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France : Politique en France

C’est le système politique qui est idéologique et pervers

De Hilaire de Crémiers dans Politique Magazine du mois d'octobre :

P"La conscience politique des Français peut-elle arriver à
maturité ? C’est toute la question. Des politiciens qui vivent de la
République, ont tout intérêt à les maintenir dans cet état d’infantilisme qui
les empêche de porter sur la politique le regard franc et direct qui s’impose
aujourd’hui.

La popularité de François Hollande est au plus bas. Les
politologues se penchent gravement sur le cas. Mais il n’est pas besoin d’être
grand clerc pour en saisir les raisons. Cet homme n’est pas à sa place ; mais
alors pas du tout ! Aucune épaisseur historique, aucune sincérité
psychologique, aucune hauteur de vue, aucune droiture de vie, aucun jugement de
fond, le type même du politicien tel que la République française l’a toujours
façonné et dont la médiocrité est à l’image du système dont il vit. Il a réussi
ses concours, dit-on ; oui, en débitant des ritournelles idéologiques qui
servent de principes au système. Il a gagné les élections, ajoute-t-on ; oui,
mais en utilisant avec ruse toutes les ressources d’un système qui tourne en
rond sur lui-même. Sérieusement, ce n’est pas pour ça qu’il est le meilleur.
C’est une très fausse idée que le régime actuel impose, selon laquelle le
candidat qui gagne, a pour lui, avec le pouvoir qu’il acquiert, l’intelligence,
la sagesse, la perspicacité, le courage que ce même pouvoir requiert.
L’illusion des Français sur ce point est totale. D’où leur déception
récurrente. […]

Pourquoi donc la France s’enfonce-t-elle dans son déclin ?
Question d’hommes, pense-t-on ? L’équipe au pouvoir ne serait qu’un ramassis
d’incompétents, d’idéologues, de pervers. […]

Mais l’erreur serait de croire que c’est cette clique qui
seule est mauvaise et que là résiderait la cause de tous nos maux.
C’est
évidemment ce que veulent faire croire les opposants, ceux qui prétendent  prendre ou reprendre la place, le pouvoir, ce
pouvoir toujours à conquérir, la maladie française par excellence, pire que
chez tous les autres peuples civilisés, et qui donne à notre monde politique
français ces mœurs de tribus primitives en luttes intestines perpétuelles
. La
vraie question qu’il serait judicieux de se poser, serait plutôt la suivante :
que peut valoir un système politique qui permet l’accession au gouvernement de
tels hurluberlus aussi peu en adéquation avec une conception de la France digne
de ce nom ?

[…] Car
c’est le système politique qui en France est idéologique et pervers
dans son
idéologie ; personne n’y échappe, ni les Fillon, ni les Copé, ni les Marine Le
Pen, ni aucun des autres. Un « bon », un supposé « bon », peut-il faire le bien
dans un tel cadre ? Et peut-il même envisager de parvenir au pouvoir sans  donner un gage audit système. […]

Ce système est tellement outrageant pour le peuple français
qu’il exprimera son rejet profond aux prochaines élections municipales et
européennes. Ceux qui vivent du système en ont peur mais ils savent aussi que
leur système a été jusqu’ici toujours assez fort pour surmonter de telles
crises… Jusqu’au jour où, tout à coup, ce seront les institutions mêmes dudit
système qui s’effondreront. C’est dès aujourd’hui ce qu’il faut prévoir. En
travaillant à la seule et véritable relève."

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20 commentaires

  1. Explication très intéressante du monde politique français.

  2. Le système vieillit
    Le Salon Beige est emblématique du contre pouvoir qui accélère le vieillissement du système.
    Les oligarques républicains avec leurs vieux médias n’ont pas la réponse adéquate aux blogs contre révolutionnaires qui pèsent désormais d’un poids très lourds dans le débat.
    L’information coûte de moins en moins chère à transmettre et donc le pouvoir de l’argent s’estompe dans la médiacratie. Le système n’a pas trouvé la parade.
    Il ne faudrait pas croire que l’équation reste la même avec le temps et que le système peut digérer toutes les tentatives de démolition. Nous sommes en guerre de mouvement et les tenants du système sont très perturbés par notre puissance dissidente inédite et de guerre asymétrique. Pas d’argent ne nuit pas dans la guerre de la communication quand le prix de l’information s’effondre. Le buzz est gratuit. la secte ne sait comment riposter.
    Attention au pessimisme congénital des milieux royalistes qui ferait de la restauration impossible vertu.
    Hilaire doit se démarquer de son milieu. Sympathique au demeurant.

  3. C’est un peu facile, on oppose d’un côté un système et une classe de politiciens pourris et de l’autre un peuple français paré de toutes les vertus. Ce n’est pas pour justifier nos politiques mais la phrase “un peuple a les dirigeants qu’il mérite” contient une bonne part de vérité. Les Français sont pleins de contradictions, ils veulent à la fois les meilleures retraites et le minimum de charges sur les salaires pesant sur les jeunes avec le moins de chômage possible, l’égalité et les régimes spéciaux, pas de cumul des mandats mais que si possible leur maire ait le bras long avec un mandat de député ou autre, employer au noir des immigrés pour réduire les coûts et lutter contre l’immigration clandestine etc.. D’accord, avec le mariage “pour tous”, et la future réforme Taubira sur les mises à l’épreuve de condamnés, le gouvernement Hollande a poussé le bouchon un peu loin guidé par une idéologie gauchiste qui n’est pas celle de la majorité mais il faut reconnaître les contradictions des électeurs.

  4. @ Bernard Mitjavile
    « un peuple a les dirigeants qu’il mérite ».
    Sans doute… mais uniquement en démocratie…
    Il est vrai que les Français aujourd’hui sont lâches et veules, et que rien ne changera sans doute dans l’avenir…
    Mais il est faux de dire que les Français sont comme cela naturellement : regardez autour de vous : les gens sont naturellement autrement. Ils aspirent à autre chose.
    Simplement, ils vivent dans un système vicié où le vice est la référence, prôné à la fois par les dirigeants et les médias. Rien ne peut faire sortir le Français de la fosse dans laquelle on le pousse : il faudrait qu’il soit surhumain – ou très charitablement inondé de grâces – pour y arriver aujourd’hui… Alors, il suit, bêtement, le troupeau, faute d’appui pour rebondir.
    Donnez au peuple de France la possibilité de rebondir et vous verrez à nouveau le génie français à l’œuvre, celui qui a marqué les siècles et les civilisations..
    Pour cela, il faut un chef et un cadre… Le chef qui sortira devra faire le ménage avant de se lancer… Sainte Jehanne l’a fait dans les armées de l’Ost avant de renverser la vapeur : il suffira de faire de même…
    La France est bénie entre toutes les nations : elle retrouvera sa place quand il sera temps et la Fille Aînée de l’Église brillera alors dans le concert des nations, pour la plus grande gloire de NSJC…

  5. Je me permets d’évoquer une possibilité. Bien sûr ce n’est pas une solution en soi, mais c’est peut-être un chemin. Si tous ceux qui ne se reconnaissent dans aucun parti, ou qui ne veulent faire confiance à aucun de ceux qui se présentent à nos suffrages se décidaient à faire l’effort d’aller voter quand même, surtout lors des deuxièmes tours et mettre un bulletin blanc dans l’urne, cela pourrait peut-être changer les choses.
    L’argument qui invoque la nullité du bulletin blanc est tout à fait acceptable…Mais de quoi pourrait se satisfaire un élu local ou national qui ne serait élu que par un pourcentage infime de voix, ayant d’autre part été refusé par le plus grand nombre ? Peut être serait-il bon de se poser la question lors des prochaines consultations ? Ne pensez-vous pas ?!

  6. à d : Contrairement à ce que vous pensez, les royalistes ne sont pas des pessimistes, puisqu’ils ont, eux, un “système”, ou, en bon français, une constitution à proposer.
    Il n’en est pas de même, il me semble, pour la coalition des “blogs contre-révolutionnaires” qui, apparemment, restent démocrates, puisqu’ ils s’appuient sur l’information, donc sur l’opinion.
    Je crois que le peuple français – mis à part les “élites” politiciennes et ceux, hélas ! nombreux, qui vivent à leurs crochets, a compris que la démocratie, qu’elle soit parlementaire, plébiscitaire ou totalitaire, a conduit la France à un niveau au-delà duquel une nation renonce à l’existence.

  7. @ Gilles,
    votre idée est intéressante mais qu’est-ce qu’on fait après? Les élus ne démissionneront pas, sinon il faudrait organiser de nouvelles élections… On tournerait en rond.

  8. D’accord PK, les gens ont toutes sortes de bonnes aspirations mais cela ne suffit pas.

  9. Si le peuple est veule et lâche, il serait bon d’en expliquer les raisons, sans pour autant remonter jusqu’au déluge: ce sont les lumières qui ont permis un tel formatage de l’esprit Français, où s’entremêlent joyeusement relativisme et subjectivisme, fer de lance de l’Individu omniprésent seul capable d’appréhender les vérités essentielles de la vie en société. On le voit bien maintenant, chacun voulant apporter Sa solution, faisant peu de cas de la cellule familiale, dernier bastion à abattre, auquel s’y emploie ce gouvernement totalement aux ordres des lobbies en tout genre.
    Le dieu démos est en pleine action et, à moins d’une véritable prise de conscience de chacun d’entre nous ainsi qu’une réaction effective et forte, les dés sont jetés et tout est plié.
    Hilaire met le doigt sur la plaie depuis fort longtemps : c’est le système politique qu’il s’agit de contrer, non de l’assouplir ni de l’assagir.
    Qui donc a fait la France ?
    La réponse est dans la question.

  10. Le système est vicié, et cela n’a rien de spécifiquement français : toutes les démocraties en sont au même point. On s’y fait élire sur la base d’une propagande bien ficelée, puis on n’a aucun compte à rendre au peuple pendant toute la durée de son mandat. A a fois suivante, il s’agit juste de trouver les mots qu’il faut pour se faire réélire, une question d’argent et de moyens médiatiques.
    Combien d’entreprises privées pourraient fonctionner sur de telles bases ? Si personne, quoi qu’il fasse une fois embauché, ne pouvait être licencié pendant cinq ans, si une retraite dorée était garantie, si chaque employé pouvait cumuler plusieurs fonctions (et salaires) alors qu’il n’a matériellement pas le temps de les assumer, s’il pouvait travailler en sous-main pour la concurrence, toucher des pots-de-vin et si même un casier judiciaire ne pouvait lui coûter son poste ?
    Pour que la démocratie soit une réalité, il faudrait que les politiciens élus rendent des comptes au peuple au cours de leur mandat, qu’ils puissent être licenciés en cas de promesses non tenues, et que leurs postes soient assujetti à une obligation de résultats, comme pour vous et moi.
    Le contrat social ne peut fonctionner que si chacun est tenu aux mêmes règles.
    En attendant, il nous reste à voter pour les plus convaincants.

  11. @philomène,
    La question de l’après est excellente..Quoi faire ? Je reconnais que je n’ai pas de solution, mais la situation serait telle que de toute façon elle pourraitforcer les “élus-sans-voix” à constituer un gouvernement provisoire qui pourrait rédiger une nouvelle Constitution soumise à Référendum.

  12. Il faut que les Français aient peur, qu’ils aient faim, qu’ils aient froid ! Le choléra ou la guerre civile qui nous guette. C’est à ce prix qu’ils se réveilleront et prendront leur destin en main. Les églises se rempliront, les processions se multiplieront. On implorera la Sainte Mére. Dieu et mon Roy. La France se retrouvera chrétienne et royale comme elle le fut pendant 1.500 ans au cours desquels quarante-cinq rois “très chrétiens” la créérent et la façonnèrent. C’est à eux que nous devons le magnifique pays dans lequel nous vivons. Qu’en avons-nous fait ? Une foire d’empoigne ! La risée du monde entier.

  13. H de C nous livre une excellente analyse sur la pourriture du “système”, mais elle reste très incomplète… Et il ne propose aucune solution.
    Sans doute souhaite-t-il un retour de la Monarchie ?
    Le problème est qu’en régime royaliste aussi, il y a des incompétents, des immoraux, des hypocrites, des décadents et autres hurluberlus qui arrivent au pouvoir (Espagne, Belgique, Pays-Bas, Grande-Bretagne, etc…. et cf. l’histoire de France !)…
    Le problème n’est donc pas tant le système… que le(s) système(s) qui sont en-dessous du système (FM, LBGT, Islam, etc.), qui propulsent ces hurluberlus sans consistance ni moralité sur le devant de la scène politique, pour les manipuler à leur guise comme des pantins, selon leurs idéologies mortifères, liberticides ou contre-nature.
    C’est là, à cet étage inférieur où règne le Prince de ce monde, qu’il faudrait purger. Mais comment ?
    A part des tonnes de Rosaires (comme à Lépante), je ne vois guère d’autres solutions. Mais encore faut-il les dire !
    N’a-t-il pas bien raison, notre Pape actuel, quand il dit qu’il faut “du courage” pour prier ?
    Alors, armons-nous de courage… et espérons que ces “colosses au pied d’argile” se retrouveront le plus vite possible cul par-dessus tête les uns après les autres…
    Ensuite, quelque soit le système, ça pourra aller mieux.

  14. L’article d’Hilaire de Crémiers fait un constat très réaliste de la situation actuelle de la France. Il faut avouer qu’il se pose les bonnes questions même s’il nous laisse supposer la fin. Les commentaires sont tout aussi intéressants, notamment celui de Peter G. Certains, à juste titre, affirment qu’il y a aussi des incompétents dans une monarchie. Bien sûr, aucun régime politique n’est parfait. Cependant, et il faut être de mauvaise foi pour ne pas le reconnaître, la monarchie capétienne a construit lentement et patiemment la France sur une longue durée : huit siècles. En moins de deux siècles, la république, toutes constitutions confondues, a abouti au délabrement actuel, social, économique, culturel, spirituel,… Plusieurs raisons peuvent expliquer ce triste constat mais la première d’entre elles est sûrement d’avoir confié la France à des gens qui ne l’aime pas. Ce qui n’a jamais été le cas des rois de France. Mais ceux qui vivent du système l’on bien verrouillé, de manière à pratiquer un véritable lavage de cerveaux au sein de la ré-éducation nationale. Ce qui fait qu’il est difficile pour beaucoup voire impossible d’adhérer aux propos d’Hilaire de Crémiers.

  15. @ Peter G,
    pendant la dernière guerre, les Français ont eu peur, faim, froid; ils ont connu une sorte de guerre civile avec l’Occupation, la collaboration et la résistance mais ils n’ont pas restauré la monarchie, ni prier le Rosaire, ni processionner plus que d’habitude; ils ont surtout cherché à sauver leur peau. Par ailleurs, la politique du pire a toujours conduit au pire.

  16. Les Français ne voient pas ou ne veulent pas voir.
    Dans l’histoire de Moïse il est répété “et Dieu endurcit le coeur du Pharaon”.
    Qui aveugle les Français ? car enfin cette situation perdure depuis très très longtemps.

  17. A Philomène.
    Si la monarchie n’a pas été restaurée en 1945, ce n’est pas parce les Français “ont surtout chercher à sauver leur peau”, c’est d’abord et avant tout que ce n’était pas l’urgence. Il s’agissait d’abord de remettre la France debout alors qu’elle était divisée, comme elle l’est d’ailleurs depuis la révolution française.Le Seconde Guerre mondiale n’est que la résultante de la mauvaise paix de Versailles, ce qui faisait dire à Pierre Miquel que les deux guerres mondiales n’en formaient en fait qu’une seule appelée “guerre de Trente ans”. Par conséquent, une restauration monarchique ne pouvait absolument pas être à l’ordre du jour puisque la Première Guerre mondiale marque la victoire des “démocraties” sur les monarchies et notamment celle des Habsbourg, honnie par la république française parce que catholique. la Seconde n’étant que la suite de la Der des Ders, il était dès lors impensable de remettre un roi en France, d’autant que les apparatchiks du système ne seraient jamais laissés dépouiller ni de leur pouvoir ni de leurs prébendes sans réagir. C’est d’ailleurs encore le cas aujourd’hui mais ni eux ni les Français ne connaissent l’avenir et les choses pourraient bien changer.

  18. “…C’est le système politique en France qui est idéologique et pervers dans son idéologie ; personne n’y échappe, ni les Fillon, ni les Copé, ni les Marine Le Pen” …
    Comment peut-on mettre dans le même sac une MLP (donc le FN) qui se bat à contre-courant de TOUS les autres partis et qui subit la calomnie permanente de presque TOUS les médias !
    Cet odieux amalgame est facile, et accuse Hilaire de Crémiers !
    Et si MLP et le FN voulaient justement nous sortir de cette idéologie gauche/droite qui nous trahit depuis 40 ans …!?

  19. Il est faux de dire que les années d’occupation allemande en France furent des années de grand tourment pour les Français. Tourment moral ? Oui, assurément, pour un certain nombre. Tourment et martyr pour d’autres, fort peu nombreux, les combattants de l’ombre. Mais le plus grand nombre survivait, sans chercher autre chose, et y parvenait assez bien. Personne ou presque ne se souçiait de politique. En 1945, tout le monde ou presque criait: “Vive De gaulle !” Et celui-ci a régné en souverain, avec des gouvernements d’une qualité que nous enviait le monde entier. Le jour de son décès, devant la foule bouleversée, rassemblée sur les Champs-Elysées, Malraux déclarera: “Il aura été le seul souverain dont le sacre ait eu lieu après sa mort !”

  20. @ ceux qui comparent de « mauvais » rois avec nos très mauvais gouvernants républicains…
    Il existe une différence de taille… Un roi est élevé pour gouverner et aimer son pays… Ceci est tout à fait douteux pour nos énarques (quand ce n’est pas carrément l’inverse…).
    D’autre part, un roi n’a pas besoin de s’enrichir. À la limite, une mauvaise politique peut ruiner le pays mais n’étant pas limité dans le temps, il a tout à fait le temps de poser des jalons sûrs… De même qu’on élit un père abbé jeune afin qu’il fasse ses preuves dans la durée, la politique d’un roi se fait sur la durée.
    C’est tout le contraire avec notre système actuel où un gouvernant n’a que quelques mois pour mettre en place une politique et le reste du temps pour tenter de se faire réélire… quand ce n’est pas carrément pour piquer dans le panier pour s’enrichir personnellement.
    Enfin, un roi est responsable devant Dieu : sa limite humaine est clairement établie : il ne peut transgresser les lois divines (qu’on a résumé par les PNN pour aller vite aujourd’hui). Il y a donc une garantie très forte que le peuple soit bien mieux protégé qu’avec les zozos qu’on connaît…
    Bref, même un « mauvais » roi ne peut vraiment faire de mal et seul un « très bon » républicain peut faire du bien…
    Or, on n’en a pas eu (ou si peu que ça ne compte pas…). Ce qui explique le marasme actuel… tandis que certains rois médiocres n’ont jamais réussi à enfoncer la France !
    Dès lors, le choix est vite fait !

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