Alors que l'UMP récrimine contre les médias, qui s'en prendraient trop à Nicolas Sarkozy (pourtant, il ne semble pas subir le même traitement que Jean-Marie Le Pen…), un article du Canard enchaîné indique que le fils du chef de l'Etat aurait bénéficié d'un traitement de faveur inhabituel : préparer l'entretien sur France 3 avec son interlocuteur avant de passer à l'antenne.
Jean Sarkozy et son conseiller en communication Christophe Lambert se seraient ainsi entretenus dans un salon avec le journaliste Jean-Jacques Cros afin de "fignoler ensemble les questions" avant le direct. Jean-Jacques Cros dément formellement : "Je n'ai modifié aucune de mes questions qui étaient par ailleurs tout à fait classiques", explique-t-il avant d'ajouter que le fils du chef de l'Etat n'en avait "aucunement eu connaissance avant de passer à l'antenne".
En revanche, ce que confirme Jean-Jacques Cros, le jeune homme a interdit qu'on le filme en coulisses, menaçant de partir, et a refusé l'intégration au milieu de l'entretien d'un court reportage illustré de réactions de députés à l'Assemblée. Finalement, l'entretien a duré 7 minutes, quand d'ordinaire les invités politiques de France 3 ont droit à deux fois moins de temps d'antenne.
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AML
C’est bien le fils de son père ! Même intonation, même blabla, même formule..un clone quoi ! Cela fait 23 ans qu’il assiste à toutes les “représentations” de son père, alors côté formation, il a sa dose ! mais on devrait parler plutôt de déformation, car il n’y a aucune personnalité dans son discours.
Tonio
Sarkozy, quand il y en a un ça va (et encore…), c’est quand il y en a plusieurs que ça pose des problèmes.
Ethos
Quelle médiocrité…
Sancenay
A vous acharner sur de tels sujets, vous allez finir par donner raison à Monsieur Oswald.Ce serait dommage: votre contribution au nécessaire débat sur la Vie de la cité vaut bien mieux que cela.
[Je ne comprends pas votre commentaire : que signifie s’acharner sur de tels sujets ?
MJ]
Sancenay
à Michel Janva,
je m’explique : qu’il y ait du népotisme en politique et probablement dans tout cela, notamment du fait de la servilité de courtisans , n’est pas nouveau et se reproduira sous tous les régimes et toutes les latitudes.
Il y a même des fois où cela finit par se retourner contre le père protecteur : “tu quoque …”, ce que je ne saurais souhaiter à celui en cause, quand bien même je n’appartient pas à l’étrange amalgame qui l’a porté au pouvoir.
Cependant ici on peut tout de même se demander s’il eût mieux valu que le vieux requin du sérail qui lorgnait la place eût été plus fiable dans cet univers impitoyable.
Lorsque l’on voit l’un ou l’autre de ses coûteux bidonnages simulant “la relance ” on est en droit d’avoir de sérieuses raisons d’en douter.
Un dernier aspect plus humain encore : si ce garçon ,qui aurait, semble-t-il, en effet, une certaine étoffe, réussit , ce que l’on ne peut que souhaiter pour l’intérêt de notre pays qui n’a pas trop intérêt à s’enfoncer davantage au plan financier, me semble-t-il, et bien j’ose dire à contre courant que ce sera tant mieux pour lui qui aurait pu avoir quelque raisons de désespérer de la nature humaine après le naufrage public de sa famille.
J’entends dire par là qu’il ne doit pas manquer pas de courage , car à fréquenter ce monde , il doit bien avoir compris que la “protection”de son père ne sera jamais une garantie à vie.
Enfin dans la mesure où je crois qu’il est vrai de dire que les françias sont monarchistes , mais également régicides” , je peux comprendre qu’en ces temsp troublés et de nécessaire clarification, pour employer une litote, que les Président cherche à s’entourer de personnes dont il pense qu’elles ne le trahiront pas, sachant qu’il tant bien différent de courtiser que de partager le fardeau au moment où la tempête fait rage.
J’ajouterai enfin que j’ai des enfants d’un âge proche de Jean Sarkozy et si celui-ci , partageait ou aspirait à notre sens de la Vie, ce que le lui souhaite abondemment , je crois que ce serait lui qui pourrait envier , à bien des égards ces contemporains de condition assurément sensiblement plus modeste.
Voici exposées autant de bonnes raisons de ne pas mêler vos voix à celle d’une meute jamais repue et si prompte à la bassesse qui ne coûte rien ,et ,davantage, ne changera assurément rien à l’essentiel du désordre des choses.
Bien à vous,
[M’est avis cher Sancenay que vous devriez vous abstenir de lire ce blog puisque tout ce qui y est écrit “n’est pas nouveau et se reproduira sous tous les régimes et toutes les latitudes”…
Mais, et c’est le plus important : vous êtes hors-sujet. Ce post montre la servilité des médias à l’égard des politiques, pas la compétence de Jean Sarkozy pour telle fonction.
Je suis étonné que vous ayez lu de travers. Alors que justement, il y a une cabale dans la presse sur les critiques de l’UMP à propos d’un acharnement des médias à l’égard de Nicolas Sarkozy, on apprend qu’un entretien avec le propre fils du président a été longuement préparé, ce qui est inhabituel et fausse la perception qu’en ont les téléspectateurs.
MJ]
Sancenay
à Michel Janva,
Voyez-vous , j’ai quelque expérience des médias Cher Michel Janva , et j’ai peu connu d’interviews qui ne fussent “moulinées à l’avance”, demandez aux élèves en écoles de journalisme comment on leur “apprend” leur métier.
[…]
[Vous peut-être. Pas tout le monde. MJ]
Sancenay
votre censure sur mon propos charitable n’est ni courtoise ni loyale, jen suis navré.
[Comme je vous l’ai déjà indiqué, votre propos était tout à fait hors-sujet.
MJ]