Blogs

Bretons indépendantistes : cachez cette vérité

Lu dans Minute :

"Le n° 84 du magazine « Bretons », daté de
février 2013, a été retiré de la vente au bout de
48 heures
afin de réimprimer correctement
les numéros défectueux. Voilà pour la version
officielle. Mais d’une mise en vente à l’autre, la
couverture a été modifiée
. De quoi alimenter
la suspicion de censure autour de la très
sensible question de l’indépendance de la
Bretagne."

B"L’affaire, qui fait grand bruit en
Bretagne, finit par occulter les résultats
de l’enquête de l’Ifop. Elle livre
pourtant des éléments sur lesquels le
gouvernement et les différents partis
politiques français feraient bien de
méditer.
Par exemple que 33 % des
Bretons âgés de 18 à 24 ans se déclarent
favorables à l’indépendance! Un
jeune sur trois![…] Quand un homme comme l’ancien pdg
de TF1 Patrick Le Lay, fondateur
de TV Breizh, déclare être « profondément
indépendantiste » car « la nation
française est un concept qui est faux, […]
un mythe auquel se raccroche un pouvoir
centralisé
», et qu’un Breton sur cinq se
montre prêt à lui emboîter le pas, c’est
que quelque chose ne fonctionne
décidément pas au royaume… de la
République française."

Jean Bastien-Thiry, 50 ans après

T
Cérémonie le dimanche 10 mars au cimetière de bourg-la-Reine, à 15h.

Délire LGBT jusque dans les WC

Cela devait arriver :

"Le conseil municipal de Brighton-Hove (sud-est de la
Grande-Bretagne) vient de décider de remplacer progressivement les
toilettes publiques pour hommes et pour femmes par des lieux «de genre
neutre»
. L'idée, qualifiée de «politiquement correct devenu dingue» par
ses détracteurs, est de ne pas «s'aliéner la communauté transgenre», affirme le quotidien The Telegraph .

[…] Sur les portes sont prévus des pictogrammes représentant un homme, une
femme et un enfant ensemble, signifiant que les lieux sont ouverts à
tous, indépendamment du sexe et de l'âge.

[…] L'an dernier, ce groupe de travail [de la mairie] avait recommandé
que les titres comme «Monsieur», «Madame» et «Mademoiselle» soient
supprimés
, pour ne pas offenser cette communauté, et forcer ces
personnes à «choisir entre les sexes». […]"

Cimetières vandalisés : le FN condamne le mutisme

Marion Maréchal – Le Pen, député du Vaucluse, réagit aux profanations de cimetières mentionnées ce matin :

"Le Front National condamne très fermement ces actes et
demande des sanctions exemplaires à l’encontre des profanateurs
lorsqu’ils auront été identifiés, quelles que soient leurs motivations. Le Front National condamne également le mutisme complaisant de la caste
politique en place qui aurait sans doute été beaucoup plus prolixe s’il
s’était agi de sépultures autres que chrétiennes
."

Pas de deux sur la fiscalisation des allocations familiales

Suite à la levée de boucliers, Jean-Marc Ayrault et Michel Sapin se seraient décidé à ne pas fiscaliser les des allocations
familiales pour réduire les déficits publics français. Selon le député
socialiste Daniel Vaillant, le Premier ministre l'a laissé entendre lors
d'une intervention devant le groupe PS de l'Assemblée nationale.

"La
question, c'est de mieux gérer les dépenses publiques, mais de le faire
de telle manière qu'un certain nombre de politiques, comme celle de la
famille, qui donne des résultats, ne soient pas remises en cause
".

Néanmoins, dans Paris Match,
le ministre du Travail estime :

"Le gouvernement a légitimement demandé aux
Français, notamment aux plus aisés, un effort pour redresser les
finances publiques. Il serait bienvenu de respecter une pause avant de
penser à une nouvelle hausse, directe ou indirecte, des impôts".

Face au besoin de financement de
l'État – en particulier en raison de l'impossibilité de ramener le
déficit public au-dessus de la barre des 3% du PIB du fait du
ralentissement économique – le premier président de la Cour des comptes,
Didier Migaud, avait suggéré, par exemple, une fiscalisation des
allocations familiales.

De la vitalité des familles dépend la vitalité de notre économie

Le député Véronique Besse réagit au projet de fiscalisation des allocations familiales :

« La
famille est dans le collimateur du Gouvernement. Cette fois-ci, il envisage de
la taxer et de faire reposer le poids de la dette sur la natalité !

Plutôt
que s’attaquer à la fraude et aux agences d’Etat qui représentent 70 milliards
d’euros par an, le Gouvernement préfère hypothéquer l’avenir !

Le
Gouvernement prend pour cible les familles et les classes moyennes imposables,
trop riches pour être pauvres et trop pauvres pour être riches. Il s’en prend
ainsi à ceux qui ont encore un peu de pouvoir d’achat et qui contribuent à maintenir
nos emplois.

C’est
un très mauvais calcul. Ce n’est pas en sacrifiant les familles de France que
l’on parviendra à relancer la croissance. La priorité doit au contraire être
donnée aux familles car elles constituent les forces vives de notre pays. De
leur vitalité dépend aussi la vitalité de notre économie.
»

Définition de « l’identité de genre » et modification de la mention du sexe dans l’état-civil

La Commission nationale consultative des droits de l'homme organise une réunion, avec la
sous-commission « Racisme, xénophobie, discriminations – groupes
vulnérables
», le mardi 26 février 2013 à 10h, 35, rue Saint
Dominique à Paris (salle René Cassin). Ordre du jour :

Définition et la place de « l’identité de genre » dans
le droit français, et conditions de la modification de la mention du sexe dans
l’état-civil
(saisine)

Audition de l’inter-LGBT :

  • Nicolas
    GOUGAIN, porte-parole
  • Laura LEPRINCE
    et Samantha MONTFORT, pour la présentation du Livre Blanc « Etat
    civil et population Trans. Droits bafoués et violation de la vie privée » (pdf 99 pages)

Audition de Mme. Maryvonne BLONDIN, sénatrice,
co-présidente du groupe de travail du Sénat sur les questions d’identité de
genre et d’état-civil.

Ce programme, insufflé par le lobby LGBT, est soutenu par les ministres de la justice et du droit des femmes, comme en témoigne
cette lettre du 8 janvier.

Salafisme gay

C'est ainsi que Vini Ganimara qualifie la pression imposée par le lobby LGBT à l'encontre de la liberté d'expression.

40 Days for Life : 68 enfants à naître sauvés

dans les sept premiers jours de la campagne.

« J’ai vendu l’appartement que m’a laissé ma mère pour faire mon fils. »

26 500 euros pour concevoir un enfant par GPA en Inde. C'est illégal, mais grâce à la circulaire de Mme Taubira, c'est comme si c'était légal. Personne n'est poursuivi et l'enfant devient français.

Il ne reste plus qu'à légaliser la location d'utérus et les personnes homosexuelles pourront acheter la conception d'un enfant sans se compliquer la vie à l'autre bout du monde.

L’UE propose de contrôler les médias

Lu sur Ojim :

"Un rapport intitulé Des médias libres et pluralistes pour soutenir la démocratie en Europe vient d’être rendu public. Demandé par Neelie Kroes, commissaire européenne en charge des nouvelles technologies, ce rapport demande la création d’un « conseil indépendant des médias » dans chaque pays de l’Union européenne. Ce conseil devrait « disposer
de réels pouvoirs de sanction comme le fait d’imposer des amendes,
d’ordonner la diffusion d’excuses publiques ou le retrait du statut de
journaliste
 ».

Bien entendu, l’Union Européenne chapeauterait ces nouvelles autorités, en étant « compétente pour protéger la liberté de la presse et le pluralisme ». Ce rapport préconise également une harmonisation des règles dans ce domaine."

La tentative se voit comme le nez au milieu de la figure.

Le CESE est-il là pour servir la soupe du gouvernement ?

Jean-Louis Chaton, ancien membre du CESE, écrit dans Les 4 Vérités (tribune reprise de Nouvelles de France):

"Je me réjouis que les responsables de la
« Manif pour Tous » aient réussi à mobiliser
plus d’un million de personnes à
Paris et déjà plus de 600 000 signatures
pour une pétition. C’est un succès remarquable
dont je les félicite.
Malheureusement, mon expérience d’ancien
membre du Conseil économique, social
et environnemental (CESE), nommé en qualité
de président de la Chambre nationale
des professions libérales, me fait craindre
que l’objectif de la pétition, saisir le CESE
pour avis, ait un effet inverse de celui
recherché, du fait de la composition de ce
Conseil, dont de très nombreux membres
sont nommés par le Président de la
République ou le Premier ministre
.
Je suis persuadé que le CESE donnera un
avis favorable au projet aberrant
de mariage
pour tous.
Par ailleurs, les avis du CESE ne sont pris en
compte par les gouvernements que lorsqu’ils
peuvent leur servir de caution pour
faire aboutir leurs projets.
C’est ainsi que, lorsqu’Alain Juppé a décidé
de créer la CSG, il a demandé l’avis du CESE.
Sur 231 membres du CESE, nous n’avons été
que 3 à voter contre la création de la CSG :
MM. Aicardi, Casanova et moi-même.
Alain Juppé a pu ensuite déclarer que,
conformément à l’avis du CESE, il proposait
la création de la CSG.

Autre exemple de l’orientation du CESE et
des votes : Jean-Louis Dumont, alors ancien
et futur député socialiste de la Meuse,
ayant déposé un avis proposant notamment
la création d’un impôt sur les terrains
à bâtir pour obliger les propriétaires à vendre,
j’ai été le seul membre du Conseil à
voter contre cet avis.
Même Pierre Poujade, le célèbre pourfendeur
de l’oppression fiscale, a voté en
faveur de ce texte préconisant la création
d’un nouvel impôt !
Pierre Poujade avait été nommé membre
du CESE, au titre des personnalités qualifiées
par François Mitterrand, pour le
remercier d’avoir appelé à voter pour lui
lors des élections présidentielles.
Lui ayant demandé comment il avait pu
voter pour la création d’un nouvel impôt,
Pierre Poujade m’a répondu ne pas avoir
pris connaissance du rapport de Jean-Louis
Dumont et qu’il donnait systématiquement
son pouvoir pour voter, en son nom, au président
de son groupe…"

Internet face à la tyrannie médiatique

Dans Les 4 Vérités, Guillaume de Thieulloy commente le dernier ouvrage de Jean-Yves Le Gallou, La Tyrannie médiatique. A lire sur notre page dédiée aux livres.

A quand une Gay Pride dans le “9-3” ?

Christophe Guilluy, géographe, déclare :

"Ce n’est pas sur cette thématique [les revendications LGBT, NDMJ], mais sur le rejet de Sarkozy que
François Hollande a rassemblé une majorité de Français. Il faut
cependant rappeler que 93 % des musulmans, qui sont massivement opposés
au mariage gay,  ont voté Hollande ! Cela dit, plutôt que de battre le
pavé dans le Marais, les organisateurs de la Gay Pride feraient bien de
la délocaliser dans le « 9-3 » avec un départ à Montfermeil et le tour
de la Seine-Saint-Denis. Juste pour voir ce qu’est l’homophobie dans la
vraie vie !"

Appel de l’AGRIF pour la mise hors d’état de nuire des Femens

L'Agrif "réclame
du gouvernement la dissolution du groupe raciste des femhaines
."

Valérie Trierweiler veut une chose et son contraire

Lors d'une visite d'un foyer pour enfants des rues
à New Delhi, Valérie Trierweiler a déclaré vouloir se concentrer sur les droits des enfants et
l'éducation
. Difficile à croire pour une femme qui soutient le projet de loi Taubira et se vante d'être témoin  du "mariage" de deux personnes de même sexe, dès que la loi sera adoptée.

Avant de se préoccuper d'éducation, qu'elle se contente déjà de ne pas priver les enfants du droit d'avoir un père et une mère.

Benoît XVI cherche le vrai, avec une insolence polie et naturelle

Philippe Ariño, essayiste de 32 ans, témoigne dans Famille chrétienne sur Benoît XVI :

"Benoît XVI est l’homme de ma formation philosophique et de ma pensée d’adulte. J’avais 25 ans quand il a été nommé à la tête du Vatican, mais je le connaissais d’avant, grâce aux documents de la Congrégation de la doctrine de la foi,
qui me semblaient d’une grande finesse, en particulier sur les
questions d’homosexualité. J’étais donc préparé à ne pas me laisser
influencer par les très mauvaises caricatures qu’en ont faites au départ
les mass media. Les journaux le disaient austère, rétrograde, trop âgé,
pas aussi sexy et pop que Jean-Paul II. Certains de mes proches le
méprisaient tout autant, mais sous couvert de bienveillance : “Il ne sera pas assez solide pour son époque !”, disaient-ils, défaitistes. Moi, je l’ai aimé dès le départ.
Arbitrairement. Pendant que mon entourage homosexuel ou catholique se
déchaînait contre lui, par stupeur ou ironie de le voir prêter moins
d’importance aux images qu’eux, je ne rentrais jamais dans la polémique.
Au contraire, je me taisais, dans une paix et un amusement qui devaient
désarçonner mes interlocuteurs. Je laissais entendre avec un sourire
confiant qu’ils n’arriveraient pas, malgré toute la bonne volonté du
monde, à m’offusquer de ce que “mon” Pape aurait encore sorti comme “ânerie”. Ah bon, il aurait dit ça sur le préservatif dans
l’avion vers l’Afrique ? Si ça vous chante. Je vérifierai sur internet.
Ah bon, il aurait soutenu des évêques intégristes ? Je regarderai dans
le texte (et je ne vérifiais pas toujours…). Dès qu’il s’agissait de Benoît XVI, bizarrement, sans le savoir, j’étais doux et sourd comme un pot. Benoît XVI se moque du paraître : il cherche le vrai, avec une insolence polie et naturelle. Je
l’imitais. Le contraire de mes manières de réagir : normalement, je
finis les phrases et les idées à la place de ceux qui les énoncent, je
sors les ongles et je me bats comme une hyène. Quel talent ! Il a même réussi à me faire revenir aux JMJ de Madrid. "

La CEDH confirme le droit de priver un enfant de son père ou de sa mère

La CEDH vient au secours du lobby LGBT en condamnant l'Autriche. La Cour européenne des droits de l'homme a jugé mardi
que, dans une union entre deux personnes de même sexe, un conjoint doit pouvoir adopter
l'enfant de l'autre si cette possibilité est ouverte aux couples, donnant ainsi gain de cause à 2 lesbiennes
autrichiennes.

La cour avait été saisie par deux femmes de 45 ans, ainsi que par le
fils de l'une d'elle, âgé de 17 ans. Les deux femmes s'étaient vu refuser
par la justice de leur pays le droit pour l'une d'adopter l'enfant de
l'autre. La loi
autrichienne considère qu'un enfant a forcément un père et une mère :
dès lors, une femme ne peut adopter l'enfant de sa conjointe qu'en la "remplaçant" juridiquement, et pas en étant reconnue comme deuxième mère à ses côtés. Voir l'analyse de Gregor Puppinck sur cette affaire.

Les requérantes se sont donc tournées vers les magistrats européens en
arguant qu'elles avaient été victimes d'une discrimination fondée sur
leur orientation sexuelle
. Les juges de Strasbourg ont estimé que, si une différence de traitement
peut être acceptable entre couples mariés et non mariés, il ne saurait y avoir de discrimination
entre paires non mariées homosexuelles et couples non mariés
hétérosexuels.
Sur le fond, la Cour juge que

"le gouvernement autrichien n'a pas
fourni de preuve établissant qu'il serait préjudiciable pour un enfant
d'être élevé par un couple homosexuel ou d'avoir légalement deux mères
ou deux pères
".

Sic.

Arthur se délocalise au Luxembourg

L'animateur producteur de TF1 Arthur a récemment transféré le siège social de sa société du VIIIe arrondissement de Paris vers le Grand-Duché. Créée en 2006, après la revente de ses parts dans Endemol France, AWPG est dotée d'un capital de 52 M€.

Après les démarches de Bernard Arnault, à la tête de LVMH, pour obtenir la nationalité belge, de l'installation de l'opticien Alain Affelou à Londres, du déménagement fracassant de Gérard Depardieu vers la commune belge de Néchin ou encore des projets de Jean-Michel Jarre outre-Manche, c'est au tour du transfert des activités d'Arthur. Le transfert du siège social vers le Luxembourg a été acté lors d'une assemblée générale extraordinaire d'AWPG le 28 décembre 2012. L'entreprise française a alors été fermée et une société du même nom a été ouverte au Luxembourg. Cette nouvelle société a ensuite créé une succursale implantée en France.
Si ses activités hexagonales restent soumises à l'impôt français, le statut de holding luxembourgeoise lui permet de réduire son imposition globale : le taux d'imposition des sociétés au Luxembourg est de 28,8% (contre 33,3% en France). Et les filiales – dont la succursale française – peuvent faire remonter leurs profits vers la société mère basée au Luxembourg, sans ponction du fisc français.

Oecuménisme en Egypte face aux persécutions

Lu sur le blog d'Yves Daoudal :

"Les chefs des cinq confessions
chrétiennes présentes en Egypte se sont réunis hier au centre culturel
de la cathédrale copte « orthodoxe » du Caire pour signer les statuts du
« Conseil uni des Eglises égyptiennes ».

« Le nouvel organisme – explique à
l’Agence Fides Mgr Kiryllos William, évêque copte catholique d’Assiout –
servira à avancer ensemble sur le chemin de l’œcuménisme et à exprimer
une position commune en ce qui concerne le dialogue et la coexistence
avec les non-chrétiens
. Il aura certainement l’occasion de promouvoir
des initiatives communes sur les plans social et culturel. »

Mgr Kyrillos précise que le nouveau
patriarche « Tawadros II a apporté son plein appui afin de parvenir
rapidement à l’inauguration de ce nouvel organisme dont l’institution
avait été déjà mise en chantier avant son élection ».

Le Conseil aura une présidence tournante. Le premier président est naturellement le patriarche Tawadros."

Nous utilisons des cookies pour vous offrir la meilleure expérience en ligne. En acceptant, vous acceptez l'utilisation de cookies conformément à notre politique de confidentialité des cookies.

Paramètres de confidentialité sauvegardés !
Paramètres de confidentialité

Lorsque vous visitez un site Web, il peut stocker ou récupérer des informations sur votre navigateur, principalement sous la forme de cookies. Contrôlez vos services de cookies personnels ici.


Le Salon Beige a choisi de n'afficher uniquement de la publicité à des sites partenaires !

Refuser tous les services
Accepter tous les services