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Le Conseil d’Etat a rejeté le recours en cassation formé par Philippe Brillault

Il était soutenu dans cette requête

  • que le juge des référés statuant seul en premier ressort n’était pas au
    nombre des formations de jugement du Conseil d'Etat reconnues comme
    souveraines par la loi, seules l’étant les formations collégiales
  • qu’une simple ordonnance d’un juge des référés statuant seul et en
    première ligne devait pouvoir être contestée en cassation devant une
    formation collégiale, fût-ce au sein même du Conseil d'Etat
  • et enfin que la loi ne pouvait exclure une telle contestation, au motif
    que le « Conseil d'Etat statuait souverainement », sans violer la
    Constitution et les principes posés par le Conseil d'Etat lui-même.

Le
président de la Section du contentieux, statuant seul, rejette par l'Ordonnance du 27 février 2013 cet
argument au motif que la loi indique que le Conseil d'Etat statue
souverainement.

Quand le cardinal Honoré défendait les victimes de la loi Neiertz

Reçu par courriel :

"Le cardinal Honoré vient de mourir. Quand il était archevêque de
Tours, il avait eu le courage de venir défendre au tribunal une de ses
paroissiennes, Marie-Liesse Ray, et ses camarades avec qui elle avait
occupé le centre d'avortement de l'hôpital de Tours
. Je faisais partie
de ce groupe avec Philippe Humbert, tous deux malades du SIDA, parmi
d'autres Sauveteurs. Philippe avait eu une jeunesse tourmentée dans les
milieux homosexuels et il avait voulu laisser ses dernières forces dans
le combat pour le respect de la Vie. il est décédé le 25 février 1995 en
fils de l'Eglise et en militant catholique. Honneur à ce prélat à une
époque ou ils étaient rares à défendre ouvertement la cause de la Vie.
Honneur à Philippe qui a tout donné par amour. Honneur aux militants
pour la Vie d'hier, d'aujourd'hui et de demain.

Dominique Morin
Voici le texte que Mgr Honoré avait lu à la barre des témoins pour défendre les "Sauveteurs ":

DEPOSITION
DE MONSEIGNEUR JEAN HONORÉ,

ARCHEVEQUE
DE TOURS

EN
FAVEUR DE MARIE-LIESSE RAY

ET DE
SES COMPAGNONS, SAUVETEURS

POURSUIVIS
AU TITRE DE L'ENTRAVE A L'AVORTEMENT

DEVANT
LE TRIBUNAL CORRECTIONNEL DE TOURS, 24 MARS 1994

H"Je ne suis pas à cette barre, Monsieur
le Président, MMmes les Juges, pour justifier le geste des accusés ou lui donner
ma caution, mais pour défendre leur conscience.

C'est-à-dire pour défendre et justifier leurs
convictions. Ces convictions, ils ont tenu à en témoigner sur les lieux mêmes
où elles sont démenties et désavouées. C'est le délit qui leur vaut de
connaître l'assignation devant ce tribunal. Leur procès n'est pas celui d'un
fanatisme aveugle, comme on voudrait le faire penser. C'est le procès d'un conflit
entre deux logiques irréductibles : l'une est la logique de compromis qui engendre
la compromission et produit l'oeuvre de mort ; l'autre est une logique de conviction
qui enfante le courage et protège la vie.

La logique de compromis ne connaît pas de
limites. Nous le voyons bien avec toute une législation qui depuis vingt ans ne
fait qu'élargir la brèche ouverte par une première loi. Une succession de
mesures se conclut par cette loi Neiertz qui prévoit la poursuite judiciaire et
des sanctions appropriées à ceux qu'elle dénonce comme des délinquants du
natalisme.

Dans cette course en avant, comment la logique
du compromis ne ferait-elle pas surgir le choc en retour de l'autre logique,
celle de la conscience et du droit moral ? Afin de provoquer le réveil d'une
opinion anesthésiée, certains de ses agissements peuvent franchir les limites
de ce qu'il est convenu d'appeler l'ordre public. Il faut alors s'attendre à
des gestes comme ceux qui sont instruits aujourd'hui devant ce tribunal. De
tels gestes de résistance ne sont-ils pas le moyen, l'ultime moyen, le recours
en quelque sorte désespéré, mais conscient et obstiné, de faire entendre une
autre voix que celle de la démission ?

N'en doutez pas, M. le Président, MMmes les
Juges, ce procès n'est pas seulement celui des accusés. Il est aussi celui de
notre société. Il est celui de l'État.

Ma fonction et mon ministère, en fidélité à
l'Évangile, m'interdisent de juger et de condamner les personnes. Je ne veux ni
juger, ni condamner les avortements de détresse qui s'expliquent par la
fragilité humaine devant la peur d'une naissance incertaine ou l'épreuve d'un
enfant handicapé. Je ne veux ni juger, ni condamner les praticiens et le
personnel de l'hôpital, qui, peut-être aussi en un débat de conscience qui leur
appartient, accomplissent une tâche de mort dans le cadre que leur offre une
loi abusivement permissive.

Je pense simplement qu'en prenant le risque
d'une action qui veut signifier le refus, les accusés d'aujourd'hui ont témoigné
d'une conscience droite et résolue qui doit être prise en considération
. Elle
rejoint la fermeté du Pape Jean-Paul II dans un récent document. Je cite :
«Comment pourrait-on accepter moralement des lois qui permettent de tuer l'être
humain non encore né, mais qui vit déjà dans le sein maternel ?
»

Les accusés seront-ils jugés selon la loi ou
selon leur conviction ? Selon la loi, ils sont responsables et ils sont coupables.
Ils sont donc passibles des sanctions prévues par la loi.

Mais, M. le Président, MMmes les Juges, comment
pourrez-vous les condamner sans mettre en question les convictions morales qui
sont les vôtres et qui rejoignent les leurs ?"

Bonjour Millau

Cette photo a été prise samedi 2 Mars à 16 heures, juste à côté du viaduc
de Millau. Les voitures et camions répondaient par leur klaxons, jusqu'à ce que la gendarmerie
vienne gentiment les déloger :

V

24 mars : 3 cortèges qui s’uniront sur les Champs-Elysées

Voici le déroulé de la manifestation du 24 mars.
Tous les manifestants devront rejoindre l’Etoile à partir de trois axes, qui débuteront de :

  • La Place Vauban
  • L’Opéra
  • Porte Dauphine

Ces axes seront ouverts dès 13h, pour permettre de rejoindre l’Etoile dès votre arrivée, sans attendre.
Au fur et à mesure de votre avancée vers l’Etoile, vous pourrez récupérer drapeaux, pancartes et autres attributs du parfait manifestant, tout le long de ces trois axes.

Vous atteindrez ensuite l’Etoile, et la manifestation s’ébranlera sur les Champs-Elysées dès 14h.

Attention, la place de l’Etoile ne sera accessible que par l’un de ces 3 axes.
Les 3 axes resteront ouverts tant que la manifestation ne sera pas terminée, il vous sera donc possible d’arriver de converger vers l’Etoile dès 13h, mais aussi de n’arriver que plus tard dans l’après-midi.

Bonjour le Doubs

Opération photo du jour de la Manif pour tous Doubs tout schuss aux Fourgs !

1

Magnifiques photos de la dernière audience de Benoît XVI

A voir ici.

B

“Je veux pouvoir casser du pape”

Extrait d'une tribune parue dans Le Monde, à lire au second degré :

"Qu'allons-nous donc devenir sans Benoît XVI, ce repère idéal pour penser autrement, ce monument de ringardise ? Ce pape était tout ce qu'il nous restait, ou presque, d'intolérable. Il était encore pire que le précédent (il est vrai cette fois qu'ils avaient mis la barre assez haut : autant Jean Paul II avait l'air sympa, autant Benoît XVI n'a pas vraiment été cool avec nous).
Non seulement il n'est pas revenu sur les positions de l'Eglise catholique en matière d'avortement et d'euthanasie, mais en plus il a voulu engager le dialogue avec des intégristes. […]

Je rêve d'un monde plus libre, où l'on pourrait faire ce que l'on voudrait, dans le respect des normes de sécurité et de respect mutuel.

J'aimerais donc profiter de ce moment de battement pour dire "merde" au pape, et Dieu sait que nous sommes nombreux à le vouloir. Ou bien que le nouveau pape soit différent des autres. […]

Le pape est resté debout, et on ne sait pourquoi, pour braver le sens de l'Histoire, pour nous prouver que certaines traditions n'ont pas encore été avalées par le présent sans fin.
Donnez-nous donc un pape qui ne soit pas d'accord !
Je veux un pape de fight, je veux un pape pour se clasher avec. […]
Un pape insupportable, irrécupérable, trop ringard, qui fait honte. […] Un pape que je puisse facilement traiter de fasciste quand il dépasse les bornes.
[…] Je veux un pape contre qui se révolter. Je veux un pape qu'on puisse tous détester avec la même énergie. Je réclame un pape contre qui faire des manifs. Un pape avec un nom qui sonne bien dans les slogans.
Je veux pouvoir casser du pape. Comment existerais-je si je ne puis contester le monde ancien, m'affirmer sans avoir à détruire des siècles et des siècles d'histoire ? […]"

Bref : un pape catholique contre lequel nos médias pourront baver. L'Eglise doit évoluer : on nous fait le coup à chaque changement de Pape. Toujours les mêmes arguments ! On se demande qui est moderne.

Mgr Gabriel Vanel, RIP

Mgr Gabriel Vanel qui fut archevêque d’Auch de 1985 à 1996, est décédé, à 88 ans, vendredi 1er mars.

Tous les cardinaux électeurs semblent être arrivés à Rome

Lu sur Zénit :

"Tandis que la "vacance" se fait sentir par ce premier dimanche sans
le rendez-vous de midi pour la prière avec le pape
, Benoît XVI a prié
l'angélus en privé à midi, ce dimanche 3 mars 2013, avec les « memores
Domini », les quatre laïques consacrées qui tiennent sa maison, et le
personnel de la résidence et de la ferme pontificale.

Le Pontife romain émérite a dit qu'il n'abandonnait pas l'Eglise.
Mais l'Eglise ne l'abandonne pas, ne le laisse pas seul: il revient à
une vie de "famille", en petit comité, entouré de l'affection de ceux
qui jusqu'ici formaient la "Famille pontificale".

Quant aux cardinaux, il semble, ce dimanche après midi, que quasi tous les électeurs soient déjà arrivés à Rome. Ils
ont rendez-vous pour la première assemblée du Collège cardinalice,
demain, lundi 4 mars, à 9 h30 en la salle du Synode, au Vatican."

Vous pouvez aller saccager les sous-préfectures

La sous-préfecture de Compiègne avait été dévastée en 2009 par les employés de Continental.

Benoît Hamon, ministre délégué chargé de
l'Economie sociale et solidaire et de la Consommation, défend le projet
de loi d'amnistie sociale
, voté mercredi 27 février par le Sénat :

"[Un
texte] suffisant au sens où il annule les condamnations pour des
violences qui ont été commises non pas sur des personnes mais des dégradations, parfois un ordinateur poussé, un tag pendant la période 2007-2012."

Et
le saccage de la sous-préfecture de Compiègne ?

Je
considère que le saccage de la vie de milliers de salariés qui ont
plié, qui ont protesté qui ont juré de bonne foi qu'il y avait des
repreneurs. Quand on ignore les repreneurs. Quand on met en faillite un
outil de production car on fait un calcul financier.

"Mais le saccage de la sous-préfecture de Compiègne doit être amnistié ?

[…] Vous dites saccage. Je veux dire…faut pas non plus… il n'y a pas…euh…la sous-préfecture, elle ne s'est pas effondrée."

Le message de Benoît XVI aux cardinaux électeurs

De Jean-Marie Guénois :

C"[…] la question qui se pose à présent est celle de la « réussite » de sa
renonciation. Les cardinaux vont examiner à partir de lundi 4 mars les
multiples dossiers de l'Eglise, des plus stratégiques aux plus
embarrassants, à commencer par celui du Vatican. Les sensibilités, les
caractères et les intelligences vont s'exprimer et il est plus à prévoir
une pluie de coups qu'une rosée de fleurs et de bons sentiments
. Après
tout, ils sont à Rome pour cela.

La vérité des relations intra-cléricales n'a rien à voir avec
l'image gommée et onctueuse du prélat de curie
. S'il est un moment où
tous les problèmes doivent être mis sur la table, c'est bien celui là.
Benoît XVI n'a quasiment jamais réuni son conseil des ministres. Cette
période de pré-conclave est un conseil d'administration de l'Eglise
catholique dont le programme n'a jamais été aussi chargé. Mais derrière les affaires, la technicité des questions,
derrière les grandeurs et les scandales, derrière les enjeux, les
priorités et les urgences, il y a aussi un message d'une simplicité
biblique que Benoît XVI a voulu exprimer en renonçant à sa charge
. Il
tient d'une certaine manière en trois mots […].

– Premier message : l'effacement devant la fonction. Les
spécialistes de ressources humaines ou des entreprises, les experts en
gouvernance et politique, apprécient l'ampleur et le détachement de cet
acte de renonciation face au pouvoir. Mais son sens profond n'est dans
cet aspect mondain. Il est dans la vision même de cette charge cléricale
et papale. Benoît XVI a démontré qu'elle « n'appartient » pas à
celui qui l'a reçu, ni même à ceux qui ont voté pour lui. On la pensait
quasi divine, la voilà caduque. Les canonistes et autres spécialistes
de l'Eglise discuteront à l'infini. Les prélats vaniteux en prendront
pour leur grade. Mais quel exemple chrétien s'il en est !

– Deuxième message : La nature de l'Eglise. Benoît XVI l'a dit
sur tous les tons. Elle n'est pas une organisation ou une construction
conçue et testée en laboratoire. Le Pape n'oppose pas esprit et
structure mais il pense que la partie structurelle de l'Eglise dépend
foncièrement de son être spirituel. Si ce dernier se dessèche son corps
se calcifie. Les sépulcres blanchis dénoncés par le Christ ne sont pas
loin. Ils sont même là du reste, visibles. Plutôt dorés et de styles
baroques, avec ou sans cols romains, ils sont splendides mais froids
comme le marbre et vides comme des timbales qui résonnent.
[…]

– Troisième message : l'unité interne de l'Eglise. Voici une
phrase toute récente de Benoît XVI, le 13 février, deux jours après son
annonce, lors de l'homélie de la messe des Cendres. Il évoquait « le
visage de l'Église
», à ses yeux « parfois, défiguré ». Et avançait
cette explication : « Je pense en particulier aux coups portés contre
l'unité de l'Église, aux divisions dans le corps ecclésial.
» Il est
revenu encore sur le sujet en saluant une dernière fois les cardinaux
qu'il a comparé à un « orchestre » dont il attend « l'harmonie ».
[…]"

Dans Le Figaro Hors Série, on trouve cette citation du cardinal Josef Ratzinger de 1997 :

"Je ne dirais pas que le Saint-Esprit choisit le pape. […] Mais comme un bon éducateur, il nous laisse un grand espace, une grande liberté, sans nous abandonner totalement. Le rôle du Saint-Esprit devrait être entendu dans un sens plus souple que le fait d'imposer le candidat pour lequel on doit voter. Probablement la seule assurance qu'il nous donne est que cette affaire ne peut être totalement catastrophique. […] Il y a trop de contre-exemples de papes que l'Esprit saint n'aurait évdiemment pas choisis !"

“Aujourd’hui on parle de viol avec violence comme on parle de météo”

OLaurent Obertone, auteur de l'ouvrage La France orange mécanique, était invité de l'émission de Ruquier sur France 2, hier, seul contre tous. L'ouvrage connait un succès certain, au point que la Fnac a censuré son classement des meilleurs ventes.

L'ouvrage trouble les bonnes consciences politiquement correctes, qui s'acharnent contre l'auteur. Lequel rétorque :

"À leur place, j'aurais économisé mon temps et résumé l'affaire en trois phrases.

1. Les victimes on s'en fout.
2. La réalité n'existe pas.
3. Bouquin de fasciste."

Nous ne lâcherons rien ! Tous à aux Champs Elysées le 24 mars !

D'un jeune Belge habitant en France :

"A l'aube du 24 mars, mon coeur et ma conscience de père de famille se
préparent depuis des semaines à crier sur les Champs Elysées avec les
millions d'autres citoyens français de sang ou d'adoption qui sont en
colère contre ce gouvernement, et à commencer contre cette loi de
Mariage et d'Adoption pour tous. En ce jour des Rameaux, je porterai les
couleurs de la Belgique sur les épaules pour honorer mon pays de
naissance et tous les belges de France et de bon sens.

Cette Belgique malheureusement dans laquelle je ne me reconnais plus,
cette Belgique où ces lois indignes sont passées depuis 10 ans sans que
l'on s'en aperçoive, et pour lequel on me certifie que cela n'a rien
changé
. Ce pays, carrefour de l'Europe, où tout est autorisé au dépend
des valeurs humaines. Ce royaume parmi les seuls 14 pays sur 197 dans le
monde où les dirigeants se sentent plus puissants que la nature et que
Dieu Lui même au point de tout permettre à travers des lois
destructrices, ce au nom du progrès, de l'égalité et de la liberté.
Aujourd'hui et depuis des semaines, en prières, en débat et en action,
je ne peux que répondre présent aux cotés de mes compatriotes français
qui vont avoir le courage et la dignité de se lever contre ce projet de
loi inhumain qui cache clairement une volonté de détruire les valeurs
familiales au sens large!

Et c'est bien là une de vos grandes forces, Peuple français!  Avoir le
cran de tirer la sonnette d'alarme quand d'autres nations voisines ne
calculent même plus que leur dignité humaine est menacée dans ce monde
de consommation-marchandisation!

C'est pourquoi je me lèverai pour la seconde fois à 2h du matin, en
tant que français de coeur, pour prendre le car vers Paris avec mes
frères de Lozère
, puisque c'est là que j'ai la chance de travailler, de
vivre avec ma femme (française!) et de faire grandir nos enfants
(belgo-francais!), ce département du sud qui me fait tomber amoureux de
cette France magnifique, noble et riche d'un patrimoine immense et
inégalable. Nous, lozériens réalistes et déterminés, monterons de
nouveau à Paris pour défendre ce qui nous reste de valeurs humaines et
patriotiques, et nous élever contre ce gouvernement socialiste qui abuse
de la bien-pensance comme arme intellectuelle massive!

Car, au nom de quelle liberté, de quel progrès, ce gouvernement
s'apprête t-il à priver certains enfants d'un père ou d'une mère?
Au nom
de quelle égalité, s'apprête t-il à dénaturer cette institution noble
qu'est le mariage, socle de toutes sociétés depuis des générations et
pour celles à venir. Ce sont bien essentiellement les FAMILLES qui font
vivre et perdurer la société, qui en assurent sa structure, ses
fondements solides et intemporels! Au nom de quels droits ce
gouvernement s'apprête t-il à en attaquer ses plus faibles
représentants, à savoir les enfants, NOS enfants, les enfants à venir,
l'AVENIR de la France!

Si nous ne nous levons pas dans les semaines qui viennent, quel
monde allons nous leurs laisser? Nous avons là un devoir envers nos
enfants et indéniablement un devoir de respect envers nos grands parents
et arrières grands parents qui se sont battus à mort au cours du siècle
passé pour notre liberté! Ne l'oublions pas! Nous ne pouvons pas
laisser ce gouvernement légitimement s'octroyer cette liberté à notre
dépend et surtout aux dépends de nos enfants car c'est bien ce dont il
s'agit!

Messieurs-dames les ministres, les députés, réveillez vous, ouvrez les yeux! Le 13 janvier vous nous avez nié ! Vous répétez la même erreur cette semaine à l'image de la décision injustifiée du CESE. Méfiez
vous, car l'honnête peuple français qui jusque maintenant paye ses
impôts, n'agresse personne et ne casse rien sur son passage quand il se
rassemble se prépare depuis des mois très activement. Nous nous
apprêtons à descendre de nouveau dans la rue pour maintenir en vie et
défendre ce que vous êtes en train de faire disparaître : NOTRE
DEMOCRATIE, NOTRE VOIX, L'ÂME ET CONSCIENCE DE LA FRANCE!

Le 24 mars, Mr Hollande, Mme Taubira, Mme Bertinotti, Mme Belkasem, Mr
Peillon, sans parler de vous, Mr le Premier Ministre que l'on ne voit
plus en publique depuis des semaines et vous tous, majoritaires de
l'Assemblée, promoteurs de cette loi, ayez au moins le courage de venir
nous affronter de face, les yeux dans les yeux et non pas par le biais
de lobbies pro LGBT  vulgaires et violents, aveuglés par vos promesses
électorales! Comment faites vous pour encore arriver à dormir sur vos
deux oreilles la nuit, n'entendez vous pas la France noble et
travailleuse grondée depuis des mois??? Vous êtes sur de beaux sièges en
velours éjectables, nous n'allons pas vous laisser nous passer dessus
avec ce rouleau compresseur de lois et de réformes irréelles !
Nous ne lâcherons rien! Tous à aux Champs Elysées le 24 mars! "

Profession : mère porteuse

Une opération de propagande signée France 2 (avec notre argent) :


 

Bonjour Saint Brieuc

1

La presse face à la renonciation de Benoît XVI

Mgr Di Falco, évêque de Gap, constate que l'Eglise ne laisse pas indifférent, même les médias les plus anticléricaux.

 

L’affaire du CESE n’est pas terminée

On ne va ps lâcher Jean-Paul Delevoye aussi facilement, ainsi que l'écrit André Bonnet, rédacteur de la requête en référé de Philippe Brillault présentée devant le Conseil d'Etat :

"1. Le CESE a donc rejeté la pétition, au motif qu’elle visait un projet de loi, et que seul le Premier ministre pouvait le saisir dans une telle hypothèse. Cette décision fait suite, on le sait désormais – et on en a les preuves – à une demande de « directive » adressée dès le 15 février par M. Delevoye à M. Ayrault lui-même, demande qui a connu la suite qu’on imagine. Il faut noter que cette manière d’agir pose plus qu’un problème au regard du rôle et du statut constitutionnels du Conseil, car le Gouvernement n’a pas à influencer ce dernier.

2. La décision du Conseil méconnaît le droit, compte tenu de la rédaction même de l’article 69 (3ème alinéa) de la Constitution […] . Le Conseil s’est certes référé à la loi organique d’application du 28 juin 2010, mais celle-ci devait être interprétée dans un sens respectueux de la Constitution, dont elle ne peut pas restreindre la portée – ce qu’elle fait nécessairement si on en retient la lecture qui a conduit au rejet de la pétition.

3. Le recours devant le juge administratif – Conseil d'Etat ou tribunal administratif – ne pourra être présenté sous la forme d’un référé, l’ordonnance du Conseil d'Etat du 22 février 2013 excluant toute notion d’urgence. Ce recours ne sera donc jugé qu’après le vote définitif de la loi. Et le Conseil constitutionnel ne pourra pas être utilement saisi sur ce point après le vote, puisqu’il est seulement juge de la conformité de la loi à la Constitution et qu’aucune saisine de Conseil économique, social et environnemental n’aura été « actée » à ce moment de la procédure.

4. C’est à la lumière de ce constat que le pourvoi en cassation contre l’ordonnance du 22 février, dont plusieurs de nos sympathisants sont signataires, apparaît comme la seule véritable arme juridique qui demeure en possession des pétitionnaires. En effet, il y a toutes les chances que ce pourvoi– peu importe que sa possibilité soit exclue par la loi actuelle ! – soit tout de même admis par le Conseil d'Etat, compte tenu des arguments extrêmement forts présentés en ce sens, qui démontrent le caractère inconstitutionnel de cette carence des textes.

5. Le Conseil d'Etat sera alors amené à se prononcer en formation collégiale, dans un délai d’un mois (article R. 523-2 du code de justice administrative) et de manière très médiatisée, sur la conformité de la loi organique à l’article 69 de la Constitution, et à renvoyer le cas échéant cette question au Conseil constitutionnel lui-même, qui devra alors également se prononcer dans un délai très bref. Tout cela devrait aboutir AVANT la discussion au Sénat.

6. Si le Conseil constitutionnel admet notre argumentation, le Conseil d'Etat enjoindra au Conseil économique, social et environnemental de revoir sa copie. La saisine sera alors effective. De même si c’est le Conseil d'Etat qui l’admet de son propre chef !

Ce pourvoi en cassation est donc l’une des pierres angulaires de la résistance ! Quant à la manifestation du 24 mars, elle tombera de ce fait à pic ! Que personne ne se démobilise donc, tout reste ouvert !"

Bonjour Pau

Photos de ce matin sur la passerelle de la rocade, devant le château de Pau, et devant l'Hôtel de ville :

3
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Bonjour Vannes

Opération banderoles ce midi sur les ponts de Vannes :

1
2

L’accusation d’homophobie : une arme de guerre psychologique

Le P. Alain Dumont, prêtre de la Communauté de l'Emmanuel, a écrit :

"[…] De très nombreuses fois, j’entends mes frères et soeurs chrétiens s’exclamer : “Mais je ne
suis pas 
homophobe!” d’un air révolté ou triste, selon
les moments. Or c’est précisément l’objectif de ces slogans lancés à tout bout de champ par la propagande : il
faut déstabiliser l’adversaire en le culpabilisant pour le faire douter de ses propres arguments. Tout
le temps qu’il prendra pour se défendre sera un temps où il ne pourra pas attaquer
. C’est le nerf de toute guerre
psychologique. […]

Les méchants
sont désormais les « Fachos Machos Hétéros », présentés par le mouvement Queer comme de grossiers personnages incapables d’aimer leur femme, et donc qui ont tout intérêt à se laisser
éduquer par les Gays qui, eux, ont tout compris de ce qu’attendaient les femmes pour être heureuses.

Alors surgit en force les quelques 1.800 membres de la fameuse LGBT. N’ayant pas de fonds, un donateur se présente : Pierre Bergé, celui qui
considère qu’il n’y a aucune différence entre un ouvrier qui loue ses bras à l’usine et une femme qui loue son
ventre pour pondre des gosses. Milliardaire de la Haute Couture, ancien compagnon malheureux de Yves Saint
Laurent, il leur ouvre tous les panneaux publicitaires de Paris et finance toutes leurs actions. Là dessus, le GOF saute sur l’occasion et focalise les politiques sur cette nouvelle opportunité de « déchristianiser
la 
famille ».

Surgit le dernier slogan avant le prochain : « Homophobes ! ». Un mot magique que les nouveaux victimaires vont brandir à tout bout de champ. Les partisans de la cause n’ont
plus que ce mot-là à la bouche : « Homophobes ! Homophobes ! ». Et
nous, qui ne connaissons pas les stratégies propagandistes, nous passons notre temps à nous "défendre" et à nous
sentir "blessés". Alors qu’il ne s’agit que d’une arme de guerre psychologique, géniale au
demeurant.

Le plus génial, c’est qu’un slogan ne chasse aucunement l’autre, mais telles des strates sédimentaires, s’accumulent au contraire. Donc si vous
avez le malheur de n’être pas de gauche, d’être un homme, de confession catholique et hétérosexuel, vous êtes un
”FMCH” : un « Facho Macho Catho Homophobe », et là, vous êtes mort. […]"

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