Extrait d'un communiqué de Jacques Bompard, maire d'orange :
Malgré la propagande de certains médias, malgré la collaboration de la gauche socialo-communiste à une entreprise permanente de dénationalisation des esprits, les faits parlent d’eux-mêmes et informent les Français sur la triste réalité de leur pays.
Dans ce contexte, on peut s’interroger sur la politique étrangère du gouvernement qui, depuis plusieurs années, n’a eu de cesse d’installer dans certains pays arabes des États islamistes, parfois avec des moyens militaires comme en Libye.
Puisse cette tragique affaire être un avertissement pour ceux qui nous dirigeront au soir du 7 mai prochain. Il en va de l’avenir de la France et de l’Europe."
Olivier M
Même si j’ai peu de considération pour Bompard, ce qu’il déclare ici est entièrement exact.
Au rythme où on va, la France n’échapera pas à la charia d’ici 20 ans.
Noe
Pourquoi dénoncer les effets sans jamais montrer les causes derrière ces évènements dont le côté “tragique” sert de caisse de résonance à ceux qui veulent instrumentaliser des faits qui semblent le “fruit du hasard et de la nécessité”? D’aucuns verraient dans la survenance de cette tragédie la conséquence d’un laxisme, certes regrettable mais néanmoins voulu et planifié de longue date, sans que jamais le peuple ne soit consulté sur l’opportunité de laisser se poursuivre des phénomènes migratoires qui dépassent de loin les justifications économiques qui les avaient justifiés à l’origine. Maintenant que l’ennemi est dans la place, il est trop facile de crier au loup après avoir ouvert toute grandes les portes du poulailler sous prétexte de lutte contre le racisme et de la richesse du métissage culturel et ethnique. D’aucuns se complairaient dans une analyse perfide en discernant un lien de cause à effet entre la lutte contre le terrorisme et la création des conditions à la survenance du terrorisme qui regroupent les mêmes personnes à la tête de l’Etat. Alors, de là à penser que les partisans de l’islamisation de la société française sont les fossoyeurs de la démocratie sur l’autel de l’Etat sécuritaire, il n’y a qu’un pas. Tout semble se passer en effet comme si une coterie tirait profit du chaos, que ce soit sur les marchés financiers, dans les luttes sociales, dans les controverses sanitaires, ou dans les disputes à propos de la diversification énergétique pour faire avancer son agenda mondialiste, en imposant leur nouvel ordre moral comme rempart contre les conséquences catastrophiques de phénomènes qu’elle a elle-même créés et amplifiés.