Lors d’un discours à Dallas (Texas), mercredi 18 mai, George W. Bush a commis un lapsus en évoquant la guerre en Ukraine. L’ancien président américain a dénoncé
“la décision d’un homme de lancer une invasion totalement injustifiée et brutale de l’Irak”.
Avant de faire une grimace et de se corriger : “Je veux dire, de l’Ukraine.”
Speaking in Dallas this afternoon, former President George. W Bush made a significant verbal slip-up while discussing the war in Ukraine.
He tried referencing what he described as the “wholly unjustified and brutal invasion” — but said Iraq, instead of Ukraine. pic.twitter.com/tw0VNJzKmE
— Michael Williams (@michaeldamianw) May 19, 2022
Collapsus
Le gâtisme de Biden serait-il contagieux ?
Clofer
D’après les psychanalystes, il n’existe absolument aucune chance qu’un lapsus soit innocent. Il a donc révélé à l’insu de son plein gré, la stricte vérité.
Michel
Le politiquement correct mondialiste dénonce l’attaque de l’Ukraine par la Russie mais ne trouve rien à redire à celle de l’Irak par les États-Unis ni aux bombardements de Belgrade par les forces de l’OTAN, fauteur de guerre avéré…
Reine Tak
Le péché a rattrapé le pécheur.
Chantal de Thoury
Il y a un proverbe a mediter aussi bien pour soi que pour les autres , il nous oblige a rester humble et reflechir sur les paroles et actes que nous aurions peut etre nous meme la faiblesse d’accomplir …proverbe qui est ” On ne reproche aux autres que ses propres turpitudes” .
La Sagesse nous apprend par la parole du Christ qu’il vaut mieux ne pas juger pour ne pas être jugé
Contentons nous de juger l’acte mais non la personne qui l’a commise.
Je sais c’est difficile car comme un grand nombre je chutes moi-meme en posant je l’avoue ,..parfois des jugements temeraires ; cela est d’autant plus grave quand on a des responsabilites étendues.
Pour Busch, un petit coup de pouce de la Providence sur sa langue peut peut etre changer certaines orientations imperialistes de nombeux americains qui reflechiront à son lapsus et devenir un Bien pour les faire quitter leur sale habitude de vouloir tout régenter sur la planète dans le sens possessif du terme et non pour le Bien commun de L’humanité.
philippe paternot
chassez le naturel il revient au galop