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Culture : cinéma / Culture de mort : Avortement

Faire une comédie légère sur une grossesse non désirée, c’est… un entrave à l’avortement

Faire une comédie légère sur une grossesse non désirée, c’est… un entrave à l’avortement

Venue du quotidien Le Monde, Maïa Mazaurette intervient désormais dans Quotidien, de Yann Barthès. Dans Le Monde, elle avait écrit sur l’affaire Matzneff un article intitulé “Il faut parler de pédophilie (mais sans clichés)”. Cet article utilisait une des méthodes préférées du Monde : le relativisme. Avec une mise au point assez troublante :

  1. Les pédophiles ne sont pas forcément des agresseurs d’enfants
  2. La majorité des agresseurs d’enfants ne sont pas pédophiles
  3. Il faut arrêter de parler de « prédateurs sexuels »
  4. Il faut arrêter d’enfermer les victimes dans une identité définitive de victime

Dans Quotidien, elle s’en est prise à une comédie qui parle de grossesse non désirée : “il y a entrave à l’IVG donc 2 ans d’emprisonnement et 30.000 euros d’amende, quand même”

L’actrice Marina Foïs en est tombée des nues…

Invitée pour la promotion de la comédie Énorme, la comédienne a été désagréablement surprise par le contenu de la chronique de Maïa Mazaurette. L’histoire? «Un homme fait un bébé dans le dos de la femme qu’il aime alors qu’elle n’en veut pas», a résumé en quelques mots Yann Barthès. Pour y parvenir, le personnage remplace les pilules contraceptives de sa compagne par des sucrettes. «Ce n’est pas bien», a tenu à souligner le comédien sur le plateau de «Quotidien». Un point de vue que Maïa Mazaurette va développer et argumenter de manière très sérieuse en consacrant sa chronique «La zone Mazaurette» au contenu du film.

«Vous avez failli briser mon couple avec votre histoire de grossesse imposée». «Est-ce une comédie, un drame ou un film d’horreur?»«Nous avons un personnage sympathique qui commet une action horrible pour des raisons touchantes. La fin justifie-t-elle les moyens?». «Le personnage prémédite une grossesse forcée, un événement pas banal dans la vie d’une femme et qui peut potentiellement tuer une femme». «Légalement, il n’y a pas de qualification pénale pour la fécondation forcée mais il y a entrave à l’IVG donc 2 ans d’emprisonnement et 30.000 euros d’amende, quand même…»

Ridicule ou totalitaire ? Le visage de l’actrice parle de lui-même.

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