Arrivée en France à l’âge de 1 an, Claire Koç, turque d’origine, a été interrogé sur RTL pour évoquer son livre Claire, le prénom de la honte (ed. Albin Michel). Elle explique avoir été tiraillée entre une enfance en France et
“l’identité que mes parents voulaient que j’ai. J’étais élevée comme une étrangère. Ma culture française, elle était à l’école, elle n’était pas à la maison”.
En 2008, Claire Koç fait une demande de naturalisation et, au passage, de changement de prénom (elle s’appelait à l’origine Çigdem).
“L’identité et l’origine sont deux choses différentes. L’origine, on naît avec, l’identité, c’est quelque chose que l’on construit tout au long de sa vie. Moi, ma quête identitaire, elle allait jusqu’à mon prénom”.
Après la cérémonie à la préfecture, fière de sa nouvelle carte d’identité, Claire est refroidie par la réaction de son entourage familial. Confirmant ainsi les propos d’Eric Zemmour sur les prénoms.
“C’était d’une violence, je ne sais pas comment on peut faire ça à son propre enfant. J’étais fière de montrer ma carte d’identité et que j’avais changé de prénom”.
Sa famille rejette cette nouvelle identité et lui reproche de rejeter ses origines. Elle explique pourquoi elle avait besoin de changer de prénom (vers la 5e mn) :

Meltoisan
ZEMMOUR a raison et c’est RTL qui le dit ! Les temps changent…
Collapsus
Comment cette jeune fille peut-elle vouloir s’assimiler dans un pays qui renie ses valeurs, son passé, sa religion, ses réussites historiques, sa langue et sa littérature, qui se dénomme même plus la France mais la république, un pays qui bat sa coulpe, qui ne représente plus rien à part des soi-disant valeurs républicaines comme l’avortement, l’euthanasie ou la PMA ? Qu’est-ce qui peut l’attirer dans cette unité géographique qui se renie comme nation, loue le multiculturalisme et se veut sans repères ni âme pour s’intégrer dans le déracinement mondialiste ?
philippe paternot
s’assimiler, aimer la france, la civilisation française c’est un crime !
que ceux qui ne viennent ici que pour toucher la caf, soient renvoyés illico