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Avant les manifestations, la presse en parle

Dans 20 Minutes, Le Figaro (qui en fait sa une), Aujourd'hui en France, Le Monde

A l’attention des journalistes

Communiqué de Paroles de catholiques :

"Ce week-end, dans toute la France, des manifestations
vont avoir lieu pour demander que le Gouvernement s'occupe
davantage de la crise économique et du chômage,
qui inquietent tout le monde, plutôt que de
bouleverser à l'aveugle et impulsivement les
fondements du mariage et de la famille, comme si
c'était ce qu'attendent les Français.

Pourquoi manifestent-ils ? Qui
sont-ils ces manifestants ?

L'association Paroles de Catholiques n'est pas une
association organisatrice des manifestations
, mais elle
propose de mettre en contact les journalistes qui vont
couvrir l'évènement avec des manifestants.

Un numéro
d'appel : 07 61 69 08 48

Une adresse
e-mail :
[email protected]

Samedi, à Paris, le RDV est donné à
14 h 30 à Denfert-Rochereau, la manifestation se
dirigera vers la Place Vauban (7e).

A Lyon, RV place
Bellecour à 15 h, à Nantes : Cours St Pierre
à 15 h,

A Toulouse : place Esquirol à
14 h 30,

A Rennes : place de la Mairie à 15 h,

A Marseille : Square Léon Blum à 14 h
30,

A Laon : devant la préfecture
à 15 h,

A Montpellier : devant la marie
à 14 h 30.

Dimanche à Paris : avenue Duquesne
à 14 h 30.

Le 8 décembre :

A Bordeaux : place
des Quinconces à 14 h,

Lille : place de la
République à 14 h 30,

Au Mans : place de la
République à 14 h 30,

A Nancy : place
Carnot à 14 h.

 (Si vous vouliez prendre
contact avec l'organisation officielle, nous vous signalons
leurs coordonnées
[email protected] – tel :06 09 62
00 31)

Choisir la vie appelle à manifester dans l’unité

Communiqué :

"Samedi 17  et dimanche 18 novembre, se tiendront
plusieurs grandes mobilisations pour la famille à Paris et en province. Choisir
la Vie qui a toujours eu à cœur de faire valoir les valeurs du respect de la
Vie dans un esprit unitaire, ne peut qu’inviter tous ces sympathisants et
adhérents à se mobiliser sur ces questions essentielles qui touchent les
valeurs fondamentales de notre société et à rejoindre sans aucune
discrimination et dans la mesure du possible 
toutes ces manifestations afin que par la force de nos convictions, de
notre détermination et de notre esprit d’unité, nous puissions gagner cette
bataille !

Nous comptons sur l’engagement de
chacun d’entre vous !"

L’islam et le bonheur

IDans son dernier ouvrage, Annie Laurent (experte au Synode des évêques sur le Moyen-Orient) pose une question pertinente : "L'islam peut-il rendre l'homme heureux ?" A partir des textes du Coran et de la Sunna, cet essai présente l'enseignement de l'islam sur l'homme, sa vocation et sa destinée. Extrait :

"[L]e bonheur ainsi promis [au musulman] semble être un bonheur naturel, un bonheur de satisfaction, dû au sentiment de supériorité qui habite l'âme musulmane, et non d'un bonheur surnaturel. Avec l'islam, on est loin du secret du bonheur proposé par le christianisme qui, lui, est avant tout surnaturel.

Le chrétien est heureux parce qu'il se sait aimé de Dieu et qu'il aime Dieu. Il trouve sa joie, non en se croyant supérieur aux autres hommes ou en suivant une Loi, mais en s'attachant à une Personne vivante, le Seigneur Jésus-Christ, Fils unique de Dieu, l'homme parfait, mort et ressuscité pour le salut de tous."

Annie Laurent a créé l'association ‘CLARIFIER' (3, Résidence Villeneuve – 13, Rue Jean de La Bruyère –
78000 Versailles), qui édite La Petite feuille verte ([email protected]) et qui a pour finalités :

  • d'éclairer chacun sur les réalités de l'islam, en respectant les personnes qui s'y identifient ;
  • d'agir en vue de favoriser les conditions permettant de vivre ensemble pacifiquement.

Jeunesse Lumière a besoin d’aide

L'association Jeunesse Lumière fondée par le père Daniel-Ange, qui oeuvre pour la nouvelle évangélisation, me signale un besoin urgent :

"le Père Daniel-Ange recherche un ou plusieurs véhicules (type minibus 9 places – diesel) pour envoyer en mission les 30 jeunes de Jeunesse Lumière dans toute la France et en Europe. Neuf ou bonne occasion (en nature ou équivalent en numéraire). Contact : [email protected] Tél. 05 63 50 41 57"

Le hochet de l'”homophobie” : une arme contre la liberté d’expression

Jeanne Smits dénonce le piège qui se cache derrière le terme "homophobie" :

H"La mécanique est la même que pour le soi-disant antiracisme : elle
consiste, au nom du respect dû à la personne (qui impose de ne pas faire
du mal à un étranger parce qu’il est étranger ; de ne pas faire du mal à un homosexuel parce qu’il a cette tendance), à rendre obligatoire une préférence
étrangère ou homosexuelle, et à interdire toute réaction négative à un
comportement critiquable
d’une personne ou d’un groupe ainsi protégés.
Cette mécanique confond volontairement les personnes et les actes.

Elle aboutit, en matière d’antiracisme, à interdire d’apporter la preuve
d’une allégation négative à propos d’une « minorité protégée », comme
nous l’a appris la jurisprudence « Caroline Parmentier » dans une
affaire de diffamation raciale engagée contre Présent. Elle aboutira au même muselage par rapport au comportement homosexuel. C’est d’ailleurs déjà le cas : il suffit de parler de la mortalité
précoce des homosexuels ou des effets négatifs constatés chez les
enfants qui ont grandi auprès d’un parent homosexuel pour se voir
aussitôt taxé d’intolérance, de haine et d’homophobie.

La menace que font peser les lois anti-homophobes en France sur
l’expression libre de la vérité sont déjà réelles
, comme le savent les
responsables de journaux et de radios. Cette menace se traduit déjà,
dans de nombreux pays, par des pertes de liberté et des persécutions
effectives : voyez cette amende de 4.000 livres infligée en Angleterre à
un couple chrétien qui avait refusé d’accueillir un couple gay dans son
« Bed and Breakfast » familial.

Demain, si le « mariage » homosexuel et l’adoption par des couples
homosexuels étaient par malheur adoptés, il ne faut pas se leurrer :
tout enseignement mettant cela en cause, que ce soit à l’école ou dans
le cadre religieux, finirait par tomber sous le coup de la loi.
C’est en cela aussi que l’affaire nous concerne tous."

Il n’y a pas de culte en islam

Dans La France au risque de l'Islam – l'enquête. Quand le muezzin s'éveillera…, Thierry Bouclier décrit, au détour d'une loi, de nouvelles pratiques ou d'un projet
municipal, comment la société se transforme dans des domaines aussi
divers que l’école, l’alimentation, les hôpitaux, le droit civil, la
banque ou les prisons. Extrait :

L"Les catholiques ont leurs églises. Pourquoi les musulmans n'auraient-ils pas leur mosquées, celles-ci n'étant rien d'autre que l'église des catholiques. La comparaison ne tient pas. L'église est nécessaire au culte catholique pour une raison évidente : c'est le lieu, consacré à cet effet, où les catholiques offrent à Dieu le sacrifice prescrit par le Christ. La messe, qui est le renouvellement non sanglant du sacrifice de la croix, a lieu à l'église.

La situation de l'islam est autre. Le seul sacrifice existant pour l'islam est celui du mouton, le jour de l'Aïd el-Kébir, qui peut avoir lieu partout… sauf à la mosquée. L'islam ne connaît pas la liturgie. Il ignore les cérémonies cultuelles. Il n'a pas besoin de clergé pour conduire le service divin. L'imam dirigeant seulement la prière, il ne reçoit aucun sacrement pour cela. Une fois désigné, il n'en délivre pas davantage. s'il est exact que les musulmans ont l'obligation de prier cinq fois par jour, ils ne sont pas tenus de le faire dans un lieu précis. Ils peuvent prier où ils le souhaitent. L'islam repose sur cinq piliers. Or, aucun de ces piliers ne nécessite une mosquée."

19 novembre : conférence sur le mariage à Orange

A

Les fidèles ont le droit de reconnaître les prêtres par un habit identifiable

SLe secrétaire d’Etat du Saint-Siège, le cardinal Tarcisio Bertone, a publié une circulaire demandant aux responsables du Saint-Siège de faire
respecter par leurs subordonnés “l’usage quotidien de l’habit
ecclésiastique (soutane ou clergyman) et religieux
“, “à
une époque où chacun est particulièrement appelé à renouveler la
conscience et la cohérence de son identité
“. Les responsables doivent aussi
rappeler aux prêtres “le devoir de porter leur habit dans les règles et
de façon digne, en toute saison
“.

Par
ailleurs, la circulaire salue
l’exemple des évêques “fidèles à l’usage quotidien de la soutane durant
leurs heures de travail
“, ce qui constitue “un encouragement pour les
épiscopats et ceux qui viennent en visite à la curie romaine et à la
Cité du Vatican
“.

La Congrégation pour le clergé explique à I.MEDIA que “les fidèles
ont le droit de reconnaître les prêtres par un habit identifiable
“. 

Selon L’Express, la société se droitise

BUne réunion interne organisée à l’initiative de la société des journalistes de L’Express a eu lieu à la rédaction de l’hebdomadaire ce vendredi. Christophe Barbier, directeur de la rédaction, a expliqué :

« La société se droitise » « L’Express ne peut pas se déconnecter de ce lectorat. La une cible les tripes. C’est à l’intérieur qu’on s’adresse aux cerveaux »

Et puis, Â« on ne peut plus se permettre des couv’ tièdes Â». Selon l'OJIM, ce serait notamment la faute à Internet, où les
Français sont habitués à des propos plus tranchés, moins policés.

Encore un maire qui refusera de célébrer des faux mariages

Jean-François Houette, maire de Mont l’Evêque (Oise) sur le site des AFC :

"Ma position sur le mariage homosexuel est très claire : j'y
suis totalement opposé, c'est un projet qui va à l'encontre de ma
conscience.

HPour moi, le mariage est un engagement entre
une femme et un homme qui ont un projet de vie commun qui doit
normalement déboucher sur la création d'une famille naturellement
constituée. Il faudrait, changer le code civil, oui, pour préciser la
formulation en ajoutant « entre un homme et une femme Â». La législation
a mis en place, via le PACS, des dispositions juridiques pour les
personnes de même sexe leur garantissant des protections financières,
sociales, fiscales… qui me paraissent largement suffisantes. Mais
s'ils s'aiment, me dira-t-on ? Lorsque je célèbre un mariage, en tant
que maire, et aux yeux de la loi, je ratifie non pas des sentiments,
mais un engagement mutuel qui repose sur des droits et des devoirs :
assistance et respects mutuels, partage des tâches, solidarité…

De plus, je considère que le projet de mariage homosexuel est une
dégénérescence sociale car il peut déboucher sur l'adoption d'enfants

par deux personnes du même sexe, ce qui me semble totalement contre
nature
, contrairement à ce que nous annoncent nos médias habituels. On
ne peut pas banaliser le fait que des personnes de même sexe puissent
adopter.

En tant que maire, je refuserai de célébrer un « mariage Â» homosexuel
par conscience personnelle, quitte à remettre ma démission. Je ne
pourrai pas me contenter d'en reléguer la célébration à mes adjoints, ce
serait se débarrasser du problème
."

JMJ 2013 : « Allez ! De toutes les nations faites des disciples. »

Tel est le thème de la XXVIII Journée
mondiale de la jeunesse, qui se déroulera en juillet 2013 à Rio
de Janeiro (Brésil). Le texte est accessible ici. Extraits :

J"Jésus a envoyé ses disciples pour témoigner de sa présence salvifique à toutes
les nations parce que Dieu, dans la surabondance de son amour pour tous les
hommes, veut que tous soient sauvés et qu’aucun ne soit perdu. Par son sacrifice
d’amour sur la croix, Jésus a ouvert la voie afin que tout homme, toute femme
puisse connaître Dieu et entrer dans la communion d’amour avec Lui. Et il a
formé une communauté de disciples pour porter la bonne nouvelle du salut
jusqu’aux confins de la terre, pour rejoindre les hommes et les femmes de toutes
les nations et de tous les temps. Faisons nôtre ce désir de Dieu!

Chers amis, ouvrez les yeux et regardez autour de vous : tant de jeunes ont
perdu le sens de leur existence. Allez ! Le Christ a aussi besoin de vous.
Laissez-vous entraîner par son amour ; devenez les instruments de cet amour
immense afin qu’il puisse rejoindre tous les hommes, en particulier ceux qui
sont « éloignés ». Certains sont loin géographiquement, d’autres sont loin parce
que leur culture ne laisse pas de place à Dieu, d’autres sont loin parce qu’ils
n’ont pas encore accueilli l’Évangile de façon personnelle
. D’autres encore sont
loin parce que, bien qu’ayant reçu la foi, ils vivent comme si Dieu n’existait
pas
. À tous, ouvrons notre cœur ; cherchons à entrer en dialogue avec eux, dans
la simplicité et le respect réciproque. Un tel dialogue, s’il est habité par une
vraie amitié, portera du fruit. Ces « nations » auxquelles nous sommes envoyés
sont non seulement tous les pays du monde, mais aussi les lieux où nous vivons :
nos familles, nos quartiers, nos lieux d’études ou de travail, nos cercles
d’amis, nos les lieux de loisirs
. L’annonce joyeuse de l’Évangile vise
tous ces espaces où nous vivons, sans aucune limite.

Je voudrais signaler deux domaines dans lesquels votre engagement missionnaire
est particulièrement requis
. Le premier champ d’apostolat est le monde des
communications sociales, en particulier le monde d’internet
. Très chers
jeunes, comme j’ai déjà eu l’occasion de vous le dire, « engagez-vous à
introduire dans la culture de ce nouvel espace communicatif et informatif les
valeurs sur lesquelles s’appuie votre vie ! (…) C’est à vous, jeunes, qui vous
trouvez presque spontanément en syntonie avec ces nouveaux moyens de
communication, qu’incombe, en particulier, la tâche de l’Évangélisation de ce
« continent digital ».
» (Benoît XVI, Message pour la XLIIIème
Journée Mondiale des communications sociales
, 24 mai 2009
). Usez donc ce
moyen de communication avec sagesse, en évitant les pièges inhérents à internet,
en particulier le risque de dépendance, le danger de confondre le monde réel et
le monde virtuel, de substituer la rencontre et le dialogue direct avec les
personnes par des contacts sur le web.

Le deuxième domaine est celui des voyages. Aujourd’hui, de plus en plus de
jeunes ont l’occasion de voyager, soit pour leurs études, soit pour leur
travail, soit pour des loisirs. Je pense aussi à tous les mouvements
migratoires, où des millions de personnes se déplacent et changent de régions ou
de pays pour des raisons économiques ou sociales. Ces phénomènes peuvent aussi
devenir de providentielles occasions pour la diffusion de l’Évangile. Chers
jeunes, n’ayez pas peur de témoigner de votre foi dans ces contextes aussi.
Communiquer la joie de la rencontre avec le Christ : voilà un cadeau magnifique
que vous pourriez faire à ceux qui vous accueillent
."

Mgr Blaquart : notre société scie la branche sur laquelle elle est assise

Mgr Blaquart, évêque d'Orléans, vient de publier ce communiqué :

B"Notre société n’est-elle pas en train de scier la branche sur laquelle elle est assise ? En voulant requalifier ce que sont une famille, un couple, le mariage, la filiation, on touche aux fondements même de notre société.
Pourquoi refuser un large et légitime débat sur un sujet majeur engageant l’avenir de notre humanité ? Pourquoi certains n’auraient pas le droit de manifester ni d’exprimer une opinion ? Ne sommes-nous pas en démocratie ?
L’homophobie doit être combattue. L’homosexualité est un fait, une réalité. Beaucoup de personnes homosexuelles souffrent d’être rejetées, méprisées. Elles ont droit au respect, à la reconnaissance de ce qu’elles sont et vivent.
Mais pourquoi vouloir donner le nom de mariage à une autre réalité que celle qui est constitutive de notre humanité, le couple homme-femme dont seule l’union peut donner la vie ?
Il est normal qu’un état reconnaisse et précise les droits des personnes vivant en communauté de vie sous un même toit. Mais décréter que toutes les communautés de vie sont similaires dans leur finalité est une supercherie. Egalité ne veut pas dire gommer les différences.
Et puis l’enfant est le grand oublié du projet de loi. N’a-t-il pas le droit de connaître l’homme et la femme dont il est issu ?
Même s’il est éduqué et aimé par d’autres, sa venue au monde et son identité dépendent d’un père et d’une mère qu’il voudra tôt ou tard connaître.
En ces temps incertains où beaucoup connaissent la précarité, les familles ont besoin d’être soutenues plutôt que d’être égarées et fragilisées. C’est la cohésion de notre société qui en dépend."

Tous pour le mariage : écrivez à votre député

Le site de la pétition (déjà plus de 102 000 signatures) s'enrichit d'un espace pour écrire directement à son député. 3 modèles de lettre au choix sont en ligne et une lettre au président de la République peut être envoyée par la même occasion.

A consommer sans modération.

Le projet pose de graves problèmes qu’on n’a pas le droit d’occulter derrière une argumentation fallacieuse

Mgr Stenger, évêque de Troyes, écrit :

S"Le projet de loi relatif à la législation du mariage entre personnes
du même sexe pose de graves problèmes qu’on n’a pas le droit d’occulter
derrière une argumentation fallacieuse et par une précipitation
législative
. Au contraire, par respect aussi bien pour ceux qui sont
favorables à une telle union que pour ceux qui y sont défavorables, il
faut mettre ces problèmes en lumière et laisser le temps d’en débattre,
permettant à chacun d’en prendre la mesure et d’exprimer ses
convictions, ses questions, ses doutes, ses incertitudes, ses refus,
dans une écoute respectueuse et sans contrainte.

Comment pourrait-on se limiter à l’argument de l’égalité et de la
lutte contre l’homophobie pour justifier une mesure où ce qui est en
cause est bien plus déterminant. C’est la relation la plus structurante
de notre être personnel et social qui en est bouleversée
. Nous nous
reconnaissons dans cette loi fondamentale selon laquelle la différence
sexuelle est essentielle pour vivre la communion et donner la vie. Nous
chrétiens, nous considérons même qu’elle est donnée par Dieu, que Dieu a
fait l’humanité homme et femme pour que de deux ils rejoignent la
plénitude de l’un. Même pour faire droit à l’orientation sexuelle de
chacun, on ne peut pas éradiquer cette différentiation sexuelle qui est
au cœur de la réalité humaine. Dans toutes les civilisations, on
s’accorde sur le principe que le couple repose sur la rencontre de deux
différents, qu’une famille est fondée par un homme et par une femme, et
que l’enfant a le droit d’avoir un père et une mère. […]

Les chrétiens et tous ceux qui partagent ces convictions ne
doivent pas hésiter à agir
“dans le cadre de la légalité et du respect
des personnes“. Que pouvons-nous faire ?

  • Ecrire à nos élus parlementaires, qui votent les lois, députés et sénateurs, les rencontrer, leur exprimer nos convictions.
  • Contacter nos maires et leurs adjoints : si cette loi est votée,
    ils seront amenés à célébrer de tels mariages. Eux aussi ont un avis à
    donner. 
  • Organiser en paroisse ou en mouvement une soirée pour lire ces
    textes, y réfléchir et éventuellement décider d’une action commune, pour
    affirmer ce que nous croyons. 
  • Participer à ces actions collectives
    […]"

Le site de Valeurs actuelles fait peau neuve

Il est ici.

V
A lire : l'article de Basile de Koch sur les Experts Boboland.

Mgr Dominique Rey invite les chrétiens à manifester

Mgr Dominique Rey, évêque de Fréjus-Toulon, a appelé sur le journal de RCF Méditerranée du vendredi 16 novembre les
chrétiens :

« C’est un enjeu majeur qui nécessite plusieurs expressions publiques de l’Eglise.
L’Eglise a manifesté son opposition par plusieurs déclarations. L’ensemble des évêques à Lourdes
s’est aussi manifesté pour signifier son refus de ce texte. L’Eglise a demandé un débat public, des
pétitions ont été organisées, et puis des manifestations sont organisées dans différentes villes de
France. Et donc j’invite personnellement à ce que les chrétiens, sous une forme ou sous une autre, en participant à des
manifestations
, en signant des pétitions, vis-à-vis de l’opinion publique en général, du gouvernement en
particulier, vis-à-vis des élus en écrivant un certain nombre de lettres, puissent très clairement signifier,
au-delà de l’appartenance confessionnelle, de l’Eglise, leur désappointement et leur volonté qu’un
véritable débat soit organisé dans l’ensemble de notre pays,  sur ces questions majeures qui touchent des principes
constitutifs de notre humanité, de notre équilibre social. Â»

Crise : il ne fait pas bon être une maman, seule

Lu sur Le Figaro, cette constatation que le délitement de la famille entraîne la pauvreté :

"Le premier coup de projecteur sur le sujet est venu du colloque de la
Fondation Kd'urgences, tenu le 15 octobre, sous le titre évocateur de
«Familles monoparentales: premières victimes de la crise». La fondation
présidée par l'ancienne journaliste Christine Kelly, qui se confie à Madame Figaro, a réuni pour l'occasion plusieurs données parlantes.

Ces
familles monoparentales, dont le seul parent est une mère dans 85% des
cas, connaissent un taux de pauvreté de 35 %,
selon l'Observatoire
national de la pauvreté et de l'exclusion sociale (Onpes), soit 2,5 fois
plus que l'ensemble des familles.
Et pour elles, c'est une spirale infernale où résonnent les mots précarité, chômage, surendettement, aide sociale."

Alors qu'à la base, il y a une rupture du couple, l'Etat tente d'y pallier par des aides de toutes sortes. Prendre le problème à la racine serait de durcir les conditions de divorce.

"Et l'accès
au logement est plus compliqué: un quart de ces familles sont en
«situation de surpeuplement»
(vivant dans des logements trop petits)
selon l'Insee. […] Pour
la première fois en 5 ans, leur taux de chômage est plus élevé que
celui des hommes
, et ce, alors même que leurs scolarités sont moins
chaotiques. Un paradoxe que l'observatoire attribue au «poids des
structures familiales»: elles sont en effet plus souvent à la tête de
familles monoparentales
qu'en dehors des ZUS et ont davantage d'enfants.
À 25 ans, près de 25 % des femmes de ZUS vivant hors de chez leurs
parents ont au moins un enfant, contre 10 % dans les villes alentours. […]

Pourtant, une famille sur cinq est
aujourd'hui composée d'enfants et d'un seul parent, soit plus de deux
millions de foyers. En quarante ans, elles ont plus que doublé."

Il faut y voir là une conséquence de la dépréciation des avantages du mariage, en regard du concubinage et du Pacs (lequel légitime la répudiation) et la facilitation croissante des procédures de divorces. Les AFC avaient tiré sans succès la sonnette d'alarme en 2006. Nous en payons aujourd'hui les conséqunces.

Journée Internationale des Droits de l’Enfant : n’oublions pas le droit à avoir un père ET une mère

CCommuniqué du Conseil français des associations pour les droits de l'enfant (COFRADE) :

"Les droits de l’enfant s’affichent ce mardi 20 novembre 2012 sur la façade de l’Hôtel de Ville de Paris avec le Conseil Français des Associations pour les Droits de l’Enfant (COFRADE) et la Mairie de Paris à l’occasion de la célébration de la Journée Internationale des Droits de l’Enfant.
La Convention Internationale des Droits de l’Enfant – CIDE – est un grand texte adopté en 1989 par l'ONU et ratifié par 193 Etats. Elle proclame les droits fondamentaux des enfants : droits à une famille, à l’éducation, à la santé, à la protection, à la justice, et aussi leurs droits à s’exprimer et à participer à la vie de la société. Tous les enfants en France sont concernés par cette Convention que la France a ratifiée en 1990.

Le COFRADE, association loi 1901, veille à l’application de la Convention en France et par la France depuis 1990. Il est composé d’une cinquantaine d’associations et d’organisations membres qui agissent toutes dans un ou plusieurs champs couverts par la CIDE."

Comme indiqué sur l'image ci-contre, les droits de l'enfant nous concernent tous. Venez les défendre en manifestant ce WE.

Scolarisation dès 2 ans et obligatoire dès 3 ans

Des sénateurs ont déposé une proposition de loi visant à garantir un droit
à la scolarisation des enfants dans les
écoles maternelles dès l'âge de
deux ans :

"Permettre la scolarisation à partir de 2 ans de tous
les enfants qui sont prêts et dont les familles en font la demande
apparaît donc être un enjeu majeur. Il ne s'agit pas de rendre la
scolarisation dès 2 ans obligatoire, mais bien de permettre à
tous les parents qui le souhaitent d'y faire accéder leur enfant. […]

Afin de reconnaitre à leur juste valeur les apports
fondamentaux et l'importance de la place de cette institution au sein de notre
système scolaire, il nous parait indispensable de rendre obligatoire
dès 3 ans le droit à l'éducation
. Parce qu'elle constitue
un temps permettant la mise en place de mécanismes déterminants
pour la réussite de la scolarité et la réduction de
l'écart entre les inégalités sociales et les
inégalités scolaires, il est parfaitement cohérent
d'étendre l'obligation scolaire à la maternelle."

Je propose que, dans un souci d'égalité, l'Etat se charge de l'enseignement dès la naissance. En attendant de trouver un moyen de rendre les 9 mois de gestation in utero (pour les enfants qui auront eu la chance d'aller au bout), égalitaires entre tous les citoyens.

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