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C'est arrivé un...

C’est arrivé un 23 janvier…

C’est arrivé un 23 janvier…

“A qui veut régénérer une Société en décadence, on prescrit avec raison, de la ramener à ses origines.” Léon XIII, Rerum Novarum

Alors rappelons-nous :

  • le 23 janvier: saints du jour français ou en France.
    • St Mainboeuf, pèlerin, ermite et martyr († IXe s.)

À Dompierre sur le territoire de Besançon, au IXe siècle, saint Mainboeuf, pèlerin et ermite irlandais d’origine, est tué par des brigands.

  • le 23 janvier 52 av. J.-C. : massacre des romains de Genabum (Orléans).

C’est le début de l’insurrection générale des Gaules sous le commandement de Vercingétorix, qui unit les tribus gauloises pour résister aux romains et qui réussit l’unification de la Gaule sous les ordres d’un seul chef.

  • le 23 janvier 1579 : signature de l’Union d’Utrecht, qui marque la naissance des Pays-Bas.
  • le 23 janvier 1631 : par le « Traité de Barwald », la France accepte de soutenir financièrement la Suède.

En 1631, le Roi Louis XIII décide d’apporter son soutien au roi de Suède, Gustave Adolphe II dans son combat contre le Saint-Empire romain germanique. La France entre ainsi dans la Guerre de Trente Ans. Ce jour-là, les deux souverains signent le Traité de Barwald qui formalise une alliance politique, militaire et commerciale. Le cardinal de Richelieu va pouvoir équiper la marine royale en plein essor de matériels donnés par la Suède. Celle-ci envoie une armée de 30 000 soldats et 6 000 chevaliers en Allemagne. La France, quant à elle, s’endette de 1,5 million de livres tournois par an envers la Suède. Ce Traité dure jusqu’à la fin de la guerre de Trente ans.

  • le 23 janvier 1795 : le général Jean-Charles Pichegru et sa cavalerie capturent la flotte hollandaise au Helder.
  • le 23 janvier 1799 :l’armée française occupe Naples.
  • le 23 janvier 1943 : jonction à Garian en Libye, entre les troupes de la France libre de Leclerc et les Britanniques de Montgomery.
  • le 23 janvier 1978 : l’épiscopat français déclare être favorable à l’abolition de la peine de mort.

Moins de trois ans avant, les mêmes évêques n’ont pas bougés pour défendre l’enfant à naître.

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