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Culture de mort : Idéologie du genre

Emprisonné pour avoir refusé d’utiliser un pronom neutre pour appeler un élève trans

Emprisonné pour avoir refusé d’utiliser un pronom neutre pour appeler un élève trans

Lundi 5 septembre, un enseignant catholique a été emprisonné en Irlande pour avoir refusé d’appeler un de ses élèves transgenre par un pronom neutre.

Devant le tribunal, il a affirmé avoir été suspendu par l’école pour avoir refusé d’appeler un de ses élèves « un garçon » comme étant « une fille ». À la suite de cette affaire, il avait été suspendu. Il est revenu à l’école vendredi 2 septembre. La police de l’établissement l’a arrêté lundi 5 septembre et l’a transféré au tribunal de Dublin. Le juge a demandé l’incarcération du professeur pour qu’il respecte la décision de l’école. Se conformer aux ordres serait « un mépris » de ses propres croyances chrétiennes profondes. Accepter de se conformer à l’ordonnance du tribunal, a-t-il dit, reviendrait à enfreindre sa propre morale, son éthique et ses opinions religieuses.

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9 commentaires

  1. les satyres de Sodome font la loi;
    la schlague pour les contempteurs.

  2. Suppôts de Satan. Bravo à cet homme courageux.

  3. L’Irlande est pourrie par l’européisme de ses dirigeants…

  4. Et cela se passe dans la, jadis, si catholique Irlande !!!!!!!!!!!!!!

  5. noble attitude !! il prend de gros risques ! mais il vaut mieux obeir à Dieu qu’aux androgynes !!

  6. “Heureux êtes vous si on vous persécute… à cause de mon nom…”

  7. On sait la fragilité des “choix” d’identité à l’adolescence. Toutes les identifications, qui sont par définition imaginaires, sont à portée de la moindre influence, directe ou indirecte. D’autre part on commence à connaitre le futur de bon nombre de ces enfants transexuels : le regret, le désespoir, voire pire. En fait cet enseignant peut certes plaider les convictions religieuses, mais on peut aussi plaider, d’une manière générale, le refus catégorique de participer à la destruction psychique de ces jeunes, refuser de les pousser vers ces voies incertaines. Pourquoi dans tous ces cas l’argument de minorité n’est pas respecté ?

  8. “On sait la fragilité des “choix” d’identité à l’adolescence”
    aurais été adolescent ? jamais je ne me suis pris pour quelqu’un d’autre

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