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France : Société

Contre la junte sanitaire qui gouverne l’Absurdistan, il nous reste la mémoire

Contre la junte sanitaire qui gouverne l’Absurdistan, il nous reste la mémoire

Merci à nouveau au compte Twitter biobiobiobioc (dont l’intitulé à étrangement récemment remplacé le site identique biobiobiobior disparu car peut-être frappé de censure par l’entreprise Twitter, ce qui n’étonnerait pas) pour la pertinence de ses messages concernant la gestion de la crise du covid.

Biobiobiobioc vient de ressortir opportunément ce tweet qui rappelle une intervention du Docteur Lardenois sur BFM TV en juin 2020 à propos de l’évitement par le ministère de la Santé d’une action de bon sens qui aurait pu à l’évaluation par des personnes compétentes et indépendantes de l’efficacité du traitement précoce du covid.

Le verbatim de cet entretien dit tout avec simplicité. Signalons qu’il est entièrement corroboré par un article du Républicain lorrain (le Dr Lardenois est, comme sa femme, généraliste à Metz) paru le 9 avril 2020.

Verbatim donc :

« Quand on a eu des patients atteints et malades, on a soigné en fonction des symptômes qu’on avait. Comme je ne pouvais pas utiliser l’hydroxychloroquine, j’ai utilisé l’azithromycine [NDLR : l’antibiotique recommandé en association avec l’hydroxychloroquine pour le traitement précoce du covid par le Pr Raoult] quand c’était nécessaire, donc sur des pathologies pulmonaires probablement liées au covid. Et moi je peux vous donner les chiffres de ma modeste patientèle et de celle de mon épouse, on est tous les deux en Moselle dans un département fortement touché [NDLR : rappel : c’était lors de la première vague]. Dans notre patientèle, nous déplorons zéro mort, zéro cas grave, zéro hospitalisation. C’est une observation.

Une autre casquette que j’ai, qui n’a rien à voir avec mon métier de généraliste de province : je suis président de la Caisse autonome de retraite des médecins français et à cet égard il m’a semblé nécessaire, par rapport à ma profession qui allait être fortement touchée d’accompagner mes confrères dans la difficulté et de leur apporter un soutien logistique le cas échéant.

Donc, comme cette polémique existait et que je ne suis ni un tenant ni un opposant du Professeur Raoult, ça m’est complètement égal de savoir ce qu’il dit ou qu’il ne dit pas, j’étais intéressé par la curiosité scientifique. Donc, j’ai proposé au ministère, puisqu’on avait un certain nombre de médecins que nous avions répertoriés puisque nous les indemnisions à la Caisse de retraite en tant que malades du covid, j’ai proposé au ministère à quatre reprises de faire le test sur les médecins qui le souhaitaient. Donc, si un médecin décidait de prendre de l’hydroxychloroquin et de l’azithromycine de son propre chef lors d’une maladie à coronavirus déclarée à la Caisse, nous nous proposions de collationner les résultats et d’en observer l’efficacité. On a proposé dès le 24 mars. Il n’y a pas eu de réponse. Très simplement, il n’y en a pas eu, ni oui, ni non. J’ai fait quatre propositions, il n’y a pas eu de réponse. »

Pourquoi un rappel particulièrement opportun de cet entretien ? Parce que voilà un extrait de l’audition du Premier ministre de la junte sanitaire par la commission d’enquête de l’Assemblée nationale, le 17 novembre :

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2 commentaires

  1. Cela se passe de commentaires!! RDV devant les tribunaux!

  2. Aussi longtemps qu’un médecin sera nommé ministre de la santé, c’est Bigpharma qui imposera ses décisions à la France.
    Si on fait exception du Général De Gaulle qui a cumulé les fonctions de Ministre de de la Défense nationale et de dernier Président du Conseil de la IVème République, le dernier militaire qui a été Ministre de la Défense nationale a été le Général Pierre Billotte du 6 octobre 1955 au 1er février 1956. Et ce, précisément, parce que le pouvoir “civil” redoute, depuis le Putsch, le pouvoir des militaires.
    Si on fait abstraction de Simone Veil, familialement liée au monde médical, en particulier l’établissement français du sang au moment du sang contaminé, Elisabeth Hubert a été le premier médecin ministre de la santé quand Croque-pommes a été élu Président en 1995. Depuis un quart de siècle, les mandarins et Bigpharma ont ont pris le contrôle du ministère de la santé et contrôlent toutes les grandes décisions qui assujetissent la France.
    Et aujourd’hui, le “Conseil scientifique” a pris la France en otage dans un but d’enrichissement d’une oligarchie qui va se remplir les poches avec les bénéfices de vaccins hasardeux mais très lucratifs.

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