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France : Politique en France

Elisabeth Borne Premier ministre, la gauche caviar à Matignon

Elisabeth Borne Premier ministre, la gauche caviar à Matignon

Ancienne directrice de cabinet de Ségolène Royal au ministère de l’Ecologie en 2014, Elisabeth Borne a été préfet de la Région Poitou-Charentes et de la Vienne. Directrice de 2015 à 2017 de la RATP, Elisabeth Borne a ensuite oeuvré à la réforme de la SNCF.

Membre du Siècle, elle fait partie de l’aile gauche de la majorité. Elisabeth Borne soutient depuis plusieurs mois le micro-parti Territoires de Progrès, un mouvement réformiste et progressiste, favorable à de nouvelles transgressions éthiques comme l’aide active à mourir.

En 2020, la Haute autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP) avait dévoilé que le ministre avait omis pas moins de six participations aux organes dirigeants de divers organismes.

Femme de gauche, cette ingénieure diplômée des « Ponts et Chaussées » (promotion 1986 comme la socialiste Valérie Rabault) a réussi ces cinq dernières années à faire adopter des réformes clivantes. De la réforme de la SNCF, en 2018, à la réforme de l’Assurance chômage plus récemment.

En 2019, elle avait créé la polémique en partant passer Noël à Marrakech alors qu’il y avait des grèves massives en France. Elle avait alors déclaré :

“J’ai rejoint mes proches pour passer Noël comme je pense beaucoup de Français”.

Comme si le Français allaient passer Noël au Maroc…

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18 commentaires

  1. Macron veut lui imposer un directeur de cabinet, dit-on. Et probablement son équipe ministérielle. On a enfin pu entendre le son de sa voix. Il y a chez cette femme quelque chose de profondément triste. Père raflé et déporté. Pupille de la nation. Divorcée. Fils unique et couvé. Faisant pleurer ses subordonnés qui l’appelaient “Borne out”. A travaillé à la SNCF où les trains arrivent systématiquement en retard. Comme dit un journaliste tv : “elle n’est pas fun”. Elle fera un joli tandem avec Jean-Michel. Elle veut faire rêver les petites filles. On n’a pas fini de rigoler.

  2. Ouf, on a échappé à Marisol Touraine, Sibeth Ndiaye ou Marlène Chiappa !
    Donc, on a échappé au plus pire et au plus plus pire, respirons, merci Manu notre sauveur.
    Sauf qu’elle a n’a strictement aucune épaisseur politique et le charisme d’un algorithme.
    Elle fait penser au “Mille Borne” un jeu avec plein de carte d’interdictions de ceci ou cela pour emmerder les automobilistes.
    Le “Mille Borne” pour “En Marche”, cela promet.
    Le caviar dans la main gauche et la matraque dans la main droite.

  3. Les titres sont invariables, contrairement aux noms de métiers. Elle est donc “ingénieur des ponts et chaussées” tout en ayant été “directrice de cabinet”.
    Personne n’ira dire qu’elle est “*chevalière de la légion d’honneur”… ou pas? Les cons ça ose tout, c’est même à ça qu’on les reconnaît.
    En tout cas, merci de l’avoir qualifié de “premier ministre”, la désignation “première” étant une aberration sémantique.

  4. Merci Marcos de rendre réaliste ce que je pressentais, en ayant vu et entendu Mme Borne, intuitivement. Le moins que l’on puisse dire est que l’on ne va pas beaucoup rigoler dans “l’hexagone” les mois qui viennent contrairement avec Casse-tête qui cherchait ses lunettes sur son nez et avec responsabilité ! Celle-ci, non seulement ne perdra pas ses lunettes, mais va nous en faire voir, à n’en pas douter, j’en louche déjà d’horreur.

  5. Je croyais que Macron voulait nommer une femme …

    Côté féminisme, évidemment, ça surprend. C’est du Macron, quoi !

    Alors “Bienvenue, Madame le Premier ministre !”

  6. La prochaine fois, le critère du Président sera : “Je veux nommer un.e LGBTQI+… !

  7. Accélération des lois sataniques, eurolâtrie maladive, mépris de classe, écologisme punitif, immigration effrénée, quel beau programme !

  8. Imaginez- vous des parents, une mère, disant à leurs filles : “Travaille bien, mon enfant, tu deviendras comme Edith Cresson, Elisabeth Borne (et même Marlène) “.
    Des artistes, Michele Morgan, Monica Bellucci… ont confié avoir rêvé, petites filles, devant des revues de cinéma.
    Pour ne pas être sexiste, autre exemple, Victor Hugo disant : “Je veux être Chateaubriand ou rien”.

  9. Le visage de cette femme ne respire pas la bonté. Le choix de ses collaboratrices en dit long sur Macron lui même… vieilles, pas jolies…
    Je l’ai entendue ce matin à la radio, j’ai cru que c’était Gabriel Attal !! Exactement la même voix, très curieux.

  10. 1ère ministresse par défaut …

  11. Lèvres pincées. Elle sera ministre de la Pesterie.

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