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La crise de la foi porte une crise du mariage

Dans son discours au Tribunal de la Rote Romaine pour
l'ouverture de l'année judiciaire, Benoît XVI a déclaré (traduction par benoît-et-moi) :

"[…] Dans le contexte de l'Année de la Foi,
je voudrais m'arrêter en particulier, sur certains aspects de la
relation entre la foi et le mariage, en notant que la crise actuelle de
la foi qui affecte différentes parties du monde, porte avec elle une
crise de la société conjugale, avec toutes la charge de souffrance et de
difficultés que cela comporte pour les enfants.
Nous pouvons prendre comme point de départ les racines linguistiques communes qu'ont en latin les termes fides et foedus,
ce dernier mot étant celui par lesquel le Code de Droit Canonique se
réfère à la réalité naturelle du mariage comme alliance irrévocable
entre l'homme et la femme (cf. can. 1055 § 1). La confiance mutuelle, en
fait, est le fondement indispensable de tout pacte ou alliance.
Sur
le plan théologique, la relation entre foi et mariage assume une
signification encore plus profonde. Pour les baptisés, le lien sponsal,
en effet, bien que réalité naturelle, a été élevé par le Christ à la
dignité de sacrement (cf. ibid .)

Le pacte indissoluble entre
l'homme et la femme, ne requiert pas, aux fins de la sacramentalité, la
foi personnelle des fiancés; ce qui est requis, comme minimum
nécessaire, est l'intention de faire ce que fait l'Église
. Mais s'il est
important de ne pas confondre la question de l'intention avec la foi
personnelle des contractants, il n'est pas possible de les séparer
complètement. Comme le faisait noter la Commission théologique
internationale dans un document de 1977, «au cas où l'on ne perçoit
aucune trace de foi en tant que telle (dans le sens du mot «croyance»,
disposition à croire), ni aucun désir de la grâce et du salut , se pose
le problème, en fait, de savoir si l'intention générale et vraiment
sacramentelle que nous avons mentionnée, est présente ou non, et si le
mariage est contracté validement ou non
» ( La doctrine catholique sur le
sacrement du mariage [1977]). […]

La
culture contemporaine, marquée par un subjectivisme accentué, et un
relativisme éthique et religieux, place la personne et la famille face à
des défis pressants.
En premier lieu, face à la question sur la
capacité de l'être humain de se lier, et si un lien qui dure toute la
vie est vraiment possible et correspond à la nature humaine, ou n'est
pas au contraire, en opposition avec sa liberté et son auto-réalisation
.
Il fait partie d'une mentalité diffuse, en effet, de penser que la
personne devient elle-même en restant «autonome» et en n'entrant en
contact les uns avec les autres que par des relations qui peuvent être
interrompues à tout moment.  […]

Le refus de la proposition divine, en effet, conduit à un déséquilibre profond dans toutes les relations humaines,
y compris celle matrimoniale, et facilite une interprétation erronée de
la liberté et de la réalisation de soi, qui, combinée à un refus de
supporter patiemment la souffrance, condamne l'homme à se refermer dans
son égoïsme et son égocentrisme.
Au contraire, l'accueil de la foi
rend l'homme capable du don de soi, dans lequel seulement, «en s'ouvrant
aux autres, aux autres, aux enfants, à la famille … en laissant
façonner par la souffrance, il découvre l'ampleur de l'être une personne
humaine».

La
foi en Dieu, soutenue par la grâce de Dieu, est donc un élément très
important pour vivre la dévotion mutuelle et la fidélité conjugale

(Catéchèse de l'audience générale [8 Juin 2011]). Il ne s'agit pas ici
de dire que la fidélité, comme les autres propriétés [du mariage], ne
sont pas possibles dans le contrat de mariage naturel entre
non-baptisés. Celui-ci, en effet, n'est pas dépourvu de «ces biens qui
viennent de Dieu Créateur et s'insèrent de manière inchoative
dans l'amour sponsal qui unit le Christ et l'Eglise
» (Commission
théologique internationale, la doctrine catholique sur le sacrement du
mariage [1977]). Toutefois, il est certain que la fermeture à Dieu ou le
rejet de la dimension sacrée de l'union conjugale et de sa valeur dans
l'ordre de la grâce rendent difficile l'incarnation concrète du modèle
très haut de mariage conçu par l'Église selon le plan de Dieu, allant
jusqu'à porter atteinte à la validité même de l'accord
si, comme
l'assume la jurisprudence de ce Tribunal, elle se traduit par un rejet
du principe d'obligation matrimoniale de loyauté, c'est-à-dire des autre
éléments ou propriétés essentielles du mariage. […]"

Comparaison de 2 cortèges, celui du 27 et celui du 13

Voici le film en accéléré des 2h de manifestation hier (en 5mn39) :

 

Pour comparer : la vidéo en accéléré du cortège de la Place d'Italie (le moins nombreux des 3 le 13 janvier), filmé pendant 4h30 :

 

Un témoignage publié par Libération montre que les homosexuels n’ont pas besoin de cette réforme

Lu dans Libération :

"Voici trois femmes attablées à la terrasse d'un café, près de Bastille,
Dominique, 63 ans, Arlette, 66 ans et leur fille, Hélène, 39 ans sont
venues de Rouen, en famille. Dominique, «militante dans l'âme» et «féministe», aime raconter son histoire: «nous
vivons ensemble depuis 31 ans
, on a créé ensemble notre entreprise,
nous avons trois enfants. C'est Arlette qui les a portés, moi je les
supporte»
, s'amuse -t-elle. Tous les trois sont nés du même père du temps oú Arlette etait mariée. «Quand
ils ont atteint la majorité, ils m'ont demandé de les adopter. Ils
portent le nom de leur père et le mien. Ils ont trois parents. Ils
hériteront de nous trois. On est allé au tribunal, tout s'est fait très
simplement sans problème
»
, poursuit Dominique."

Voilà donc un témoignage montrant que le "mariage homosexuel" ne sert à rien, sinon à subvertir la société, à offenser les gens normaux, à détruire tout ce qui est bel et bon. "Tout s'est fait très simplement sans problème." Et sans "mariage". On mesure l'ampleur du mensonge.

Intox de Libération

Pour illustrer leur direct de la manifestation d'aujourd'hui, les journalistes de Libération ont utilisé une photo de la manif du 13 :

LIl faut dire que les manifestants du jour brandissaient des pancartes insultantes ou/et ras-des-fesses.

S’il y avait 125 000 manifestants aujourd’hui, il y en avait plus d’1 million le 13

Le bidonnage des chiffres de la manifestation du 13 janvier peut être démontré grâce à la préfecture de police elle-même :

"Nous
allons refaire les calculs de la Préfecture de Police de Paris, en nous
basant sur les données que celle-ci a bien voulu communiquer au journal
Le Monde, après la Manif pour tous. Il nous faudra pour cela
calculer la vitesse et le temps d'écoulement du cortège, afin d'évaluer
la "profondeur" du cortège en nombre de manifestants. Puis, il faudra
calculer la "largeur" du cortège, en nombre de manifestants. Enfin, par simple multiplication "profondeur" x "largeur", nous obtiendrons les chiffres exacts de la participation.

1. Vitesse du cortège :

14h22 : Des milliers de partisans du mariage homosexuel ont commencé à défiler à Paris, au départ de la place Denfert-Rochereau. Source
15h39
Les partisans du projet de loi manifestent dans les rues de Paris. La
tête du cortège est vers Saint-Michel mais l'arrivée à Bastille se fera,
pour le gros du cortège, bien après 17h. Source
Donc : 14h22 départ de la place Denfert-Rochereau et 15h39 au boulevard Saint-Michel, soit 77mn après l'heure de départ.
Le
boulevard Saint-Michel étant situé à 1 700 mètres de la place
Denfert-Rochereau, la vitesse du cortège est de 1 700 / 77 = 22,1 m/mn =
0,368 m/s

2. Temps d'écoulement du cortège :

16h22 – La
place de la Bastille attend les manifestants, comme le tweet Geoffrey
Clavel (photo). La queue du cortège a quitté Denfert-Rochereau il ya peu
de temps. Source
Donc : un temps d'écoulement des tous les manifestants de 2h00mn pile (14h22-16h22), soit 7200 secondes.

3. "Profondeur" du cortège ;

Reprenons les hypothèses de comptage détaillée par Le Monde pour la Manif pour tous Source D'après Le Monde, la profondeur d'un rang de manifestant était de 2,2 m. La vitesse d'un rang était aujourd'hui de 0,368 m/s (calculée plus haut). En
conséquence, la durée d'écoulement d'un rang de manifestants à la
manifestation d'aujourd'hui peut être estimée à 2,2 / 0,368 = 5,98
secondes, soit plus ou moins 6 secondes. Donc, la "profondeur" de cette manifestation pro-marchandisation était de : 7200 secondes / 6 secondes = 1 200 rangs.

4. "Largeur" du cortège :

Toujours d'après Le Monde, la largeur d'un rang de manifestants est de 2,2 mètres. Source
La
manifestation des pro-marchandisation comptait deux itinéraires : le
premier par l'avenue Denfert-Rochereau, le second par le boulevard
Arago. L'avenue Denfert-Rochereau est large de 40 mètres. L'avenue Arago est, quant à elle, large de 30 mètres. Source : fr.wikipedia.org
Donc, la "largeur" des deux cortèges de manifestants proi-marchandisation était donc de 40 + 30 = 70 mètres.
Sur
une largeur de 70 mètres, Le Monde et la Préfecture de Police de Paris
comptent par déduction 70 / 2,2 =31,81 manifestants. Arrondissons à 32
manifestants.

5. Estimation du nombre de manifestants pro-marchandisation :

Sachant que la "profondeur" du cortège était de 1 200 rangs, sachant que la "largeur" de chaque rang était de 32 manifestants, il
n'a pas pu y avoir plus de 1 200 x 32 =38 400 manifestants
pro-marchandisation aujourd'hui, à Paris, si l'on reprend les hypothèses
de la Préfecture de Police utilisées lors du dénombrement des
participants de la Manif pour tous. Le point d'arrivée de la
manifestation des pro-marchandisation, la place de la Bastille, a une
surface de 32 500 mètres carrés, et ne peut de toutes façons pas
contenir, d'après les hypothèses classiques de la Préfecture de Police,
plus de 32 000 personnes…

6. Conclusion :

Pour atteindre
le chiffre de 125 000 participants annoncés officiellement par la
Préfecture de Police de Paris pour les pro-marchandisation, il est
obligatoire de modifier les hypothèses de comptage.
Le coefficient de majoration utilisé par la Préfecture de Police aujourd'hui dimanche 27 janvier est de 125 000 / 38 400 = 3,26. De
ce coefficient de 3,26, il est possible de déduire le chiffre réel du
nombre de manifestants de la Manif pour tous, tel qu'il est arrivé sur
le bureau de Manuel Valls : 340 000 x 3,26 = 1 107 000 participants.
"

La manif LGBT était une manif haineuse et anti-catholique

La preuve par l'image (via Nouvelles de France). Mais est-ce une surprise ?

Colloque à l’assemblée nationale le 28 janvier : “France qu’as tu fait de tes libertés?”

Un colloque se tiendra lundi 28 janvier à l'Assemblée nationale à l'initiative de Jacques Bompard, député du Vaucluse" et Paul-Marie Couteaux (SIEL). Voici un extrait du communiqué de Jacques Bompard :

Bompard"(…) la droite nationale française estime urgent de remettre la question des libertés au centre du débat politique : alors que la liberté s'inscrit depuis deux siècles sur tous les édifices publics, jamais les libertés n'ont été aussi bafouées par la volonté de détruire tout ordre traditionnel. Il n'est pas admissible qu'une certaine gauche d'inspiration libertaire se la soit appropriée depuis trente ans alors qu'elle les piétine, qu'il s'agisse de la liberté d'expression, de la liberté religieuse, des libertés économiques, des libertés universitaires et des multiples façons par lesquelles s'exprime la fidélité à notre civilisation.

L'après-midi sera ouverte par Jacques Bompard, député-maire (Ligue du Sud) d'Orange, et Karim Ouchikh, président exécutif du SIEL, puis conclue par Paul-Marie Coûteaux. S'exprimeront notamment Gilbert Collard (député RBM) Xavier Lemoine, maire de Montfermeil (UMP) (…)

Cette rencontre s'inscrit dans la préoccupation du SIEL, partagée par Jacques Bompard, de la nécessaire Union des droites en vue de la grande réforme intellectuelle et morale qu'attend notre pays."

Parmi les intervenants, sont également annoncés, entre autres, Roberd Ménard et Tugdual Derville.

La manif LGBT fait un bide : moins de participants qu’espéré

Le défi des organisateurs était de mobiliser davantage que le précédent défilé parisien
pro-mariage gay du 16 décembre (150 000 annoncés) et de riposter à la manifestation du 13 janvier (entre 340 000 personnes  et un million). Malgré les dizaines de milliers de personnes, cette manifestation du 27 janvier a rassemblé moins de 150 000 personnes. C'est donc un échec pour le lobby groupusculaire.

A 12h30, la place Denfert-Rochereau à Paris, lieu de départ de la manifestation organisée par les organisations LGBT (plus la gauche et les syndicats) était encore vide. A titre de comparaison, le 13 janvier, la même place était déjà bondée dès 12h00 et la tête du cortège devait remonter toute la rue Froidevaux, jusqu'à l'avenue du Maine, pour avoir un peu de place :

2
Voici les arguments percutants du lobby LGBT. La haine, voilà tout ce qui les anime :

1
Comme la place est vide, je vous propose de rappeler comment François Hollande à fait supprimer son entretien à Têtu dans lequel il défendait la PMA pour tous :

3
Eric Martin rappelle sur Nouvelles de France que la place de la Bastille, où doit s'achever cette manifestation, fait, d’après Wikipédia France, 32 250 mètres carrés soit 215×150 mètres. Lors de chaque gay pride (35 000 personnes en 2011, d’après la Préfecture de police de Paris), elle est pleine. Débordera-t-elle en fin de journée ? À la manifestation du 16 décembre 2012, la place de la Bastille n’avait jamais été remplie, ne serait-ce qu’au quart. Nouvelles de France avait, photos à l’appui, estimé la participation à 10 000 personnes. A suivre.

Le
Premier ministre Jean-Marc Ayrault a dit samedi espérer une "forte
mobilisation
" lors de la manifestation organisée dimanche à Paris :

"Ceux qui sont pour doivent le
dire. Pas seulement ceux qui sont contre".

Echec pour le Premier ministre. Dans les milieux policiers on estime que la mobilisation devrait au
mieux atteindre celle de la précédente manifestation des pros mariage,
soit entre 50 000 à 60 000 personnes.
Rue Daguerre une chorale a entonné l’Internationale. Serait-ce une manifestation marxiste ? Le communisme pour tous ?

A 14h, le cortège a démarré avec à sa tête plusieurs
personnalités comme Pierre Bergé, favorable à la PMA et à la GPA, aux côtés de Roselyne Bachelot.

Voici un chant LGBT. Ces gens ne pensent qu'au sexe hard :


4
Petit calcul d'Eric Martin sur Nouvelles de France :

"deux bus de sympathisants LGBT ont quitté dans la matinée la ville
d’Orléans là où il y avait eu 12 départs le 13 janvier
(et 25 en tout
pour le Loiret). Si, partant des chiffres communiqués par la Préfecture
de police de Paris le soir de la Manif pour Tous (340 000), l’on fait un
ratio en admettant que la division du nombre de bus
sera la même dans tous les départements de France, le nombre de
manifestants présents aujourd’hui dans la capitale pourrait bien tourner
aux alentours de 27 200
"

13h30 à Denfert-Rochereau, il n'y a vraiment pas grand monde :

5
A 15h30, la place de la Bastille est toujours vide (pour mémoire, le 13 janvier, les premiers manifestants arrivaient dès 14h30 sur le Champ de Mars) :

6

Marine Le Pen vient de déclarer :

"Si nous avons des maires, la plupart d'entre eux refuseront de célébrer des mariages (homo ndlr) mais liberté de conscience."

Affluence de policiers derrière l'église de St-Nicolas du Chardonnet, où doit passer la manifestation LGBT. Ces gens sont en effet connus pour leur violence et leurs provocations :

7
15h11, sur le boulevard Saint-Michel, les rangs sont clairsemés :

8
Face au flop de cette mobilisation, les chaines d'informations passent
en boucle les images des retrouvailles entre le gagnant du Vendée Globe, François Gabart,
et sa femme ! Le Salon Beige reviendra bientôt sur cet évènement sportif (et oui !) mais en attendant, place à la désintoxication.

Le lobby LGBT est en train de perdre la bataille médiatique. Sur twitter, le hashtag #floppourtous, utilisé par les pro-famille arrive devant le hashtag #manifpoutous des LGBT. Cela signifie qu'il y a bien plus d'internautes pro-famille sur twitter en ce moment que d'internautes LGBT.

Encore des rangs clairsemés :

9

Les Femen seins nus sont présentes. Et tant pis pour les enfants qui assistent à ce spectacle.

Encore un slogan très fin :

10
Un militant zoophile au sein de la manifestation LGBT :

11
Ils ne pensent vraiment qu'à ça :

12

Pour Le Monde, il y a "des milliers de manifestants". Pas des centaines de milliers. Les organisateurs voulaient 150 000 manifestants (un succès, au-delà de 340 000, ce serait un énorme succès). Ils ont très clairement échoué. N'ayant pas peur du ridicule, les organisateurs LGBT annoncent un million de personnes. Avec 2 malheureux cortèges, très peu de bus, ils n'ont pas peur du mensonge trop gros.

Une source interne aux forces de l'ordre présentes sur place donne 65 000 participants.

A La Bastille, les webcam ne fonctionnent pas… :

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Les insultes pleuvent. Aucun élu ni aucun organisateur ne désapprouve. Le dérapage est la marque de fabrique des LGBT (et encore, je vous en ai évité de pires) :

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On m'informe qu'à Bastille, les stations de métro sont ouvertes. Preuve qu'il n'y a pas trop de monde. En même temps, cela permet aux premiers arrivés de repartir directement sur l'arrière pour favoriser l'intox.

17h00 : selon un témoin sur place, la place de la Bastille est à moitié vide. Soit 16 000m² environ (superficie totale : 32250 m²). Le Figaro annonce 120 000 personnes, ce qui reste un échec face à l'objectif LGBT (150 000).

Menace contre François Hollande :

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Voici la place de la Bastille à 16h30 :

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17 associations avaient appelé à manifester devant l'ambassade de France à Rome. Résultat :

R
La Bastille à 17h30, on ne se marche pas sur les pieds :

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Selon un témoin, la cortège passant par Austrelitz a mis 35mn à passer. Le 13 janvier, il a fallu 5h aux cortèges.

Conscients de leur échec "les organisateurs ne veulent pas jouer la guerre des chiffres." (BFMTV).

Slogan contre le pape :

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J'ai reçu toute une collection de photos montrant des slogans anti-chrétiens. Ces gens sont obnubilés par l'Eglise. A croire qu'ils ne manifestent pas pour la dénaturation du mariage, mais contre l'Eglise.

A la Bastille, les promoteurs de la dénaturation du mariage ont affirmé au micro que le sujet de cette loi n'était pas l'enfant, mais la reconnaissance de l'homosexualité, sujet que ne souhaitent pas aborder les communicants de La Manif pour Tous. Quant à nous, nous souhaitons aborder ce sujet et rappeler avec l'Eglise que l'homosexualité est une tendance désordonnée, que l'on ne peut en aucun cas approuver les actes homosexuels.

La préfecture de police annonce 125 000 manifestants (faut-il diviser par 3 ?), c'est donc bien un échec par rapport à l'objectif des 150 000 (la police avait annoncé 60 000 personnes lors de l'édition du 16 décembre).

D'ailleurs, le réseau passait très bien, j'ai pu recevoir des messages en direct, sur téléphone et par courriel, téléphoner à mes correspondants sur place, contrairement à la manif du 13 durant laquelle le réseau était saturé.

Marine Le Pen a déclaré :

"Il me semble que le principe de précaution devrait pousser à ce que
l'on refuse ce mariage et donc l'adoption pour les couples homosexuels
,
puisqu'il pourrait exister un risque bien entendu pour les enfants".

"La question, c'est que
l'adoption veut dire que nous sommes face à des orphelins: il est
difficile de commencer sa vie en étant orphelin et, par conséquent, être
de surcroît élevé par un couple homosexuel, ça doit pas être très
simple pour un enfant
".

La Bastille à 17h30 :

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Les organisateurs annoncent 400 000 personnes, mais la police 125 000.

Les francs-maçons sont bien là :

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Act up aussi :

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19h00 : la place de La Bastille est déjà vide.

Comparons le Champ de Mars et la place de la Bastille

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Source

Chaque jour peut devenir l’aujourd’hui du salut

Lors de l’angélus, Benoît XVI a déclaré :

"[…] En bon observateur de la loi, le
Seigneur ne se dérobe pas au rythme liturgique hebdomadaire et s'unit à
l'assemblée de ses compatriotes dans la prière et dans l'écoute des
Ecritures
. Le rite prévoit la lecture d'un texte de la Torahou
des Prophètes, suivie d'un commentaire. Ce jour là Jésus se leva pour
lire et trouva un passage du prophète Isaïe qui commence ainsi : «
L'esprit du Seigneur est sur moi parce que le Seigneur m'a consacré par
l'onction. Il m'a envoyé porter la bonne nouvelle aux pauvres
»
(61,1-2). Origène commente : « Ce n'est pas par hasard qu'il a ouvert le
et trouvé le chapitre de la lecture qui prophétisait sur lui, mais ce
fut une action de la providence de Dieu
» (Homélie sur l'Evangile de Luc
32, 3). Jésus en effet, une fois terminée la lecture, dans un silence
chargé d'attention, dit : «Cette parole de l'Écriture, que vous venez
d'entendre, c'est aujourd'hui qu'elle s'accomplit
. » (Lc 4,21).
Saint Cyrille d’Alexandrie affirme que l’«aujourd'hui», qui est entre
la première et la dernière venue du Christ, est lié à la capacité du
croyant à écouter et à reconnaître ses torts (cf. PG 69, 1241).
Mais, dans un sens encore plus radical, c'est Jésus même
«l’aujourd'hui» du salut dans l'histoire, parce qu'il porte à son
accomplissement la plénitude de la rédemption. Le terme «aujourd'hui»,
très cher à saint Luc (cf. 19,9; 23,43), nous rapporte au titre
christologique préféré de l'évangéliste, celui de «sauveur» (sōtēr).
Dans les récits de l'enfance, il est déjà présent dans les paroles de
l’ange aux bergers : «Aujourd'hui vous est né un Sauveur, dans la ville
de David. Il est le Messie, le Seigneur.
» (Lc 2,11).

Chers amis, ce passage nous interpelle aussi «aujourd'hui». Tout
d'abord il nous fait penser à notre façon de vivre le dimanche: jour du
repos et de la famille, mais avant tout jour à dédier au Seigneur
, en
participant à l’Eucharistie, dans laquelle nous nous nourrissons du
Corps et du Sang du Christ et de sa Parole de vie. En second lieu, à
notre époque de dispersion et de distraction, cet Evangile nous invite à
nous interroger sur notre capacité d'écoute
. Avant de pouvoir parler de
Dieu et avec Dieu, il faut l'écouter, et la liturgie de l'Eglise est
l'“école” de cette écoute du Seigneur qui nous parle. Enfin, il nous dit
que chaque moment peut devenir un  «aujourd'hui» propice pour notre
conversion. Chaque jour (kathēmeran) peut devenir l'aujourd'hui
du salut, car le salut est histoire qui continue pour l'Eglise et pour
chaque disciple du Christ. C'est le sens chrétien du «carpe diem»: cueille l'aujourd'hui où Dieu t'appelle pour te donner le salut !"

Manifestation quotidienne aux Invalides contre la dénaturation du mariage

À partir de dimanche soir 27 janvier, le collectif Laissez nous voter
donne rendez-vous à tous ceux qui, résidant en région parisienne, refusent l'autisme du gouvernement sur la loi Taubira.

De 17h30 à 20h, tous les
soirs de la discussion à l'assemblée pour prier, tracter et manifester
publiquement notre opposition
.

Esplanade des Invalides côté Air France.

30 janvier : conférence de Reynald Secher à Orveau

S

Mobilisation pro-famille dimanche et jours suivants, esplanade des Invalides !

17h30 sur l’Esplanade des Invalides, côté Seine :

Depuis son annonce par le gouvernement, le projet de loi sur la modification du mariage a fait entendre les voix nombreuses et diverses de ses opposants.
Des parlementaires de l’Entente pour la Famille aux professionnels de l’enfance en passant par les autorités religieuses et de nombreuses associations familiales, les opposants au projet ont développé des arguments de fond qui n’ont rencontré que mépris, dénégation et caricature.
Le 13 janvier, nous étions sans aucun doute plus d’1 million dans les rues pour réclamer le retrait du projet. Il se dégage qu’une majorité de Français ne veut pas de cette dénaturation du mariage et de la filiation que le gouvernement prétend nous imposer en catimini, sans débat.
Le collectif pour la famille « Laissez-nous voter » demande l’organisation d’un référendum national, et la mise en place des instances permettant un réel débat de fond sur les enjeux et les perspectives de ce projet.
Le Collectif invite donc à un rassemblement quotidien, sur l’Esplanade des Invalides, à Paris, de 17h30 à 21h
. Tous les jours, jusqu’à ce que le Gouvernement nous entendent et nous écoute.
Avec le soutien de nombreux élus, nous serons là tous les jours pour leur faire entendre la voie du peuple français.
Nous ne lâcherons rien !

Suite à l’initiative menée depuis dimanche par le Collectif pour la famille Laissez nous voter et des pères de famille, nous lançons un appel à la mobilisation générale et quotidienne sur 3 points concrets :

  1. Une présence sur site de 17h30 à 21h00. Rassurez-vous : La température est certes basse mais l’ambiance est bonne.
  2. Une aide logistique en nous apportant des boissons (par exemple les ingrédients pour du vin chaud, chocolat chaud, café,…) et autres friandises…
  3. un relai de l’action auprès de tous vos réseaux

REJOIGNEZ ET SOUTENEZ CETTE ACTION et EXIGONS TOUS ENSEMBLE L’ARRÊT IMMEDIAT DU PROJET DE LOI, UN VRAI DEBAT ET UN REFERENDUM
Pour vos questions ou propositions, vous pouvez nous contacter par messagerie : [email protected]

Un bonhomme de neige selon les organisateurs, un flocon selon la Préfecture

N

PMA : le gouvernement devrait reculer

Lu dans Le Monde :

"Le gouvernement a beau avoir assuré, vendredi 25 janvier, que la loi
sur la famille, présentée en conseil des ministres le 27 mars, permettra
d'ouvrir la procréation médicalement assistée (PMA) aux couples de
femmes, l'avenir de la PMA reste incertain
. Car, de son côté, François
Hollande a indiqué, vendredi, à l'Union nationale des associations
familiales qu'il souhaitait saisir le Comité consultatif national
d'éthique (CCNE) sur cette question.

A deux mois du dépôt du
texte, les agendas semblent intenables
. Il sera en effet difficile au
CCNE, organe de réflexion, de rendre à François Hollande un avis si
rapidement, alors que le délai de trois mois que lui a fixé l'Elysée en
décembre 2012 pour s'exprimer sur la problématique de la fin de vie
semble déjà court. Pour le moment, l'exécutif se garde bien de donner
une date précise pour le débat parlementaire ; " tout ce qu'on peut commencer avant l'été est préférable ", avance seulement Matignon. […]

Un
président dont les intentions profondes sont difficilement
déchiffrables, un gouvernement désuni, une opposition radicalisée, un
Comité consultatif d'éthique qui s'empare à son tour de la question sans
que l'on sache quand il donnera sa réponse et ce que ferait le
gouvernement si celle-ci était négative : on voit mal dans l'état actuel
des choses comment le projet de loi sur la famille pourrait être
présenté en conseil des ministres dans moins de deux mois.
D'autant plus
que, pour ajouter à la confusion ambiante, ni Matignon ni les
ministères concernés ne sont en mesure aujourd'hui de dire précisément
quels sujets seront abordés dans le texte."

Mariage : la question n’est pas celle des droits des adultes, mais des devoirs envers les enfants

Nathalie Heinich, sociologue et directrice de recherches au CNRS, publie une tribune dans Le Monde, sur le mariage. Extraits :

"Il est faux d'affirmer que le
mariage est non seulement l'institution organisant la filiation mais
aussi celle reconnaissant une " communauté de vie " : si c'était le cas,
maints pères pourraient se marier avec leur fille, maintes mères avec
leur fils, maints frères avec leur soeur, puisque nombreuses sont les
familles où existe une telle communauté de vie. Ce que reconnaît
l'institution du mariage, c'est l'existence d'un rapport sexuel dans une
communauté de vie, ouvrant donc à la possibilité d'une filiation.

Dans ces conditions, prétendre ne revendiquer le mariage homosexuel que
pour la reconnaissance d'un lien amoureux, et non pas pour la
filiation, revient à exiger de l'Etat qu'il ait un droit de regard sur
la sexualité des personnes (ce que, soit dit en passant, les mouvements
de défense des homosexuels ont longtemps combattu, du temps où
existaient des lois condamnant l'homosexualité). Faut-il accepter, au
nom de l'égalité, que la sexualité entre adultes consentants devienne,
pour tous – hétérosexuels comme homosexuels -, une affaire d'Etat ?
C'est là une conséquence majeure de l'actuel projet de loi, qui
mériterait d'être, pour le moins, discutée.

Concernant,
justement, l'argument de l'égalité : il est faux d'affirmer que le
mariage homosexuel serait conforme à l'exigence d'égalité de tous les
citoyens, car une telle exigence n'a jamais existé, en démocratie, que
sur le plan des droits civiques – le droit de vote en particulier.

[…] Reste la question de la parentalité
: là, le statut des homosexuels n'est pas équivalent à celui des
hétérosexuels, puisque leur sexualité rend problématique l'engendrement,
sauf à pratiquer la bisexualité ou à recourir à des techniques
artificielles.
Nos institutions juridiques ont-elles pour vocation de
compenser les conséquences problématiques que peuvent avoir pour des
individus leur refus de recourir à des arrangements avec l'autre sexe,
en dissociant plaisir sexuel et procréation ? Là encore, le saut logique
et éthique est considérable. Certes, l'on peut toujours modifier une
institution. Mais est-ce parce qu'une modification est possible, ou
parce qu'elle est souhaitée par certains, qu'elle doit être imposée à
tous, au prix de bouleversements dont les implications n'ont pas été
réellement discutées, faute justement de réel débat ou d'arguments
sérieux ?

[…] En l'état de nos institutions, il faut donc admettre
que le mariage homosexuel ne prend sens que dans une revendication de
filiation
: ce qui est d'ailleurs le fondement de l'institution du
mariage, qui consiste initialement (même si cette fonction a été
historiquement élargie par diverses réformes) à donner des parents
légaux (donc une généalogie) à des êtres de chair. Et en effet,
autoriser le mariage homosexuel, c'est ouvrir automatiquement le droit à
l'adoption pour les couples homosexuels.

La question qui doit se
poser alors n'est plus celle des droits des adultes, mais des devoirs
envers les enfants
; et précisément : quel sera leur état civil ?
Auront-ils accès à l'identité de leurs géniteurs ? Leur propre identité
sera-t-elle inscrite dans la différence des sexes qui a présidé à leur
engendrement, ou bien y aura-t-il déni de cette réalité originaire ?
Sachant l'importance des troubles (parfois psychotiques) liés au secret
ou au déni de l'origine, il serait irresponsable de s'engager dans une
ouverture du mariage, donc de la filiation, aux couples de même sexe,
sans réponse claire à ces questions – principe de précaution oblige. Et
ne parlons même pas ici des problèmes posés par la procréation
médicalement assistée (PMA) ou la gestation pour autrui (GPA), qui ne
manqueront pas d'être exigés, toujours au nom de l'égalité. […]"

Manif LGBT : nouveau bide à Brest

Maville.com voit 400 personnes. J'en compte environ 150 :

B
A noter que cette manifestation a mobilisé de nombreuses associations : Wet-Up,
Aides, Divers-Genres, Sud, CFDT, UDB, les Verts, le syndicat étudiant
Unef, le Planning familial, etc. Bref : chaque association a mobilisé une poignée de personnes.

Rugby : les belles références de Pascal Papé

Sur Le Salon Beige, très peu de sport, mais une fois n'est pas coutume :

P""Si j'avance, suivez-moi, si je recule, tuez-moi, si je meurs, vengez-moi."
Remonté comme jamais et bien décidé à quitter ses partenaires de club
sur une victoire et rien d’autre, avant de rejoindre et de mener les
Bleus dans le prochain Tournoi des Six Nations, Pascal Papé avait fait
sienne cette citation du chef de guerre vendéen Henri de La
Rochejaquelein
à l’heure d’affronter ce vendredi les promus grenoblois à
Charléty. Placardés sur le paper-board du vestiaire parisien, ces mots,
forts, intenses même, auront à coup sûr inspiré ses coéquipiers

capables non seulement d’équilibrer le bilan des confrontations cette
saison avec le FCG à deux victoires partout, deux semaines après une
nouvelle défaite en Isère dans le cadre du Challenge Européen, mais
aussi et surtout d’y ajouter la manière en signant la première victoire à
cinq points de la saison du club parisien (35-6)."

Autres dérapages LGBT

Voici les slogans de demain, récoltés par Le Figaro :

  • «Dieu est-il une lesbienne noire?»
  • «On veut l'adoption, pas les gosses».
  • «on veut des enfants pas naturels»
  • «Retirez votre sexe de mon état civil!»
  • «face au pont Marie, la reine des inséminées»
  • «Poussez pour la PMA»

La pilule tue selon un rapport de l’Agence du médicament

Le Figaro s'est procuré un document confidentiel interne de
l'Agence du médicament daté du 25 janvier, émanant de la direction de la
surveillance. Cette étude concerne Diane 35 (laboratoire Bayer), un
traitement contre l'acné en réalité très largement prescrit comme
contraceptif
. Il en ressort qu'au 21 janvier 2013, 7 cas de décès
(toutes causes confondues) ont été enregistrés en France avec Diane 35
dans la base nationale de pharmacovigilance depuis 1987. 

A côté de ces décès, il y a aussi toutes les complications sanitaires provoquées par cette pilule.

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