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Médias : Nouveaux médias

Evolutions de l’application moncycle.app

Evolutions de l’application moncycle.app

Dédiée aux méthodes naturelles, l’application moncycle.app permet le suivi de l’évolution de la glaire cervicale et de la température corporelle (optionnel) sans pseudo intelligence prédictive, simple sur téléphone comme sur PC, hébergée et développée en France…

Depuis 1 ans, il y a eu beaucoup de mise à jour:

  • Elle est compatible avec les méthodes symptothermiques et fertilitycare (napro).
  • Une nouvelle page permet de de visualiser 2 ans de cycles
  • Beaucoup de petites optimisations qui rendent la vie des utilisateurs plus faciles

L’application tire sa valeur dans:

  • Made in France: les données sont hébergées chez OVH
  • Respect des méthodes naturelles sans intelligence artificielle : l’application se base sur l’intelligence humaine
  • Une interface adaptée aux téléphones portable

Bref, pas d’intelligence artificielle, pas d’interprétation, pas d’écriture inclusive, pas de pub …

moncycle.app n’a pas pour objectif de prédire ou de contrôler la bonne application des méthodes (ni de remplacer vos moniteurs) mais seulement de proposer un support numérique. Vous restez le cerveau derrière votre tableau. Si vous ne connaissez pas les méthodes naturelles ou si vous avez des questions sur les règles de celles-ci, rapprochez-vous d’un moniteur de l’une des associations ci-dessus.

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11 commentaires

  1. Et vous trouvez très malin de parler de cette méthode qui a dépeuplé les foyer chrétiens en leur donnant bonne conscience.
    Le diable s’infiltre partout, même au salon beige !
    Pensez vous une seule seconde que le Seigneur permettrait une fécondation qui ne serait pas la bienvenue ?
    Certes dans des cas très précis et très rares l’église autorise les parents chrétiens de se dispenser momentanément du très grave devoir de donner la Vie, cela ne justifie par de promouvoir et de tenter de généraliser ces méthodes d’évitement des naissances.
    Les Familles chretiennes, nombreuses voir très nombreuses sont le remède à bien des maux de notre France: l’invasion migratoire, la crise des retraites, la désertification des églises, le manque de prêtres, la paganisation de l’école, le chômage, etc……
    Faites donc un peu confiance au Bon Dieu !

    • Je ne suis pas certain que vous ayez raison en écrivant : « cette méthode qui a dépeuplé les foyer chrétiens en leur donnant bonne conscience ». Les foyers chrétiens continuent à avoir des familles nombreuses même s’il y a beaucoup de foyers qui se disent chrétiens mais qui utilisent sans complexes la pilule et le stérilet sans se compliquer la vie avec la régulation naturelle. Ceux qui utilisent ces méthodes par intermittence ne pensent en général pas « une seule seconde que le Seigneur permettrait une fécondation qui ne serait pas la bienvenue ? »

    • Vous écrivez « Certes dans des cas très précis et très rares l’église autorise les parents chrétiens de se dispenser momentanément du très grave devoir de donner la Vie ».
      Sur quels textes vous basez-vous ? J’ai lu tout autre chose dans l’encyclique Humanae Vitae : dans ce domaine, les parents sont seuls décisionnaires, l’Église simple conseillère.

      Il ne faut surtout pas considérer les méthodes naturelles de régulation des naissances comme une « contraception catholique », sinon effectivement on s’oppose à sa vocation de parents en refusant l’accueil de la vie.

      • On trouve cet enseignement notamment dans les textes de Pie XI et ceux de Pie XII :
        “Par suite, embrasser l’état de mariage, user constamment de la faculté qui lui est propre et qui n’est licite que dans ses limites,et, d’autre part, se soustraire toujours et délibérément, sans un grave motif, à son devoir principal, serait un péché contre le sens même de la vie conjugale.

        On peut être dispensé de cette prestation positive obligatoire même pour longtemps, voire pour la durée entière du mariage,par des motifs sérieux, comme ceux qu’il n’est pas rare de trouver dans ce qu’on appelle “ l’indication ” médicale, eugénique,économique et sociale. D’où il suit que l’observation des périodes infécondes peut être licite sous l’aspect moral, et, dans les conditions indiquées, l’est réellement. Cependant, s’il n’y a pas, d’après un jugement raisonnable et juste, de semblables graves raisons, soit personnelles, soit découlant des circonstances extérieures, la volonté chez les époux d’éviter habituellement la fécondité de leur union, tout en continuant à satisfaire pleinement leur sensualité, ne peut venir que d’une fausse appréciation de la vie et de motifs étrangers aux règles de la saine morale”

      • D’ailleurs je crois qu’Humanae Vitae, où les choses sont dites de manière très diplomate à cause de l’immense pression qui pesait sur le pape, mentionne ces motifs sérieux, et l’interprétation traditionnelle été confirmée depuis

        “A l’occasion du 40ème anniversaire de l’encyclique Humanae Vitae, Benoît XVI a rappelé le sens profond et l’actualité de cet encyclique. Exclure la possibilité de donner la vie “au moyen d’une action visant à empêcher la procréation signifie nier la vérité intime de l’amour conjugal”, a déclaré le pape. La seule possibilité, ajoute le pape pour “suspendre” ou “espacer” une naissance doit être justifiée par des “circonstances graves” et se trouve “dans la connaissance des rythmes de fertilité de la femme”

        Pour revenir à votre commentaire, les parents sont en effet décisionnaires en leur âme et conscience, mais l’Eglise est chargée d’énoncer les règles permettant d’éclairer sa conscience sur les questions de morale

  2. Merci Ydelo d’avoir pris le relai !
    Ces vérités sont trop souvent cachées et trop rarement exprimées, même dans la frange tradi du clergé qui hésite à proclamer que la procréation est un devoir pour tout foyer chrétien.

    Ces méthodes dites naturelles ne servent qu’à diminuer le nombre de naissances dans les foyers cathos, à empêcher de naître entre autres les prêtres qui nous manquent tant.
    Certains même les enseignent dans les sessions de préparation au mariage !!
    Remplaçons la prudence humaine par la confiance en Dieu !

  3. L’activité sexuelle du couple doit être conduite avec Prudence et de manière responsable : « Les époux qui veulent conduire harmonieusement leur vie conjugale se heurtent souvent de nos jours à certaines conditions de vie et peuvent se trouver dans une situation où il ne leur est pas possible, au moins pour un temps, d’accroître le nombre de leurs enfants » (Gaudium et Spes 51).
    Quand les circonstances l’imposent, la régulation des naissances est non seulement légitime, mais même nécessaire. Il faut avoir confiance en la Providence, certes, mais se mettre dans des situations impossibles ne traduit qu’un manque évident de Prudence. « La paternité responsable s’exerce soit par la détermination réfléchie et généreuse de faire grandir une famille nombreuse, soit par la décision, prise pour de graves motifs et dans le respect de la loi morale, d’éviter temporairement ou même pour un temps indéterminé une nouvelle naissance » (Humanae Vitae).
    La bonne mesure du nombre d’enfant à accepter est peut-être, de ce point de vue, « un de plus qu’il ne paraît raisonnable ». S’il paraît raisonnable d’en avoir deux, compte tenu de l’équilibre de la famille et de ses moyens financiers, la confiance en la providence conduit à accepter le « risque » que peut représenter un troisième. S’il paraît « raisonnable » de ne pas en avoir, il s’agit souvent d’une réflexion motivée par l’égoïsme, et accepter l’éventualité d’une naissance est la voie dans laquelle le couple peut s’engager pour s’ouvrir aux autres.
    Mais malheureusement, la conduite raisonnable peut être parfois très négative, et si le « raisonnable » paraît être d’avorter en cas de grossesse, quelle qu’en soit la raison (et la « raison » sera certainement mauvaise), la bonne mesure dictée par la Prudence est dans ce cas de ne pas s’exposer à une situation aussi dramatique. Même moralement sujette à caution, la contraception est évidemment dans ce cas un moindre mal, en regard de la situation dramatique à laquelle exposerait de fait une grossesse : « un de plus » qu’un nombre négatif reste tout au plus zéro, et ça restera dans ce cas le chiffre à ne pas dépasser.
    Et si c’est une « structure de péché » (Evangelium Vitae 12) qui rend la procréation inacceptable, la réponse adaptée, en réponse à cette tension morale, est probablement de lutter contre cette structure, non pas de s’exposer au malheur en ayant un enfant malgré tout : quand cette structure de péché sera renversée, l’ouverture à la Vie redeviendra possible, que ce soit pour soi ou pour d’autres. « La recherche pénible et toujours nouvelle d’ordonnancements droits pour les choses humaines est le devoir de chaque génération » (spe salvi facti sumus). A chaque jour suffit sa peine, et il faut savoir choisir ses combats (quand on le peut).

    • En bonne morale il n’est pas licite de commettre un mal (la contraception) pour en éviter un pire (l’avortement), d’autant plus qu’il n’est jamais “raisonnable” d’avorter c’est à dire de tuer son prochain.

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