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France : Politique en France / Homosexualité : revendication du lobby gay

Ces élus de l’UMP qui ne comprennent pas la liberté de conscience

Suite à la réunion organisée à Saint-Maur sur le gender, le groupe UMP du Conseil général a souhaité rencontrer les organisateurs. Le Collectif Familles 94 a donc rencontré :

  • Bruno Tran, président du groupe UMP au conseil général, vice-président de la 3e commission de travail « droits sociaux, solidarités et santé », ancien 1er adjoint de Thiais ;
  • Olivier Capitano, vice-président de la 6e commission « enseignement et formation » ;
  • Dominique Roblin, 1er adjoint de Bry-sur-Marne, suppléant de Gilles Carrez (président de la commission des Finances, de l’Economie générale et du contrôle budgétaire de l’Assemblée nationale).

Dans son compte-rendu, le collectif Familles 94 écrit :

"Le débat a été ouvert et libre, mais le collectif garde l’impression de ne pas avoir été entendu. L’horizon des élus qui s’intéressent à l’électorat que le collectif représente se limite à la législation actuelle.

A la question de savoir pourquoi aucun élu n’a été soutenir les maires qui invoquaient la clause de conscience pour ne pas procéder à des mariages homosexuels dans leur commune, ils ont invoqué une législation républicaine applicable à tous, alors même que le président de la République avait rappelé ce principe de la liberté de conscience lors du congrès des maires de France en novembre 2012, avant de finalement reculer sous la pression des lobbys LGBT.

« La loi républicaine s’applique à tous » est leur argument principal. Nous pensons à contrario qu’il est notre droit et même notre devoir de dénoncer une loi qui ne sert pas le bien collectif et qui contredit la loi naturelle.

Il reste encore du travail à faire pour que les élus comprennent qu’il n’est pas possible de transiger sur la famille composée d’un homme et d’une femme, cellule de base de toute société.

La question de l’enseignement de l’idéologie du genre à l’école dès la maternelle n’a pas suscité de réaction concrète de la part de ces élus. Manifestement, ils sont ouverts aux arguments du collectif, mais pas encore prêts à les relayer concrètement dans leurs assemblées, d’où l’urgence de continuer."

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