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Immigration

Des chances pour la France

Des chances pour la France

Selon le Parisien, le « modou » est le nom de ces dealers sénégalais qui sèment la mort dans Paris en vendant du crack, et empoisonne la vie des riverains. De la porte de la Chapelle à Stalingrad en passant par les Jardins d’Éole (XIXe), au gré des déplacements de toxicomanes imposés par les pouvoirs publics, les modous réapparaissent toujours au milieu de leurs clients. Le crack à Paris, c’est eux! Selon le journal, 200 transactions ont lieu quotidiennement dans le bidonville du square de la Porte-de-la-Villette, où se retrouvent aujourd’hui la majorité des consommateurs. D’ici quelques jours, le ministre de l’Intérieur va se rendre en Afrique de l’Ouest pour faciliter les expulsions. « Pour que cela fonctionne, il faut une vraie collaboration avec le pays d’origine », souligne une source judiciaire. Le souci, c’est que le dealer préfère revendiquer une nationalité gabonaise, ce qui rend son expulsion bien plus complexe.

Abdel Malek Ben Massaï, 15 ans, est décédé après avoir été gravement blessé par balle lundi dans le quartier Planoise de Besançon, sur fond de trafic de stupéfiants. « Besançon vient de vivre une nouvelle étape dramatique liée au trafic de stupéfiants qui gangrène les villes et tue nos jeunes », avait réagi sur Twitter lundi le maire écologiste de la cité, Anne Vignot.

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2 commentaires

  1. la République impose aux Gaulois l ‘invasion allogène;
    la Licra , avec sa schlague, déchire le dos des Gaulois qui protestent contre l’ invasion;
    elle les traite en sous hommes: “extrémistes de droite”, “racistes ” “antisémites”, l ‘horreur absolue…
    à qui va-t-elle faire croire qu’elle veut mettre de l’ ordre en France ?
    il faut briser le méchant joug de la Maçonnerie.
    Dieu et le Roi !

  2. Dans une petite ville très touristique de Bretagne, un homme de 30 ans environ était assis par terre près du marchand de journaux, juste en face de la poste, avec son chien. Beaucoup de personnes lui donnaient de l ‘argent, des sandwiches, etc. Il m’avait assuré qu’il ne buvait pas, qu’il avait des ennuis de santé, que l’argent lui permettait de payer une chambre d’hôtel et ainsi de garder son chien. Il y avait quand même une ombre à ce beau tableau :
    Un jour, il n’était plus là. Le marchand de journaux a expliqué que cet aimable monsieur était en réalité un trafiquant de drogue récidiviste. Il vendait surtout à des jeunes qui venaient le retrouver devant la poste. Il est parti tout droit en prison, et le chien gentil à la spa.
    Sa peine faite, il a essayé de reprendre sa place, mais sans succès !
    Et voilà comment on a laissé pendant des mois un individu nocif nuire à des jeunes au vu et au su de tout le monde. Je n’ai pas compris, alors que les allées et venues de ses clients étaient visibles.

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