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France : Société

En France on préfère financer l’avortement que les soins pédiatriques

En France on préfère financer l’avortement que les soins pédiatriques

Cela devient difficile d’accuser le Covid et les non-vaccinés d’occuper tous les lits d’hôpitaux… Ce n’est pas parce qu’il y a plus de malades que l’hôpital est en crise, mais parce que des choix politiques ont été pris, qui conduisent notre pays à ressembler de plus en plus au Tiers-Monde.

Parmi les choix politiques contestables, il y a la culture de mort, mais aussi l’immigration :

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10 commentaires

  1. Il est bien difficile de trouver quelques cohérence et utilité sanitaires aux travaux de l’ARS!
    Des lits de supprimés , des structures de fermées , sans rien mettre en place pour palier ces suppressions de prestations médicales!

    Quid des conseils de l’Ordre?
    Comment peuvent-ils se taire devant un tel désOrdre sanitaire ?

  2. la République , c’est le Progrès du Tiers Monde;
    la République fait retourner de ce qui fut la plus brillante civilisation du monde à l’ âge de pierre

  3. Petite remarque ! Les COVID n’ont jamais occupé les lits de pédiatrie…les enfants ne faisant pas de formes graves. Mais effectivement, fermetures de lit à tout va depuis des années. Notons également la non revalorisation des honoraires depuis des années sauf pour l’IVG afin d’essayer de rendre cet acte “attractif”.

  4. Desolé de rappeler que le conseil national de l ordre des medeçins a ,quand il le veut,le pouvoir de prendre des decisions à caractere politique .. Quid du Pr RAOULT et plus récemment du Pr Peronne avec en plus une petite “giflette” reçue par la chambre disciplinaire d IDF,du Dr Stephane GAYET à Strasbourg et de tant d’autres generalistes durant ces 24 derniers mois.
    Et devant le champ de ruine qu’est devenu la sante dans ce pays,la réactivite de ce Conseil est affligeante mais il ne faut surtout pas froisser le pouvoir si l’on veut sa rosette en juillet ou décembre!!

    • les médecins ont pour patron la Sécu , donc l’ Etat républicain;
      et ils sont tenus en laisse par Big Pharma , comme la caste politico-médiatique.
      tout est verrouillé , entouré de barbelés,
      , surveillé avec des miradors.

    • Ce ne sont qu’indirectement des décisions à caractère politique. Le jugement du Pr Perronne a concerné des éléments de déontologie. Ca n’est politique que parce que le Pr Perronne s’est investi dans le champ politique en critiquant la gestion gouvernementale du COVID. Je ne suis pas certain (à vérifier mais a priori ça n’est pas son rôle) que le Conseil de l’Ordre se soit exprimé sur les positions médicales des uns et des autres.

  5. Puisque nos gouvernants acceptent d’accueillir tout le 1/3 monde chez nous, il est logique que notre système de santé se tiers-mondise en conséquence…

  6. On juge, dit-on, l’arbre à ses fruits. Mais ne faut-il pas aussi le juger à ses racines ? Notre “chère” et couteuse République n’est-elle pas issue d’un bain de sang révolutionnaire de 1789, d’un régime de terreur de 1792-1793 et d’un génocide, celui de la Vendée et d’autres exactions commises un peu partout en France ?
    Les graves problèmes de l’hôpital et de la santé en général, tout comme ceux de l’école et de l’université, mais également ceux de la police et de la justice sont la conséquence de la révolution permanente qui se déchaîne contre la personne humaine.
    Le choix de la République, c’est celui de la “culture” de mort. Le “droit” à l’avortement a enclenché celui au “mariage” gay, qui lui-même a provoqué la PMA et bientôt la GPA. L’euthanasie et le suicide assisté, qui sont en route, “couronnent”, si j’ose dire, le cycle infernal qui brise tant de vie. Car si l’on peut tuer légalement un enfant dans le sein maternel, deux hommes ou deux femmes peuvent légalement se “marier” et avoir des enfants. Où est le problème, vous dira-t-on, puisque cela se fait ?
    La guillotine a été remplacée par les forceps pour assassiner la vie des tout petits qui ne demandent qu’à naître, et ce, dans ce que l’on ose encore appeler maternités. Et tout cela se passe avec le concours des organes officiels de la République : état, sécurité-sociale, hôpital public, gouvernement et chef de l’État lui-même. Ce même chef n’a-t-il pas voulu faire inscrire le “droit” à l’avortement dans la charte des Droits fondamentaux de l’Europe ? N’y-a-t-il pas là un crime en bande organisée avec association de malfaiteurs ?
    Comme le disait saint Augustin d’Hippone :
    “À force de tout voir, on finit par tout supporter… À force de tout supporter, on finit par tout tolérer… À force de tout tolérer, on finit par tout accepter… À force de tout accepter, on finit par tout approuver !”
    Si l’État veut retrouver son prestige, sa force et sa légitimité, il ne peut que s’engager dans des œuvres de vie.
    Mais il appartient à chacun de bien voir ce qui se passe pour ne plus supporter l’injustice et le mensonge que, sinon, on finirait par tolérer, à accepter et à approuver.

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