bon battage médiatique, avec l'omerta pratiquée sur les crimes du communisme par le monde enseignants, les médias et les politiques, tout cela passe sans accrocs. Pas étonnant si ce pays oublie son histoire, ses racines et finit par être le camp permanent du politiquement correct et le premier a expérimenter la fin de la cutlure européenne et de sa population !"

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8 commentaires

  1. Si nous devions ne retenir qu’une chose dans l’aventure communiste à la française, ce serait la collaboration inconditionnelle avec les nazis jusqu’en juin 41.

  2. @ Papon
    Oui, et il faudrait particulièrement se souvenir des sabotages organisés dans les usines d’armement (mon père en fut témoin) jusque pendant la “drôle de guerre” (Pacte germano-soviétique oblige), mais aussi de l’avalisation du Goulag, d’Aragon chantant le Guépéou, et d’Eluard légitimant les “procès de Moscou”, à la guerre faite à Kravchenko dénonçant les camps dans son livre publié en France en 1947, et à la plus récente campagne de diffamation à l’égard de Soljenitsyne.

  3. Non, non: il y a aussi fin 1947 le déraillement de l’express postal Paris-Tourcoing qui fit 16 morts et une trentaine de blessés…, et le sabotage des munitions dans les arsenaux pendant les guerre d’Indochine et d’Algérie, le financement par les communistes français des adversaires durant ces deux conflits… Et la liste n’est pas exhaustive…

  4. Les racines du PC au sein de la classe intellectuelle au lendemain de la libération ont résisté à toutes les révélations de l’univers communiste , depuis le procés Kravtchenko aux diverses répressions sanglantes de Budapest , Prague etc… et malgrè la faillite sociale et économique qui a provoqué l’effondrement de l’URSS.
    Une exception française !
    Incroyable.
    Et tous ces journalistes si sourcilleux sur les droits de l’homme devenus moutons bêlants dès qu’il s’agit du communisme.
    Hélas des cathos n’y “chappent pas .

  5. Il y a aussi la politique du pire en matière d’imigration et de peuplement par le soutien inconditionnel à ce qui est halogène et contraires aux lois immémoriales de la France.

  6. Le cadavre bouge encore et…chez nous !

  7. J’avais été une fois à la fête de l’huma il y a une dizaine d’années, car il était proposé des “débats sous la tente” avec Régis Debray et certain “évêque in partenium”. J’ai été assez déçu de la teneur de ces débats, la seule chose que j’en retiens est une formule (ironique?) de Mgr. Gaillot (faisant allusion à la gadoue omniprésente qui semble être l’une des caractéristiques de cette fête): “les chemins de la Vérité sont boueux”….
    sinon, je n’ai pas été frappé par la convivialité de l’événement, les Camarades préférant apparemment ne s’adresser la parole qu’entre eux, en revanche, la pub pour les grandes sociétés capitalistes (Matra, Coca-Cola(!)) était omniprésente…à méditer.

  8. Ne croyez pas que ces artistes font ça à l’oeil ? Jean-Philippe Smet l’avait bien dit : “je chante là où on me donne de l’argent”.

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