Blogs

Accueil de Manuel Gaz ce matin à Lyon

Malgré une armée de policiers, les Lyonnais n'ont pas renoncé à venir dire au ministre de l'Intérieur tout le mal qu'ils pensent de la loi Taubira et de sa répression :

0
V
4

Opération Golfe pour tous

150 personnes accueillent la grande Armada dans le golfe du Morbihan sur l'île Longue :

0
1

Les premiers bateaux arrivent et répondent aux saluts

2

5

Printemps Français :aux victimes de répressions policières

 

Municipales : l’UMP préfère-t-elle l’élection d’un communiste à une alliance locale à droite ?

A Gamaches, dans la Somme,
le candidat représentant local de l'UMP et à la tête de la liste
"Gamaches ensemble", a annoncé avoir passé un accord avec
le délégué cantonal du Front national, avec 6 noms sur une liste de 21 personnes
. L'idée est de faire liste commune dès le premier tour, pour battre la gauche et en particulier Jacques Pecquery, maire communiste de la ville. Jérôme Bignon, secrétaire départemental de l'UMP, y met son veto :

"Ma position est définitive : l'UMP ne fait pas d'alliance avec le FN. Je ne peux pas empêcher une initiative individuelle, mais à ce moment-là son auteur n'est plus à l'UMP".

Arnaud Cléré, tête de liste de Gamaches ensemble, explique qu'il a
eu "notification par le secrétaire départemental de (s)on exclusion
définitive"
:

"Ils
motivent l'exclusion sur le fait que Copé est absolument contre les
alliances locales. C'est une décision injuste, ça fait 16 ans que je
milite
, j'ai commencé au RPR, j'ai donné beaucoup de ma vie. Je
trouve ce cordon sanitaire absurde, de refuser une alliance pour battre
la gauche, alors que les alliances entre le PS et le Front de gauche,
personne n'en parle
. L'alliance avec le FN est
indispensable pour gagner la mairie, le FN fait un score plus élevé que
l'UMP lors des derniers scrutins."

Arnaud Cléré ne s'inquiète pas pour autant : s'il est privé de
l'étiquette UMP, il avance qu'il n'aura pas de candidat du parti face à lui. A Gamaches, le FN a fait la démarche d'aller vers l'UMP, indique l'un de ses représentants, Mariel Houyelle :

"C'est nous qui sommes allés à la rencontre du candidat de la droite pour en finir avec trente ans de mairie de gauche."

13 mai : accueil de Delphine Batho à Rennes

Lundi après-midi, Delphine Batho, ministre de l'Ecologie, du Développement durable et de l'Energie, sera en visite à Rennes.

Après la loi Taubira, la polygamie

Les hypocrites qui s'indignaient quand certains (comme le cardinal Barbarin) indiquaient il y a quelques mois que, à partir du moment où l'on redéfinit le mariage, il n'y a plus de limite, peuvent ravaler leur indignation. A Mayotte, la population demande désormais la légalisation de la polygamie :

P

Il semble que nous tirerions davantage de bénéfice si nous nous efforcions d’être de bons patriotes et de bons enfants de Dieu

Alors que son gouvernement est traîné dans la boue par les médias européens (et européistes), Viktor Orban, président hongrois, s'est exprimé devant le congrès juif mondial réuni à Budapest. Il a notamment déclaré (traduction de Benoît-et-moi) :

O"La situation actuelle réclame une réponse à la question de savoir ce qui
est allé de travers en Europe au cours des vingt dernières années. Nous
avons finalement détruit le communisme, nous avons fini la guerre
froide, l'Europe a eu la possibilité d'être à nouveau un continent de
paix, de coexistence, de compréhension et de tolérance. Et nous voici
vingt ans plus tard, à la recherche d'un remède contre l'augmentation de
l'intolérance et de l'antisémitisme. Qu'est-ce qui nous est arrivé? C'est une question que beaucoup de gens se font, et nous avons entendu de nombreuses raisons.

Nous,
Hongrois, nous avons donné notre réponse il y a deux ans lorsque nous
avons adopté notre première constitution démocratique. Nous,
Hongrois, pensons que c'était une erreur de croire qu'une communauté
avec une identité nationale et religieuse faible peut offrir une plus
grande opportunité de coexistence pacifique. Aujourd'hui, il semble
qu'une identité forte est le fondement de la reconnaissance et du
respect mutuels. Aujourd'hui, il semble que nous tous, Juifs et
non-Juifs, nous tirerions davantage de bénéfice si nous nous efforcions
d'être de bons patriotes et de bons enfants de Dieu. Chacun selon ses
propres lois, mais tout convaincus du bien-fondé d'un respect
inconditionnel de la dignité humaine.

A la fin, tout les
choses deviennent plus faciles, à la fois pour le bien et pour le mal.
Vous savez mieux que quiconque qu'en fin de compte, le monde est
gouverné par deux types d'intentions et d'actions humaines: le bien et
le mal. Quand la volonté des personnes bonnes prévalaient en Hongrie,
alors les Hongrois et les Juifs vivaient ensemble dans la paix et la
prospérité, et si nécessaire, l'État hongrois protégeait ses citoyens.
L'antisémitisme est un état d'esprit où le mal prend le contrôle des
pensées et des actions des personnes, et ce danger nous menace aussi
nous chrétiens.

Nous sommes conscients que tout au long de
l'histoire il y a eu des chrétiens mauvais et des Hongrois mauvais, qui
ont commis des péchés graves. À la lumière de tout cela, notre réponse à
la montée de l'antisémitisme en Europe et en Hongrie n'est pas de
renoncer à nos racines morales et religieuses, mais exactement le
contraire
: rappeler et renforcer les exemples et la tradition des bons
chrétiens. De façon cohérente, la Constitution actuelle offre une
protection réelle, la vraie sécurité, une dignité humaine pleine et
réelle, dignité personnelle et communautaire pour le peuple juif et bien
sûr à toutes les minorités qui vivent côte à côte avec nous.  […]

Notre génération est celle de la paix
et des révolutions. Dans notre jeunesse, nous avons fait écrouler le
communisme et regagné l'indépendance du pays afin que chacun puisse
vivre dans la liberté. Nous savons qu'il n'y a pas de liberté sans
dignité humaine
. […]"

L’avenir politique de La Manif pour Tous : devenir un groupe de pression

Guillaume Bernard, maître de conférence à l’ICES (Institut catholique d’études supérieures), analyse pour Famille chrétienne le mouvement né de la contestation à la loi Taubira :

F"Il y a six mois, en novembre 2012, le mouvement a démarré avec
des militants, ceux qui étaient le plus politisés, au sens général,
dans des associations. Mais au fil des mois, toute une catégorie de
personnes, non politisées au départ, le sont devenues au point de
s’engager d’une manière ou d’une autre dans une action politique
.
Globalement, cela correspond aux classes moyennes de droite, celles qui
habituellement ne descendent pas dans la rue. Or, en sociologie
politique, ce type de militantisme correspond à un degré élevé
d’engagement. Il y a donc là quelque chose de nouveau qui ne peut
qu’inquiéter l’exécutif, parce que si la mobilisation dure, c’est cet
effet « boule de neige » qui aura le plus d’influence sur la vie
politique à l’avenir
.

Les élections municipales de 2014 seront-ils un bon test de cette nouvelle donne ?

Pas
forcément, car il y aura 36 000 élections, soit autant que de
communes en France ! Il sera donc difficile d’en tirer une règle
générale et de dégager un mouvement d’ensemble à partir des résultats.
Il me paraîtrait donc dangereux, pour le mouvement actuel, de s’engager
dans une campagne pour les municipales, au risque d’être dilué dans un
grand nombre de situations locales.

Quel autre avenir politique pour ce mouvement ?

Si le mouvement perdure, deux options sont possibles.

La
première, c’est de se constituer en parti. Mais cela me semble
dangereux
car en France, un parti politique ne peut pas être
monothématique. Au-delà du mariage et de l’adoption, sur les autres
questions politiques, le risque serait celui de la division, voire celui
de caricaturer la doctrine catholique.

La seconde
option est celle du groupe de pression ou d’influence, du lobby.
C’est-à-dire appeler à faire battre, ou à faire gagner des candidats,
mais aussi proposer des argumentaires et rédiger des propositions de
loi
. Le tout afin de peser sur les partis et sur le vote des lois.

L’idée de lobby n’est-elle pas taboue en France ?

Ce
n’est pas le cas à l’étranger. À Bruxelles, auprès de la Commission
européenne, ce sont des techniques d’intervention politique qui sont
institutionnalisées. Aujourd’hui en France, les catholiques représentent
environ 15 % de l’électorat au maximum, 4 % pour les pratiquants. Avec
ce type d’organisation,
ils sont donc susceptibles de faire basculer une majorité.
Même si ce mouvement n’est pas confessionnel et mise davantage sur le
droit naturel. Car sinon, il y aurait le risque de tomber dans
l’augustinisme politique, c’est-à-dire de transposer des questions
morales ou dogmatiques dans le domaine politique.

Concrètement, comment fonctionne un lobby ?

Cela
suppose une professionnalisation du militantisme politique
. À titre
d’exemple, le principe est de ne lancer un argumentaire que si on est
capable de le décliner à différents niveaux : livres universitaires,
synthèse pour les décideurs, proposition de loi, tract, slogan… Cela
suppose une coordination de l’action, pour segmenter et toucher les
différents publics. Pour former un lobby, il faut donc trois
éléments : une base de militants et de donateurs – la Manif pour tous
semble bien pourvue de ce côté –, des leaders d’opinion qui incarnent ce
mouvement dans différents secteurs : les médias, la politique,
l’université ; et enfin une ligne, une stratégie
.

Que pensez-vous de la comparaison avec les Tea-parties aux États-Unis ?

Ceux-ci sont nés au sein du parti républicain américain,
dans un système bipartisan, et n’ont pu se développer que dans ce cadre
très monolithique. En France, la mobilisation est « transcourants »,
elle peut faire pression sur les différents partis. C’est sa force. Dans
La Manif pour tous, il y a principalement des membres de l’UMP, de la
démocratie-chrétienne et du FN. Pourquoi n’exister qu’au sein d’une
seule tendance ? Ce serait suicidaire
. Ce qui inquiète l’exécutif, c’est
justement que différentes tendances se sont unies, et que désormais le
mouvement se politise : de « non à la loi Taubira », on est passé à « Hollande démission »… […]"

Une mineure mariée par téléphone à un musulman

En France.

Violée et avortée de force, elle porte plainte

Lu sur le blog de Jeanne Smits :

"Une jeune femme irlandaise poursuit actuellement le gouvernement de
son pays pour avoir été soumise à un avortement forcé
après être tombée
enceinte à la suite d’un viol particulièrement violent. « Mary » était
mineure à l’époque des faits. Elle n’avait que 13 ans. Aujourd’hui, 16
ans plus tard, elle n’a pas fini de souffrir. Et c’est son avortement
qui lui laisse le pire souvenir : pire que le viol lui-même.

La jeune femme atteste qu’à la suite de l’avortement, elle est tombée
dans une spirale de « dépression et de chaos » – alors même que
l’avortement avait été justifié par des travailleurs sociaux au motif
que la jeune fille menaçait de se suicider.

Tout s’était passé sans que la petite « Mary » ait eu son mot à dire.
Elle se souvient avoir été emménée chez le médecin, qui lui apprit
qu’elle était enceinte. « Ça veut dire quoi, enceinte ? » Elle ne le
savait pas. On lui dit qu’elle allait avoir un bébé. Elle ne comprenait
pas comment cela pouvait se faire. On l’éloigna de sa maison. Quelques
semaines plus tard, des travailleurs sociaux l’embarquèrent dans un
avion pour Londres. Là elle se souvient d’avoir eu très mal, d’avoir eu
une piqûre et de s’être profondément endormie. « Quand je me réveillai,
la douleur était partie et ils finirent par me dire que le bébé était
mort. »

[…] En application de la jurisprudence de la Cour suprême irlandaise de
1992, le fameux « Cas X », qui autorisait l’avortement à l’étranger pour
les femmes irlandaises enceintes menaçant de se suicider si elles
étaient obligées de poursuivre leur grossesse, une autorité sanitaire,
l’Eastern Health Board, argua que « Mary » était dans cette
situation et qu’elle voulait obtenir un avortement. […]

En 1998, le
violeur de « Mary » fut condamné à 12 ans de prison
[…].

Aujourd’hui « Mary » a 29 ans et deux enfants à elle. Et c’est ce
fait qui lui a fait prendre conscience des souffrances causées par son
avortement. « Je ne voulais pas devenir mère à 13 ans, mais je me rends compte
maintenant que le bébé ne méritait pas de mourir. J’aurais aimé pouvoir
le donner à adopter, à quelqu’un qui voulait vraiment avoir des enfants
et qui ne le pouvait pas. Elle serait adolescente aujourd’hui et
peut-être qu’on aurait pu être amies, même si elle ne m’appelait pas
Maman… »

[…] (Et le violeur ? On apprenait en 2005 qu’il venait d’être condamné à 21 ans de prison pour avoir violé une femme de 86 ans…)

Docufiction sur sainte Jeanne d’Arc

Lu sur Americatho :

"Quatre années de travail auront été nécessaires à notre compatriote et ami Daniel Rabourdin, producteur à Eternal Word Television Network (EWTN), pour achever la réalisation d’un docufiction sur sainte Jeanne d’Arc destiné, dans un premier temps, au public anglophone de ce formidable apostolat télévisuel imaginé par Mother Angelica, et qui touche désormais quelque 350 millions de foyer dans le monde ! Daniel Rabourdin
vient de m’informer par courriel que la version anglaise de ce
docufiction pourra être vu mercredi 29 mai à 18 h et jeudi 30 mai à 12 h
sur le site d’EWTN
 : il suffira d’aller, aux jours et heures indiqués, sur ce lien puis de cliquer sur EWTN/UK Ireland. Daniel Rabourdin
nous promet pour bientôt la bande annonce de ce film dont de nombreuses
séquences ont été tournées en France en 2010
. Je ne manquerai pas de la
mettre aussitôt en ligne. En attendant, je vous invite à aller
découvrir un diaporama du tournage de ce docufiction : c’est ici !"

Manuel Gaz, avez-vous peur ?

Un Français écrit au ministre de l'Intérieur :

"Monsieur le Ministre,

Ce matin, je vous ai vu arriver et gravir les marches du Grand Temple de Lyon à 9h30.  Avez-vous remarqué :

  • Pas un français n’était là pour vous soutenir. Vous le saviez, vous ne vous êtes pas retourné.
  • Que des dizaines cars de CRS étaient garés tout autour
  • Que les seules personnes présentes étaient des policiers en civil ou en tenue.

 Qu’avez-vous fait de notre démocratie ? N’êtes-vous pas entrain de glisser vers un régime totalitaire ? Est-ce normal que vous ne puissiez vous déplacer dans notre pays sans que des centaines de policiers vous protègent ? Combien coûte, aux français, chacun de vos déplacements ? Avez-vous peur ?"

13 mai : conférence sur le gender à Bayonne

0

Bonjour Philippsbourg (Moselle)

1

La Corse ne lâche rien

C

Bonn salue Christiane Taubira

Ci joint la photo prise devant le Rhin et au fond vous apercevez le Petersberg, résidence d'hôtes de la République fédérale d'Allemagne ou eurent lieu d´importants évenements internationaux !B

Bonjour Châtenay-en-France, Val d’Oise

1

Une société qui ne protège pas la cellule familiale promeut la haine

Extrait de l'homélie prononcée par Dom Patau, père abbé de l'abbaye bénédictine de Fontgombault, en la fête de l'Ascension :

"Le pire pour l’apôtre est peut-être d’être confronté à l’indifférence.
Ce fut le cas pour Paul lors de sa rencontre à l’Aréopage
d’Athènes. À mesure qu’il parle, s’installe entre lui et la docte
assemblée, composée de ceux qu’il appelle « les plus religieux des
hommes » (Ac 17,
22), comme un malaise. Le Dieu créateur, en qui nous avons
la vie, le mouvement et l’être, son jugement futur sur le monde, la
résurrection des corps, n’attirent que peu d’intérêt : «
les uns se moquaient, les autres disaient : “Nous t'entendrons
là-dessus une autre fois.”» (Ac 17, 32)

De telles considérations,
qui nous semblent que bavardages, n’intéressent pas des hommes qui se
croient sages. Le vrai Dieu ne les intéresse pas. Suivre
les faux dieux, les dieux faits de mains d’homme, ne prête pas à
conséquence. Suivre les faux dieux, suivre ses passions, donne
l’illusion de la liberté. Écouter saint Paul, c’est au
contraire accueillir dans sa vie un être dont la présence remet en
question le sens de la vie et l’exercice de la liberté. Mais que vaut
une liberté qui s’érige en absolu contre la liberté
et la volonté de Dieu ? Que vaut une liberté qui librement
s’aveugle ?

Relire les premiers chapitres du livre de la Genèse est éclairant.

La liberté qui fait
l’économie de Dieu est celle de la créature avant que Dieu ne parle.
Cette liberté a un nom à l’allitération évocatrice :
tohu-bohu, chaos
. Ce qui met fin à l’état de confusion antérieur
à l'organisation du monde, c'est la parole de Dieu : « Dieu dit : “Que
la lumière soit”, et la lumière fut. »
(Gn 1, 3) La lumière
pourrait-elle dire alors : « Je suis ténèbres » ? Non, la lumière ne
le peut pas, parce que Dieu a dit : « Que la lumière
soit. » La lumière est donc lumière. L'enfant capricieux qui ferme
les yeux alors que le soleil est au zénith peut dire : « Il fait nuit,
la lumière pour moi c’est comme les ténèbres. »
L'enfant le dit, mais il se trompe.

Un peu plus loin, toujours au premier
chapitre de la Genèse, Dieu dit : « Faisons l'homme à notre image…
Dieu créa l'homme à son image, à l'image de Dieu il
le créa ; mâle et femelle il les créa. » (Gn 1, 26-28) La conclusion du second récit de la création est encore plus explicite : « C'est pourquoi l'homme
quitte son père et sa mère et s'attache à sa femme, et ils deviennent une seule chair. » (Gn 2, 24). La parole de Dieu est au fondement de
l’union.
Certes un homme peut dire : « Un couple selon moi,
ce peut être l'union de deux hommes ou de deux femmes. » Il le dit,
mais il se trompe. La parole de Dieu demeure la
seule référence garante de ce qu’est un couple, garante aussi de
la légitimité de sa reconnaissance officielle dans le mariage.

L’enfant capricieux, s’il se
met à marcher les yeux fermés, ne tardera pas à tomber. Avant d’avoir
atteint le sol, déjà il aura ouvert ses yeux.
Ébloui l’espace d’un instant, il comprendra vite que la lumière
n’est pas ténèbres mais au contraire un précieux secours de Dieu. La
volonté de se libérer du plan de Dieu l’a conduit dans
les ténèbres, dans le chaos. La redécouverte de la lumière lui a
rendu sa vraie liberté.

Alors que l’économie
mondiale s’effondre et que les chefs d’État s’emploient à résoudre la
crise, il est consternant de voir comment ces mêmes chefs
d’État s’appliquent avec zèle à accentuer la décadence morale de
la société et de l’humanité
, tant par l’exemple de leur propre vie
qu’en promulguant des lois qui se fondent, non pas sur
la nature de ceux qu’elles concernent, mais sur une volonté
idéaliste et irréaliste d’égalité. L’homme n’a pas à créer le
monde : Dieu a dit : « fructifiez et multipliez-vous, remplissez
la terre et soumettez-la. » (Gn 1, 28)


Combien de temps faudra-t-il
aux hommes pour comprendre qu’une société qui ne protège pas la vie
humaine, la cellule familiale et en particulier
l’enfant, promeut la haine, s’expose à toutes les dérives et court
à sa perte ?
La vie et la famille sont des dons nés de la parole
divine. Elles ne se vendent pas, ne s’achètent pas, ne se
bradent pas. Elles se respectent.

L’homme semble avoir un
besoin irrépressible de détruire : défigurer la beauté de la
planète, gaspiller et détruire ses ressources énergétiques, la
nourriture qu’elle produit, enfin se détruire lui-même en refusant
ce qu’il est.

À l’image des apôtres, les
chrétiens ont le devoir de répandre à travers le monde la semence de
la parole : parole primordiale du premier instant de la
création, parole incarnée du Dieu qui se fait parole dans le
Christ. Cette parole est l’unique voie qui conduit du néant à l’être, du chaos à la vie, des ténèbres à la
lumière.

Dans la vie publique, les
chrétiens ont le devoir, par leurs votes et plus généralement par
leurs actions, de soutenir les candidats et les élus qui ne
se rendent pas complices de crimes contre l’humanité mais
promeuvent une authentique législation de la vie
. Refusant d’appliquer
les lois mortifères issues de la dictature du relativisme,
usant du droit inaliénable et légitime à l’objection de
conscience, ils présentent au monde une authentique liberté fondée
dans la vérité.

Saint Paul en cette année de
la foi nous encourage : « J'ai cru, c'est pourquoi j'ai parlé, nous
aussi, nous croyons, et c'est pourquoi nous parlons.
» (2 Cor 4, 13 ; cf. Ps 115, 10). […]"

Manif pour Tous à Argenteuil

Quelques centaines de personnes ont défendu la famille :

1

Conférence de Philippe Arino à Mundolsheim le 12 mai

0

Nous utilisons des cookies pour vous offrir la meilleure expérience en ligne. En acceptant, vous acceptez l'utilisation de cookies conformément à notre politique de confidentialité des cookies.

Paramètres de confidentialité sauvegardés !
Paramètres de confidentialité

Lorsque vous visitez un site Web, il peut stocker ou récupérer des informations sur votre navigateur, principalement sous la forme de cookies. Contrôlez vos services de cookies personnels ici.


Le Salon Beige a choisi de n'afficher uniquement de la publicité à des sites partenaires !

Refuser tous les services
Accepter tous les services