Amnistie des syndicats, y compris les détournements de fond des comités d’entreprise
Lu dans Minute :
"Au Sénat […] le Parti
socialiste n’a pas, à lui seul, la majorité.
Et de loin. Avec 128 élus, le PS
doit faire le plein des voix de gauche pour obtenir, ric-rac, la majorité
absolue. Soit négocier et convaincre, avant la présentation de chaque projet de loi du gouvernement,
les douze élus du groupe écologiste,
la plupart des dix-huit élus du
groupe RDSE (Rassemblement démocratique et social européen, qui
comprend surtout des radicaux), et
les vingt sénateurs du groupe CRC
(Groupe communiste, républicain
et citoyen), qui comprend les dix-neuf
élus du PCF et Paul Vergès,
frère du célèbre avocat et fondateur
du Parti communiste réunionnais
(PCR).
Quand ça se passe bien, tout ce
beau monde atteint, voire dépasse,
la majorité absolue; au Sénat – qui
comprend 348 parlementaires –,
elle est à 175 voix. Quand ça se passe mal, il y a rejet du texte gouvernemental.
Ce n’est pas catastrophique dans la mesure où l’Assemblée
nationale a le dernier mot, mais il
est toujours contrariant, pour un
gouvernement de gauche, de voir
un texte rejeté parce qu’une partie
de la majorité de gauche s’est abstenue
ou a voté contre. Or, depuis
l’arrivée de la gauche au pouvoir,
c’est quand même arrivé à six reprises. […]Aussi, pour le gouvernement,
le moment était-il venu
de donner une carotte aux communistes.
Une très grosse carotte, qui
est passée sans que nul ne s’en
aperçoive. Et cela grâce à un très
habile rideau de fumée qui a abusé
la totalité de la classe politique et
des médias.Le 27 février, par 174 voix contre
172, les sénateurs ont ainsi adopté
un texte intitulé, très abusivement,
« amnistie à l’occasion de mouvements
sociaux ». Tout le monde a cru que
la proposition de loi, portée par
deux sénateurs communistes, Annie
David et Eliane Assassi, avait
pour but d’amnistier les manifestants
condamnés pour des dégradations volontaires – par exemple,
les salariés de Continental qui avaient mis à sac, en avril 2009, la
sous-préfecture de Compiègne.
En réalité, la réhabilitation des
manifestants en colère n’était qu’un
prétexte. […] Sous couvert d’amoindrir la
portée du texte qui prévoyait, dans
sa version initiale, une amnistie
pour tous les faits passibles de
« moins de dix ans » de prison – autant dire que rien ou presque n’y
échappait –, ils ont fait adopter un
amendement selon lequel l’amnistie,
pour des faits passibles de peines ramenées désormais à « cinq
ans [de prison] et moins », ne concerne pas seulement « les infractions
», mais « les contraventions et les
délits prévus au livre III du Code
pénal ». Ce que ça change? Tout!
Car le livre III du Code pénal,
qui porte sur les « crimes et délits
contre les biens », et inclut en effet
les destructions, dégradations et
détériorations, définit aussi des délits (et les peines qu’encourent ceux
qui s’y livrent) comme le vol, l’extorsion,
l’escroquerie et surtout,
dans cette affaire éminemment politique, les détournements de fonds
(l’abus de confiance, par exemple).
Très exactement ce pourquoi des
CCAS (caisses centrales d’activités
sociales) et des comités d’entreprise,
tenus par la CGT, sont renvoyés
en correctionnelle ou vont être très
prochainement poursuivis… […]Beaucoup plus délicates, en revanche, sont les accusations portées
par la Cour des comptes dans
ses tout derniers rapports – contre,
toujours, la CCAS d’EDF, mais
pour des faits plus récents que ceux
ayant fait l’objet de la première procédure;
ou sur la gestion du comité
d’entreprise de la RATP, affaire
ayant nécessité la saisie du parquet;
ou encore sur celle du comité
régional d’établissement de la
SNCF. Sans oublier les comités
d’entreprise d’Air France ou de
France Telecom […].
Partout, la même suspicion : le
« contournement » de la législation
et l’utilisation d’une partie des
moyens (considérables) à disposition
pour financer des activités syndicales.
[…]"
Et encore de la propagande sur la contraception
Marisol Touraine, Ministre des Affaires sociales et de la Santé, a annoncé lors d’une
rencontre avec des lectrices de Femme Actuelle, à paraître le 18 mars 2013, le
lancement, au mois de mai prochain, d’une campagne de propagande sur tous
les moyens de contraception.
Ils ne pensent qu'à ça.
"Je ne veux pas que les débats, les interrogations tout à fait légitimes autour des pilules de 3ème et 4ème générations aboutissent à une remise en cause générale de la contraception ou même de la pilule."
Les méthodes naturelles, qui ont le mérite de ne pas engraisser le lobby pharmaceutique, permettent aussi au couple d'apprendre à mieux se connaître, à se maîtriser, et associe l'amour et la procréation. Le gouvernement veut-il aussi en faire la promotion ?
Il manque encore deux cardinaux
La quatrième congrégation générale
a débuté à 9 h par l'office de tierce, en présence de 153
Cardinaux dont 113 électeurs. Les Cardinaux électeurs Karl Lehman,
Archevêque de Mayence (Allemagne), Antonios Naguib, Patriarche copte
émérite, et Hon John Tong, Evêque de Hong Kong (Chine), ont prêté
serment, ainsi que le Cardinal non électeur Friedrich Wetter,
Archevêque émérite de Munich (Allemagne). Ne manquent plus à ce
jour que le Cardinal Kazimiercz Wycz, Archevêque de Varsovie
(Pologne), qui arrivera dans la soirée, et le Cardinal Jean
Baptiste Pham Minh Man, Archevêque de Hochiminville (Vietnam), qui
arrivera demain.
Le Directeur de la Salle de Presse a
indiqué que le Cardinal Doyen a souhaité bon anniversaire aux
Cardinaux Walter Kasper (80 ans hier), Francesco Coccopalmeiro (75
aujourd'hui) et Julio Sandoval Terrazas (77 demain). Bien qu'ayant 80
ans, le Cardinal Kasper entrera en conclave car le seuil d'âge ne
vaut qu'avant le premier jour de vacance du siège apostolique.
Les
18 interventions de ce matin ont porté sur des thèmes généraux
touchant à l'Eglise et au monde contemporain, sur la nouvelle
évangélisation tout particulièrement, mais aussi sur le
fonctionnement du Saint-Siège et ses relations avec les épiscopats.
Il a aussi été question du profil que devrait avoir le prochain
Pape pour un bon gouvernement de l'Eglise. A ce jour il y a eu 53
interventions de Cardinaux, limitées en principe à 5 minutes en
raison du nombre des Cardinaux désireux d'intervenir.
Quant à la date d'entrée en conclave,
elle n'est toujours pas fixée, les Cardinaux désirant se préparer
à fond et sans hâte. Il ne leur a pas semblé utile à ce jour de
fixer une date, une grande partie du Collège estimant que cela
forcerait leur dynamique de réflexion. De toute manière, il manque
encore 2 cardinaux pour que le Collège puisse décider de l'entrée en conclave.
Enceinte de quadruplés, elle résiste à la pression pro-avortement et ne le regrette pas
Lu sur Nouvelles de France :
"enceinte de quadruplés (après une conception naturelle) comme cela
arrive une fois sur 750 000, les médecins lui ont conseillé d’avorter
deux enfants pour donner une meilleure chance de survie aux deux autres.
Mais en dépit de la « pression énorme », la jeune femme de 31
ans, originaire de Bristol, n’a pas cédé et s’est refusée à sacrifier ne
serait-ce qu’un enfant : rien qu’y penser lui « [brisait] le cœur » : « Je savais qu’en regardant mes bébés survivants, je penserais à ceux de perdus. » Un an plus tard, elle célébrait l’anniversaire de Zachary, Joshua, Ruben et Sam, nés… le 29 février 2012 ! Spécialisée dans la gestion de projet, Emma Robins était déjà maman d’un petit Luke, 3 ans. Aujourd’hui, elle et son mari, Martin Robbins, 39 ans, ne regrettent pas leur choix. Au Daily Mail, ils confient : « Nous mentirions si nous disions que c’est facile. Mais nous sommes heureux de n’avoir pas renoncé à nos bébés. » Tous deux qualifient leurs quadruplés (nés par césarienne après sept mois de grossesse) de »petits miracles »."
Elections aux Philippines : les consignes de l’évêque du diocèse de Bacolod
Lu sur le blog d'Yves Daoudal :
"L’évêque du diocèse de Bacolod aux
Philippines, Mgr Vicente Navarra, a apposé sur sa cathédrale une grande
affiche intitulée « Vote de conscience ». Elle est divisée en deux
parties, donnant les noms de parlementaires qui ont voté contre la loi
sur la « santé reproductive », qualifiés d’« équipe de la vie », et de
ceux qui ont voté pour, qualifiés d’ « équipe de la mort ».La commission électorale a enjoint Ã
l’évêque de retirer cette affiche car il s’agit d’un élément de matériel
électoral (des élections auront lieu en mai) et elle excède les
dimensions autorisées.L’évêque répond qu’il ne s’agit pas
de matériel électoral mais d’un élément de la campagne en cours contre
la loi de santé reproductive. Il ajoute que « le droit de l’Eglise Ã
placarder des affiches [sur ses murs] relève de la liberté d’expression
et de la liberté de conscience, libertés garanties par la Constitution » et que par conséquent il saisit la Cour suprême.L’affaire fait grand bruit aux Philippines.
Interpellé par la presse, le
secrétaire général de la Conférence épiscopale a répondu que Mgr Navarra
était libre d’agir comme il le souhaitait et que sa stratégie de
communication n’était pas du ressort de la Conférence épiscopale.D’autres diocèses ont annoncé qu’ils préparaient des affiches similaires…"
Il retrouve la vue après un pélerinage
Jean Cairey-Remonay, 74 ans, n’a rien
d’un fantaisiste ou d’un illuminé. Il raconte :
«
Quand j’étais enfant, j’ai été victime d’une mine laissée là après la
guerre. J’ai perdu un œil et l’autre ne m’assure que 3/20e.
Depuis le début du mois de novembre j’avais perdu la vue à cet œil.
J’ai ce que l’on appelle un trou rétinien. Je devais subir une opération
lourde à Paris. Ce qui me faisait le plus peur c’est la suite, je
devais rester couché durant vingt jours dans le noir, 23 heures sur 24. »
Avant, Jean rencontre les religieuses, à Remonot. Il visite la grotte-chapelle située entre Morteau et Pontarlier. Depuis le
Moyen-Âge, c'est un lieu de pèlerinage et son eau est particulièrement réputée pour la guérison des yeux.
« J’y vais
depuis que je suis petit, à l’époque c’était avec ma grand-mère. Ce 19
janvier, je me suis frotté les yeux avec l’eau. »«
Rien… Il ne s’est rien passé. C’est trois heures après, quand j’étais
rentré à la maison que la vue m’est revenue. Je pouvais relire, les
lignes aplaties se redressaient. C’était complètement inespéré. Et
depuis, je vois assez pour lire le journal ou même les petites lettres
sur les boites de médicaments. »
Le praticien chargé de l’opérer à Paris est étonné :
«
Il m’a dit que c’était totalement inexplicable pour lui mais qu’il
n’était plus nécessaire de m’opérer. Le trou s’était bouché. Et cela
semble définitif. Il était très étonné. »
L’évêché de Besançon reste prudent :
« Si cette personne est guérie ou soulagée alors on ne peut
que s’en réjouir et rendre grâce. »« Les miracles certifiés sont
aujourd’hui très rares. Cela
passe, entre autres, par une commission composée aussi de scientifiques
laïques. »
Gérard Collomb devant la justice maçonnique pour crise de lèse-laïcisme
A la loge Eugène Varlin, à l’Orient de Villeurbanne – Grand Orient de
France, on épluche les compte-rendus
des délibérations du conseil municipal de Lyon. Le
vote par l’assemblée élue de subventions de financement ou
d’aménagement de structures ou d’édifices cultuels dans la capitale des
Gaules ne passe pas chez les laïcistes non élus.
Les
frères d’Eugène Varlin ont donc saisi la justice maçonnique pour demander
l’exclusion du frère Gérard Collomb. Le Grand Maître du GODF José Gulino déclare :
« La Chambre Suprême de Justice Maçonnique décidera ou non si la
plainte est recevable et si c’est le cas, elle sera traitée par le jury
fraternel de la région Rhône-Alpes ».
Pas de liberté aux ennemis de la liberté…
Le racisme anti-blanc n’est pas comptabilisé différemment des autres actes racistes
Le député Jacques Bompard avait interpellé le gouvernement sur le racisme anti-blanc :
"M.
Jacques Bompard interroge Mme la garde des sceaux, ministre de la
justice, sur l'augmentation du nombre d'actes à caractère raciste.
L'institut
de sondage TNS-Sofres a réalisé une enquête d'opinion le 27 septembre
2012 selon laquelle 56 % des Français pensent que « le racisme
anti-blanc existe bien dans les quartiers des grandes villes ». Afin de
comprendre ce phénomène qui touche les Français, il
serait utile de connaître les données exactes concernant les actes Ã
caractère raciste et plus particulièrement concernant le racisme
anti-blanc. Il souhaiterait qu'elle communique le nombre de poursuites
et de condamnations pour racisme pour les cinq dernières
années ainsi que le nombre de poursuites et de condamnations pour
racisme anti-blanc."
Réponse du ministre :
"Conformément
à la décision 2007-557 DC du 15 novembre 2007 du Conseil
constitutionnel, qui rappelle que, si les traitements nécessaires à la
conduite
d'études sur la mesure de la diversité des origines des personnes, de
la discrimination et de l'intégration peuvent porter sur des données
objectives, ils ne sauraient, sans méconnaître le principe énoncé par
l'article 1er de la Constitution, reposer sur l'origine
ethnique. Entre 2007 et 2010, les infractions racistes ayant fait
l'objet d'une condamnation se sont stabilisées autour de 570. Les
données provisoires 2011 montrent une diminution et recensent 431
infractions racistes ayant fait l'objet d'une condamnation.
Au sein de celles-ci, les infractions ayant donné lieu à condamnation
sont constituées pour 83 % de faits de provocation à la discrimination,
injure et diffamation à caractère raciste. Par ailleurs, environ 40 %
des procédures visant une infraction à caractère
racistes, faisant l'objet d'une réponse pénale par les parquets, font
l'objet d'une poursuite devant une juridiction. Les autres procédures
font l'objet d'orientation vers des alternatives aux poursuites."
Femen : les voleuses font flop
De Civitas :
"L'émission de propagande réalisée par "l'essayiste lesbienne" (dixit Têtu) en faveur de la milice antichrétienne FEMEN, diffusée hier soir,
n'a rassemblé que 7,3% de l'audimat, une audience décevante pour France
2 selon le site de Jean-Marc Morandini consacré à l'actualité de la
télévision.[…] Ce que l'émission de Caroline Fourest n'a pas dit aux téléspectateurs, c'est que les FEMEN sont aussi des voleuses. Sur Europe 1, Inna
et Sacha Shevtchenko, deux militantes des Femen, ont avoué mardi avoir
"emporté un petit bout d’or" lors de leur action à Notre-Dame-de-Paris
le 13 février dernier. "Nous avons empoché et emporté un petit bout
d’or (…) pendant cette action", affirment les deux furies qui
définissent leur mouvement comme "anti-religieux".
Opération Sénat
A partir du 4 avril,
le Sénat va examiner en séance publique le projet de loi. Les auditions à la commission des lois du Sénat
sont terminées : voir les compte-rendus et vidéos. La majorité gouvernementale au Sénat ne dispose que de 6 sénateurs de plus que l’opposition (sur 348 sénateurs – qui est mon sénateur ?). Or nombreux sont les sénateurs qui sont indécis ou n’osent pas se déclarer contre le mariage pour tous. Soutenons-les ! Interpellons les maires et les adjoints qui célèbrent le mariage et élisent les sénateurs afin qu’ils relaient notre opposition au projet de loi auprès des sénateurs et du gouvernement.
- interpellez votre maire en ligne en quelques secondes pour leur demander de rejoindre les 20 000 maires pour l’enfance opposés au "mariage pour tous".
- faîtes une photo devant les mairies pour l’opération Tous à la mairie et envoyer vos photos à [email protected]
- rencontrez-les (sur les marchés, sur rendez-vous…), téléphonez-leur ou envoyez-leur une lettre.
Jean-Marc Ayrault désavoue-t-il Mme Taubira ?
Jean-Marc Ayrault a fustigé à l'issue du Conseil des ministres "des erreurs de méthode" commises durant le quinquennat de Nicolas Sarkozy :
"Pour réformer notre pays, ce n'est pas par la méthode autoritaire, brutale".
La méthode de Mme Taubira pour dénaturer le mariage, par exemple ?
Le cardinal Ouellet ne pratique pas la langue de buis
L’actuel préfet de la Congrégation des évêques fait partie des papabile. Sa personne n’est pas inconnue aux lecteurs du Salon Beige. En 2010, alors qu’il était archevêque de Québec, il avait défrayé la chronique, en raison de propos politiquement incorrects. Lors d’un congrès pro-vie il avait déclaré:
“Après l’expérience plutôt amère de plusieurs femmes qui ont subi des
avortements et qui le regrettent, ça nous aide à développer une culture
de la vie (…) Est-ce qu’on aide une femme quand on la pousse à commettre un délit
[l’avortement] pour réparer un autre délit [le viol] (…) Prendre la vie de quelqu’un d’autre qui est innocent, c’est toujours un
crime, moralement. Je comprends très bien qu’une femme violée vit un drame et qu’elle doit
être aidée. Mais elle doit l’être par rapport à la créature qu’elle a
dans son sein. Elle n’est pas responsable de ce qui lui arrive. C’est
l’agresseur qui est responsable. Mais il y a déjà une victime. Est-ce
qu’il faut en faire une autre? Cette créature-là [l’enfant à naître] n’est pas
responsable de ce qui lui arrive, c’est l’agresseur qui est responsable.
Il y a déjà une victime, est-ce qu’on va faire une autre? C’est un être humain qui est dans le sein maternel.”
Loin des médias en furie, une femme victime de viol avait remercié le cardinal. Relire aussi ce discours de mai 2010.
En novembre 2006, il avait prononcé une homélie (en pdf)
pendant la messe télévisée de l’Assemblée plénière des
évêques de France :
“Je suis heureux et fier d’exprimer à la France la gratitude des héritiers et des héritières du Canada qui ont gardé un vif attachement à la foi, à la langue et à la culture de la Mère patrie. Cette reconnaissance s’est notamment manifestée à l’occasion d’événements dramatiques qui ont provoqué l’exode en terre canadienne de nombreuses personnalités religieuses dont notre pays a su bénéficier en offrant aussi la consolation d’un accueil fraternel”.
En 2009, il participait à la marche pro-vie à Ottawa.
En 2010, il demandait au gouvernement d’abroger une mesure laïciste, qui permettait à l’école d’avoir lieu 7 jours sur 7 :
“C’est pourquoi je proteste au nom de l’Église catholique
et je demande à l’État de révoquer cette décision qui va à l’encontre
des valeurs de la société civile. Le rôle de l’État n’est pas d’imposer
des valeurs, mais plutôt de respecter les valeurs de la société civile pluraliste en lui offrant un encadrement souple et respectueux.Quant au gâchis qui résulte des multiples réformes de l’éducation pour en écarter la religion, je constate tristement qu’un certain refus global de notre identité catholique conduit de plus en plus à un fouillis global en éducation. Les
sous-produits sont bien connus : couples fragiles, familles éclatées,
avortements massifs, bientôt l’euthanasie, suicides à un taux effarant,
décrochage scolaire évidemment, travail sept jours sur sept, etc., etc. Vive le Québec libre de la religion!”
Dans un ouvrage publié en juin 2012, il notait le lien entre la vérité et la charité.
Le dernier tweet d’Hugo Chavez
C'était le 18 février :
Soit : "Je m'accroche encore au Christ et j'ai confiance en mes médecins et infirmières. Toujours en avant vers la victoire!! Nous allons vivre et nous vaincrons !!!"
Promotion de l’homosexualisme dans les lieux publics
Au Pérou, cela pourrait devenir une réalité, si le maire de Lima n'est pas révoqué par un vote devant intervenir le 17 mars.
Elections de comiques
Lu dans Minute :
"Mardi 26 février, « Le grand journal »,
Canal +
Jean-Michel Apathie s’étonne du score élevé (près de 25 %) obtenu par l’ancien
humoriste Beppe Grillo aux élections
italiennes. Luc Châtel, vice-président
de l’UMP, se montre beaucoup
moins surpris: « En France, on a bien eu un
comique qui a fait 51 % des voix ». Oui, mais
celui-là ne fait déjà plus rire personne…"
Les Femen ou la réhabilitation de Joseph Staline
Lu ici :
"Coïncidence [le 5 mars 1940, Joseph Staline signait l’acte d’exécution des massacres de Katyn ; Le 5 mars 1953, lorsqu’il meurt, Joseph Staline laisse un bilan estimé à plus de 20 millions de morts] : le 5 mars 2013, France 2 diffusait un documentaire signé
par Caroline Fourest à la gloire des Femen. Le film commence par une
séquence étonnante, qui mérite quelques explications. On y voit l’une
des Femen tronçonner, seins nus devant les caméras, une grande croix de
bois qui domine la ville de Kiev. Son oeuvre accomplie, la jeune fille
pose brièvement devant son trophée, explique avoir voulu libérer les
femmes de l’oppression religieuse. Puis, les images étant dans la boîte,
elle met fin à ce grand moment d’héroïsme en prenant ses jambes à son
cou. On la retrouvera en France, pays des droits de l’homme, qui, non
content de la protéger, assure la communication de ces hauts faits dans
un documentaire financé par le service public et diffusé en prime time.
Il y a cependant un détail que
le passage ne mentionne pas : cette grande croix abattue était en fait
le mémorial des dizaines de milliers de victimes ukrainiennes… de Joseph
Staline. Derrière l’acte de pseudo-résistance, c’est une vraie
profanation, méthodique, glaçante, qui se déroule."
Le lobby LGBT sous perfusion de l’Etat
Minute dénonce les énormes subventions délivrées à des associations qui ne représentent quasiment personne :
"Le tour d’horizon des économies
à réaliser ne serait pas complet sans
un petit examen des subventions
gé néreusement pompées par le
lobby gay.
Act Up a ainsi reçu 233750 euros en 2010; les lesbiennes du groupe
Gaies, 640 000 ! Sans parler,
parce qu’on pourrait finir par s’énerver, d’« Unité réflexion action
communautés Afrique », un bidule
qui a raflé 30000 euros pour sensibiliser
les Africains au VIH et
– c’est joliment dit – « pour aider Ã
appréhender certaines problématiques
spécifiques des migrants originaires
d’Afrique subsaharienne. »
De leur côté, les régions Lorraine,
PACA et Bretagne versent des
milliers d’euros à la « Sexothèque »
des Petits Débrouillards, qui donnent
des cours de sexualité dans les
écoles.
Et les khmers roses d’Act Up et
SOS Homophobie s’en mettent
plein les fouilles grâce à la générosité
de nos élus, à tous les niveaux
de l’appareil d’Etat.
Pour palper des subventions,
SOS Homophobie a notamment
creusé le filon de la lutte contre
« l’homophobie ».
Depuis 2006, ce lobby touche
chaque année 10000 euros de la
Mairie de Paris. Sans compter les
subventions exceptionnelles, comme les 2000 euros accordés en décembre 2012, pour le projet « Interventions
dans les établissements parisiens
» – alors même qu’en novembre, SOS Homophobie a perdu
l’agrément du ministère de l’Education
nationale pour intervenir
dans les collèges et les lycées, suite
à une décision du tribunal administratif de Paris!Un dernier pour la route? Parlons
de Prochoix, « la revue pour le
droit de choisir », co-fondée par Caroline
Fourest. Alors qu’elle ne
paraît plus depuis novembre 2011,
que son blog n’a publié que dix
billets en un an, elle a reçu en 2012
la somme de 12000 euros d’argent
municipal, comme chaque année…
Et encore un, pour ne pas rester
sur sa faim. Le Paris Foot Gay a reçu
30000 euros de la Ville de Paris en
2011. Et 40000 en 2012. Pourquoi
cette augmentation? Mieux vaut
éviter de se poser trop de questions.
Qui, Ã part des associations de
citoyens, ose dénoncer ce scandale
des subventions publiques? Pas
grand monde. L’UMP joue profil
bas, puisque les subventions affichées
dans le « jaune » 2013 ont été
accordées… par le gouvernement
de Nicolas Sarkozy (au moins en
ce qui concerne les subsides des
ministères). Marine Le Pen, elle,
estime que l’on pourrait, au strict
minimum, économiser 500 millions
d’euros en cessant de subventionner
ces lobbys communautaristes.
La présidente du FN juge qu’il faudrait
rediriger l’argent « vers des
associations sportives, de sécurité civile,
du troisième âge, du handicap ou de
l’enfance ». Or, ce sont justement les
grandes oubliées des concours
d’arrosage public 2010/2011! Ne
dites pas que ça vous étonne…"