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Communisme

En 2021, en France, il y a encore, toute honte bue, un candidat communiste

En 2021, en France, il y a encore, toute honte bue, un candidat communiste

Bernard Antony, président de l’Agrif communique :

Fabien Roussel, le patron du parti communiste en France, est aussi candidat aux élections présidentielles de 2022.

Dans une parfaite continuité d’abjection lénino-stalinienne ce personnage a sans vergogne appelé à ce que soit interdite la candidature d’Eric Zemmour.

Mais c’est le fait qu’il puisse y avoir encore aujourd’hui en France un candidat communiste qui est particulièrement monstrueux.

Dès son congrès de Tours à la fin de l’année 1920, le parti communiste français, approuvant les « 21 conditions de Moscou » rédigées par Lénine, entamait l’histoire de son approbation inconditionnelle du système soviétique dans toute son ampleur criminelle jusqu’en 1990.

C’est le 16 novembre 1948 que devant l’Assemblée nationale, le Ministre de l’Intérieur, le socialiste Jules Moch, héros des deux guerres, père d’un fils résistant tué par la Gestapo, martelait, pesant bien ses mots dans un discours titré « le communisme et la France » : « Le bolchevisme moderne est la plus gigantesque entreprise de dépravation de l’homme qui ait jamais existé. »

Le parti du camarade Roussel avait approuvé en 1920 la création de la Tchéka, la police politique d’extermination omniprésente, omnipuissante, voulue dès 1917 par Lénine et Troski, dirigée par Félix Dzerjinski, monstre de cruauté, qui officiait à la Loubianka, le grand centre de la torture soviétique au cœur de Moscou. Ce dernier exigeait des tortionnaires qu’il recrutait de «  faire souffrir le plus possible et le plus longtemps possible » ses victimes.

Dans le quotidien du parti, l’Humanité, son poète Aragon a appelé de ses vœux la création d’un « Guépéou » (nouveau nom de la Tchéka) à la française, et à chanter « l’éclat des fusillades ».

Le parti du camarade Roussel a approuvé l’organisation par la Tchéka puis par le Guépéou, puis par le NKVD, des famines génocidaires des paysanneries d’Ukraine et du Caucase pendant les années 1930-1932 avec plus de cinq millions de victimes. Il a approuvé la grande Terreur des « purges » staliniennes des années 30.

Le parti du camarade Roussel a glorifié avec Aragon les éliminations des dirigeants soviétiques  que Staline n’aimait pas, par les Procès de Moscou.

Le parti du camarade Roussel a approuvé les tortures et éliminations perpétrées par les communistes pendant la guerre civile espagnole bien sûr contre les nationalistes mais aussi contre les autres composantes du camp dit « républicain ».

Ce parti, doublement collabo, a soutenu le pacte germano-soviétique entre Hitler et Staline signé le 24 août 1939. Il a approuvé l’invasion de la moitié de la Pologne par la Wehrmacht le 1er septembre, et celle de l’autre moitié par l’armée rouge, le 17 septembre. Il n’a rejoint la Résistance en France, après dix huit mois de collaboration qu’après l’éclatement de la guerre en juin 1941 entre soviétiques et nazis.

Ce parti a choisi délibérément le camp de la trahison au profit du Viêt-Minh pendant la guerre d’Indochine. C’est un de ses agents, le traitre-tortionnaire Georges Boudarel, qui a lui-même tenu les fonctions de « commissaire politique » dans le camp 113 où la proportion des morts fut égala celle des camps de la mort du nazisme.

Ce parti a soutenu pendant la guerre d’Algérie le camp des ennemis de la France.

Mais on n’en finirait pas d’esquisser le bilan du communisme, du plus gigantesque système de mort qui ait jamais existé en effet, avec désormais ses plus de cent millions de victime .

Comme l’écrivait le grand Soljenitsyne : « le communisme tuait avant que le nazisme ne tue, il tue hélas toujours alors que le nazisme a été heureusement vaincu. »

On ne s’abaissera pas à exiger que le camarade lénino-stalinien Roussel ne puisse se présenter à l’élection présidentielle.  Mais le triste pour notre pays est qu’il puisse y avoir encore chez nous un parti communiste et un candidat pour le représenter.

En revanche, plus que jamais s’impose pour l’honneur de l’Histoire la mise sur pied d’un tribunal international pour juger des crimes communistes contre l’humanité. Nous avions été les premiers à réclamer cela dès 1979 lors de notre campagne « contre l’organisation en 1980 des Jeux Olympiques à Moscou, pays du goulag. »

Aujourd’hui, alors que en Chine, en Indochine, en Corée-du-nord, le communisme tue toujours immensément et que ses virus mutants se propagent dans les révolutions « woke » et islamo-gauchistes, la nécessité de ce tribunal s’impose toujours.

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