Thierry Lentz, directeur de la Fondation Napoléon et enseignant à l’ICES, avait été invité par des étudiants pour intervenir à l’Audencia, l’école de commerce de Nantes. Il a été censuré par la direction de l’établissement :
Le sujet créant une polémique, la direction est sortie de son silence pour affirmer qu’elle ne voulait pas annuler mais seulement reporter cette conférence en raison de la crise sanitaire. Est-ce crédible pour une conférence prévue depuis le début non pas en juin mais à l’automne ?
Interrogé sur RCF, Thierry Lentz a dénoncé « la lâcheté des autorités universitaires », qui témoigne du climat qui règne actuellement dans le monde universitaire où des groupuscules imposent leurs vues et décident qui a le droit ou non de s’exprimer à l’université.
Le forez
Faire table rase du passé, tel est le maître mot de nos coupeurs de cerveaux; l avenir du nouvel esclavage se met en place . En effet , ne plus savoir d où l on vient , revient à avoir derrière soi , un abyme béant duquel les generations doivent se préserver par réfléxes. Et comment s en préserver si ce n est qu en se jetant à corps ( et âmes) perdus vers les nouveaux maitres, sans refléchir.
Jacques Lanza
L’ICES, ne serait-ce pas cet établissement qui avait renvoyé deux étudiants qui avait fait un peu de chahut lors d’une manifestation peu en pphase avec leurs convictions ?
Jacques Lanza
Mais oui ! C’était sur la place… Napoléon à la Roche sur Yon !
philippe paternot
qu’il ferme sa gueule a du dire cohn-bendit, c’est fait!
Rosa Mystica
L’ICES, de sinistre mémoire. L’établissement est-il encore catholique?
mouette
Bientôt on ne pourra plus parler de Jules César, ni de … ni de … ni de …