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Education nationale : les islamo-gauchistes dénoncent, les responsables se soumettent

Education nationale : les islamo-gauchistes dénoncent, les responsables se soumettent

Quelques semaines seulement après l’assassinat horrible de Samuel Paty, cette nouvelle affaire est un véritable scandale qui montre que, lorsque les islamo-gauchistes dénoncent un professeur pour des propos soi-disant racistes, les responsables de l’université se soumettent. N’oublions pas que l’Education nationale envisageait de sanctionner Samuel Paty, dénoncé par certains de ses collègues… Ils n’ont rien appris de cet assassinat.

Le pire est que, trois médias au moins, ont déjà jeté en pâture aux islamistes le nom de ce professeur. Mediapart et la Ligue des Droits de l’Homme sont les principaux délateurs dans cette affaire. Ceux qui ont lu Soumission de Houellebecq, ne seront pas étonnés car on y retrouve exactement les mêmes ingrédients.

Voici la façon dont France 3 relate les faits :

Une enquête va être ouverte après une plainte de la Ligue des droits de l’Homme qui dénonce des propos “antisémites et islamophobes” d’une professeure de droit de l’université d’Aix-Marseille, a appris l’AFP jeudi 10 décembre auprès du parquet d’Aix-en-Provence. L’enquête sera ouverte pour “injures publiques en raison d’appartenance à des religions”, a précisé le parquet.

Le 8 décembre, Médiapart a révélé un bref extrait du cours enregistré sur Zoom le 27 octobre. La professeure de droit affirme devant ses étudiants que “si on naît d’un père musulman, on est musulman à vie. Une sorte de religion sexuellement transmissible, je n’ai jamais compris. On dirait du judaïsme, c’est pareil, c’est par la mère. Une sorte de MST, de RST, de religion sexuellement transmissible”.

La Ligue des Droits de l’Homme a porté plainte. ​​​​​​”On a été informés par des étudiants. Sur l’enregistrement, on a été assez ahuris par ses propos qui sont une injure en raison de la religion”, a déclaré à l’AFP Michel Tubiana, président d’honneur de la LDH (…)

Médiapart rapporte qu’au début de ce cours consacré la Théorie générale des conflit de loi, la professeure a déclaré : “L’un des plus grands problèmes qu’on a avec l’islam, et ce n’est pas le seul malheureusement, c’est que l’islam ne reconnaît pas la liberté de conscience. C’est quand même absolument terrifiant”. Elle a poursuivi en se référant à l’assassinat de Samuel Paty. “La décapitation d’un professeur d’histoire-géographie qui a dit et fait ce qu’il avait le droit et le devoir de faire, vient de là. On n’a aucune liberté de conscience en islam ! Donc, si on naît d’un père musulman, on est musulman à vie. Une sorte de religion sexuellement transmissible, je n’ai jamais compris. On dirait du judaïsme, c’est pareil, c’est par la mère. Une sorte de MST, de RST, de religion sexuellement transmissible” (…)

Elle a expliqué à Médiapart que ses propos questionnaient la liberté de conscience absente en islam selon elle. Elle précise que l’extrait de deux minutes est tiré d’une intervention d’une quinzaine de minutes portant sur un arrêt de la Cour européenne des droits de l’homme portant sur un litige autour de la question du droit musulman et de l’héritage.

“Je n’ai pas comparé ça à une maladie, se défend-elle auprès du site d’investigation. J’ai parlé de religion sexuellement transmissible, pas de maladie : si on considère qu’on ne peut pas abjurer l’islam quand on est né dans une famille musulmane, [qu’]on est musulman par le père et qu’on ne peut pas abjurer, cela fait de l’islam une religion sexuellement transmissible, ce qui n’est pas concevable. Il n’y a pas de religion transmissible par le sang, c’est une question de volonté libre et quelle que soit la religion”. 

La professeure se retranche derrière l’émotion suscitée par l’assassinat de Samuel Paty pour justifier le choix de l’expression “RST”. “Je l’ai employée vraiment sous le coup de la colère. Parce que ce cours est un cours qui date du 27 octobre, soit à peine dix jours après l’assassinat de Samuel Paty. Je ne sais pas si vous avez conscience de la déflagration que cet assassinat extrêmement violent a entraînée parmi le corps enseignant, peut-être parce que je suis fille d’un professeur d’histoire-géo…”

Elle affirme aussi qu’à la suite de ce cours elle n’a reçu aucun commentaire de ses étudiants sur la plateforme de l’université, où la vidéo est restée en ligne avant d’être supprimée.

Lâchage complet de la hiérarchie :

Informé par les réseaux sociaux, le doyen de la faculté de droit, Jean-Philippe Agresti, a indiqué à Médiapart qu’il avait contacté la professeure. “Je lui fais un rappel à l’ordre très ferme. Je l’informe que tout va remonter à la présidence de l’université. Elle recontextualise, me dit que c’est un dérapage verbal. On s’en tient là”, raconte-il.

La direction de l’université explique que l’affaire a été traitée en interne pour des raisons de sécurité après l’assassinat de Samuel Paty. Le prédisent d’AMU, Eric Berton “condamne ses propos qui ne correspondent pas aux valeurs de l’universit锓Si les propos sont avérés, ils seront fermement condamnés”, a-t-il assuré.

Pour la CGT FERC Sup de l’université, “ces propos s’apparentent à du racisme pur et simple et n’ont rien à voir avec une liberté d’opinion ou pédagogique. Ils sont proprement injurieux et dans le contexte actuel, ils ne font que jeter de l’huile sur le feu”.

Après la dénonciation des islamo-gauchistes, le lâchage par la hiérarchie de l’université, il fallait le petit coup de poignard dans le dos du “journaliste” de France 3 qui ajoute de manière insidieuse ce petit paragraphe qui n’apporte rien au sujet mais, dans ce cas, l’amalgame est autorisé :

En mars 2013, l’enseignante de droit a fait partie de 170 professeurs signataires d’une lettre ouverte adressée aux sénateurs contre l’adoption de la loi sur le mariage pour tous.

Ces gens sont des minables et des complices de l’islamisme.

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8 commentaires

  1. En 2000, Maurice Druon publiait un essai “La France aux ordres d’un cadavre”.
    Avec la putréfaction, le cadavre, rouge au départ du communisme et des flots de sang de ses victimes, est devenu verdâtre, assorti à la couleur de l’islam.
    Et la boucle est bouclée.

  2. Cette dame se trompe sur les termes, probablement sous le coup de l’émotion.
    L’islam et le judaïsme ne sont pas sexuellement transmissibles. Ce ne sont pas des RST. Sexuellement transmissible cela signifie transmission entre partenaires lors d’un rapport sexuel. Si un musulman pouvait rendre musulmane une femme en ayant un rapport avec elle, on aurait une RST.
    Par contre il est vrai que ces deux religions sont héréditaires, patrilinéaire pour l’islam, matrilinéaire pour le judaïsme.
    Il est vrai aussi que quitter l’islam est puni de la peine de mort. Rien que pour cela cette religion devrait être interdite en France et ceux qui l’on fait venir devraient recevoir un nombre conséquent de coup de pieds au c…
    Ce sont effectivement des traitres et des kollabos.

    • Elle ne se trompe pas du tout.
      Sexuellement transmissible cela veut dire que cela se transmet par le sexe et non “par une transmission entre partenaires”

  3. Ça me fait penser à la morale des animaux malades de la peste

  4. Effarant, je ne vois rien de choquant dans ce qui est dit.

    Raz le bol de tous ces petits Fouquier-Tinville qui passent leur temps à faire des procès d’intention et en plus pour de simples mots. Ce genre d’accusateurs devraient être systématiquement sévèrement punis

  5. On vit déjà sous le régime de la charia et du délit de blasphème.

  6. Attendre de médiaporc et de la cigiti autre chose, il ne faut pas rêver. Dans ce pays si vous avez le malheur de dire quelque chose qui n’est pas gauchiasse correct vous êtes voué aux gémonies. Cette dame à complètement raison et les musulmans qui se convertissent au catholicisme ne disent rien d’autre car en islam on ne réfléchit pas tout ce qui est dit dans li coran est non interprétable. IL n’y a rien à voir circulez et les dhimmis gauchistes se soumettent à la charia.

  7. et le lycée militaire où la jeune mila était planquée, l’a mise dehors.
    si l’armée n’est pas capable de défendre une jeune fille, sur qui les français pourront compter?

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