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Offre d’emploi à Edimbourg

Famille catholique française en poste à Edimbourg
(Grande-Bretagne) pour encore une année scolaire recherche un
maître ou une maîtresse d’école français(e) ou francophone
expérimenté(e) pour enseigner l’année scolaire prochaine à son
domicile 
(grande maison)  deux de ses enfants (filles de 9 ans et
10,5 ans), en se servant du support des cours Hattemer.

Les deux
élèves  sortent de trois années dans le système britannique et ont
besoin de renouer avec une approche plus rigoureuse et
« française Â» de l’enseignement, et de rattraper leur retard. Cet
emploi peut être l’occasion pour la personne embauchée de
perfectionner son anglais et de vivre une année à l’étranger. Le
logement est proposé sur place,  dans  le quartier résidentiel de
Calton Hill.  Salaire à définir, selon l’expérience et les
modalités de logement. Entre 1300 et 1700 euros net pour 30 heures
par semaine environ. Entretien d’embauche en France ou en Ecosse
au choix. Possibilité de faire une période d’essai en France cet
été.  Appeler  au 06 26 27 86 72 ou au (00 44) 131 478 95 81.

Armes et cocaïne découverts dans un bâtiment municipal

Au sein de la mairie communiste de Bagnolet.

Cardinal Meisner : tout miser sur l’immigration est une erreur

Le cardinal-archevêque de Cologne, Joachim Meisner, a
provoqué
un tollé en appelant les autorités à encourager les femmes à
mettre au monde au moins trois à quatre enfants
. Néanmoins, le député CSU Norbert Geis l'a soutenu :

"La grande contribution que la mère apporte
par l'éducation de ses enfants n'est pas reconnu en espèces sonnantes et
trébuchantes. C'est pourquoi je suis en accord, sans restriction, avec les
déclarations de Meisner!"

Les propos du cardinal se trouvent dans un entretien à Stuttgarter Zeitung, dans lequel il critiquait les politiques familiales et migratoires du gouvernement
fédéral
. Tout miser sur l'immigration, "comme le fait maintenant madame Merkel",
est une erreur, a affirmé l'archevêque.

"Nous ne pouvons pas, par égoïsme,
priver les Portugais et les Espagnols de leur jeunesse, et donc de l'avenir de
leur pays
."

"J'ai vécu en RDA
tout ce tragique simpliste. Là-bas, on disait aux femmes que celles qui
restaient à la maison pour leur famille étaient folles."

Dans ce même entretien, il estime que l'avortement provoque le suicide de la société.

Un lycéen de 14 ans accuse la police de l’avoir roué de coups

Lu dans le Point :

"Le dimanche 26 mai, Marc, qui est en
classe de seconde avec un an d'avance, participe au rassemblement
anti-mariage pour tous aux côtés de ses parents et de sa soeur aînée.
Sur la place des Invalides, en fin de manifestation, le lycéen perd de
vue dans la foule sa famille, qui rentre chez elle sans lui. "Il n'avait
pas de téléphone portable sur lui, car nous l'avions oublié à la
maison", nous précise sa mère. Marc finit par retrouver des amis avant
de continuer la soirée tout seul.

Un
drapeau de pirate à la main, l'adolescent aurait alors essayé de
quitter la place des Invalides, mais se serait heurté aux cordons de
CRS
. Vers 22 h 30, le lycéen aurait décidé de rejoindre la station de
métro des Invalides. Selon sa version, il passe alors sans incident un
premier barrage de CRS, puis est violemment interpellé avant d'en
franchir un second. "Un policier en civil m'a emmené au sol en passant
son bras sur ma tête"
, affirme le lycéen dans sa plainte, dont Le
Point.fr a pris connaissance.

Marc aurait alors été
violemment menotté par trois fonctionnaires.
"À aucun moment je ne me
suis débattu, ni n'ai essayé de m'opposer à cette interpellation
", jure
l'adolescent. Marc affirme ensuite avoir reçu des coups de pied dans la
tête
, sans pouvoir déterminer si ceux-ci étaient "volontaires ou s'il
s'agissait juste de piétinements
". La suite tient du mauvais film. "Un
policier m'a ensuite sauté dessus en positionnant son genou sur mon
thorax tout en me donnant un coup de tibia au niveau du sexe
." Marc
aurait ensuite été transporté à l'écart de la foule vers un arbre. "Un
policier en civil de type maghrébin m'a alors claqué la tête contre
l'arbre avec violence
", affirme le lycéen. Un geste que le fonctionnaire
aurait, selon lui, justifié ainsi : "Ça t'apprendra à foutre la
merde…
"

À moitié assommé, Marc
aurait d'abord été installé sur un trottoir, puis dans un fourgon de
CRS, avant d'être conduit en voiture sérigraphiée au commissariat du 18e
arrondissement de Paris, rue de l'Évangile. La famille du lycéen est
alors contactée. Marc est ensuite conduit au commissariat
d'Ivry-sur-Seine, où un médecin l'examine et lui délivre une incapacité
temporaire de travail de trois jours
. L'adolescent est ensuite
auditionné en présence d'une avocate. Finalement, Marc fera l'objet d'un
simple rappel à la loi pour non-dispersion après la manifestation.

"L'histoire
de Marc n'est pas un cas isolé", affirme Me Triomphe, l'avocat de la
famille. "Nous disposons de nombreux témoignages évoquant des brutalités
policières. Cela traduit un sentiment d'impunité inquiétant." En
regardant des vidéos postées par les manifestants sur Facebook,
Marc aurait identifié l'un de ses agresseurs présumés. Une nouvelle
plainte du lycéen devrait être déposée devant le procureur de la
République de Paris vendredi après-midi, avec une centaine d'autres par
une quinzaine d'avocats du barreau de Paris.
[…]"

Mgr Ravel déplore les conditions de tournage dans la chapelle du Val de Grâce

Communiqué de l’évêque aux armées :

RCe mardi 4 juin 2013, un clip musical a
été tourné à l’intérieur de la chapelle du Val de Grâce
sans l’aval de
l’aumônerie militaire
. Je déplore les conditions de ce tournage et je
ferai tout pour que la clarté soit faite autour des autorisations
données et, en particulier, de la tenue à l’écart des responsables
religieux. Beaucoup de personnes nous ont fait part de leur émotion et
de leur blessure : je les partage totalement.

Par ailleurs, les plus hautes autorités
militaires et civiles du ministère de la Défense ont été immédiatement
prévenues et une enquête de commandement a été diligentée dès le mardi
soir
. Cette affaire est prise très au sérieux par tous. Je les en
remercie au nom de tous les catholiques et de tous les croyants de
quelques religions qu’ils soient.

Ce clip visait à mettre en scène la
chanteuse Arielle Dombasle chantant l’Ave Maria sur fond d’église,
entourée de moines et d’anges. Ces éléments ne montrent à notre
connaissance aucun élément directement attentatoire à notre foi, à nos
signes et rites sacrés. En tant qu’évêque, seul habilité par le droit à
trancher sur ces faits, je n’y vois donc pas une profanation ou un
blasphème, au contraire de ce qui s’est déroulé dans la chapelle de la
base navale de Toulon au mois de décembre 2012. Tout prise de parole
pour dénoncer les faits doivent, d’une part, éviter les procès
d’intentions et, d’autre part, renoncer aux caricatures en cernant au
plus près les faits.

En revanche, je déplore et condamne fermement deux manquements lourds de sens.

Le premier, objectif, concerne les
conditions du tournage largement décalées par rapport au sacré de cette
chapelle malgré la vigilance des autorités militaires en charge du lieu
.
Si l’Eglise ne refuse pas a priori les demandes qui lui sont faites
concernant un usage extraordinaire de ses lieux saints, elle n’en
demeure pas moins gardienne de leur sens en toutes circonstances. Il ne
viendrait à l’idée de personne de jouer au foot dans un cimetière même
si les surfaces s’y prêtent. Pourquoi user d’une église comme décor de
théâtre ? S’il est acceptable de filmer une cérémonie malgré les
contraintes techniques, c’est en raison du bénéfice spirituel qu’en
tireront des personnes absentes ou malades. Un tel tournage conserve le
sens des lieux et des cérémonies. Mais il n’est pas acceptable que des
sanctuaires vivants et priants servent à la promotion du show business
ou d’une marque de parfum. Il existe des studios pour cela.

Le second, subjectif, touche au
processus de décision qui « oublie Â» aujourd’hui l’expertise et
l’autorité catholiques, moi-même ou l’un de mes représentants
. Oubli
d’autant plus regrettable qu’il a été précédé d’un incident antérieur
survenu dans cette chapelle, il y a quelques mois. Il ne s’agit pas de
revendiquer une prérogative mais de tenir un droit. Le droit de
l’ Â« usager Â» et le droit de l’expert. Si ce processus n’est pas
correctement mis en place, on va cumuler les méfiances, accumuler les
erreurs et envenimer un climat général par la suspicion et le mépris
réciproques.

Ces deux manquements sont lourds de sens :
ils désignent un état mental extrêmement périlleux pour l’avenir de
notre vivre en commun en France.
Quel est-il ? Inquiet des religions qui
lui échappent, l’homme se trouve pourtant attiré par elles et il
cherche à les instrumentaliser. Ainsi nos lieux sacrés fascinent :
édifices uniques par leur puissante charge symbolique, ils deviennent le
décor « nécessaire Â» d’événements sans aucun lien avec eux. Ainsi,
hier, tel pense à se suicider devant l’autel de la cathédrale Notre Dame
de Paris pour donner une portée prestigieuse à son geste. Aujourd’hui,
telle femme songe au Val de Grâce pour élaborer une image d’infini à son
chant. Demain, pourquoi pas ?, un autre se chargera de festoyer dans
nos vases sacrés transformés en vaisselle de luxe, avec cette note
d’interdit qui donne du goût à tout.

Cela rappelle une très vieille histoire,
l’histoire du Roi Balthazar, dont on trouve le récit dans le livre du
prophète Daniel (Dn 5, 1 à 30). On y lit que Balthazar, roi de Babylone,
au cours d’un festin et sous l’emprise du vin, « ordonna d’apporter
les vases d’or et d’argent que son père Nabuchodonosor avait ravis au
sanctuaire de Jérusalem pour y faire boire le roi, ses seigneurs, ses
concubines et ses danseuses. 
» Les abus de pouvoir se retournent
contre leurs auteurs. A peine avaient-ils commencé à boire, qu’une main
mystérieuse se mit à écrire sur le mur de la salle. La peur les saisit
tous mais seul le prophète pût comprendre l’inscription : Â« Dieu a
mesuré ton Royaume et l’a livré. Tu as été pesé à la balance et ton
poids se trouve en défaut. Ton royaume a été divisé et donné à d’autres
(Mèdes et perses). 
»

Une nation s’affaiblit à se fondre dans
l’irrespect du sacré, par jeu ou par intérêt. Car le respect est la
force des nations. Et la source du respect, c’est l’humilité devant ce
qui nous dépasse
."

24 mars : les poussettes étaient “très agressives”

Manuel Valls a répondu au député JF Poisson, suite à sa question sur les violences policères du 24 mars (cliquer sur les images pour les agrandir) :

0
198 arrestations notamment pour "participation à une manifestation
interdite
" : ce n'est pas une infraction pénale ! Il s'agit dès
lors d'arrestations arbitraires !
L'aveu de Manuel Gaz risque de lui coûter cher.

Add : Réponse du député Poisson.

"Je suis cependant au regret de vous
répondre que vos propos ne résistent pas à l’analyse, permise par les
innombrables témoignages reçus de manifestants concernés par
l’intervention des forces de l’ordre, ni aux enregistrement vidéos pris
sur le vif et qui circulent largement sur les réseaux sociaux. […]"

Réforme des retraites : les familles encore visées

Le gouvernement Hollande voudrait que les Français n'aient plus d'enfant qu'il ne s'y prendrait pas aurtement. Voici un communiqué de Laissez-les-vivre :

"Après les mesures très anti-familiales annoncées par le chef du gouvernement socialiste il y a 48 heures (nouvelle réduction du quotient familial de 2 000 à 1 500 € par demi-part et suppression de l'avantage fiscal pour les collégiens et les lycéens dès 2014), l'oppression sur les familles nombreuses s'accentue : le rapport MOREAU (du nom de la présidente de la commission de propositions pour la réforme des retraites) propose la fiscalisation de la majoration de 10% des pensions de retraite pour les parents de trois enfants et plus.
Certes, en QUINZE ANNEES de pouvoir, les gouvernements socialistes successifs, Mauroy, Fabius, Rocard, Bérégovoy, Cresson et Jospin n'avaient jamais levé le petit doigt pour se préocupper de l'effondrement des régimes de retraite.
Ceci dit, est-ce le hasard si les familles nombreuses sont systématiquement soumises à contribution dès la moindre réforme du tandem HOLLANDE-AYRAULT ?
Le chef de l'Etat espère-t-il ainsi réellement "inverser la courbe du chômage avant la fin de l'année 2013" en feignant d'ignorer que les familles nombreuses constituent également des acteurs-clé de la consommation et de l'investissement ? Assurément, les doctrinaires ne sont pas concernés par la vie économique de la France !"

Le Pape appelle à respecter l’écologie humaine

Ce matin Place St.Pierre, le Pape François a consacré la catéchèse de
l’audience générale à la défense de l'environnement, à laquelle l'ONU
dédie une journée mondiale:

"Mais se cultiver et protéger comprend aussi les rapports
humains… Si la crise actuelle est largement liée à l'environnement,
elle touche également l'homme. La personne est en danger et ceci
justifie la priorité d'une écologie humaine
. Ce danger est d'autant plus
grave que sa cause est profonde. Il ne s'agit pas d'économie mais
d'éthique et d'anthropologie
…même si tout est dominé par une économie
et une finance démunies d'éthique qui sacrifient les personnes au profit
et à la consommation. Il s'agit d'une culture du gaspillage et du
rejet…qui tend à devenir commune… La mode aujourd'hui c'est l'argent
et la richesse, pas l'homme. C'est la dictature de l'argent. Dieu a
chargé l'homme de gérer la terre, non l'argent. Là est le devoir
de chacun de nous. A l'inverse, la vie et la personne n'y sont plus
considérées comme des valeurs primaires… Cette culture rend insensible
jusqu'au gâchis alimentaire… La société de consommation nous a
habitués à l'excès et au gaspillage des aliments, auxquels on finit par
ne plus accorder de valeur. Et ceci va bien au-delà des simples
paramètres économiques car ces denrées sont en fait comme volées aux
pauvres et aux affamés. Je vous invite donc à réfléchir sur cette
problématique… Si une nuit d'hiver, tout près de cette place,
quelqu'un meurt dans la rue, ce n'est pas une information" alors que si
un réseau électronique saute c'est un drame! "Si la bourse fléchit de
quelques points, c'est une tragédie, mais pas que des êtres humains
soient rejetés
comme on jette des ordures.
.. Partout de par le monde il y a des enfants
qui n'ont rien à manger et on fait comme si c'était normal. Il ne peut
pas en être ainsi!… Prenons tous l'engagement à respecter et protéger
l'environnement et la création. Soyons attentifs à toute personne et
luttons contre la culture du gaspillage et du rejet au profit d'une
culture de la solidarité et du dialogue".

Rapport sur le terrorisme musulman

Le rapport parlementaire "sur le fonctionnement des services de renseignement français dans le suivi et la surveillance des mouvements radicaux armés" est clairement un rapport sur les dangers liés à l'islam. Mais comme ce n'est pas politiquement correct de le dire, il faut bien donner le change et trouver d'autres menaces. Du côté de "l'extrême-droite radicale", voici ce qui a été trouvé :

"En
octobre 2012, 73 militants d’extrême droite ont occupé le site d’une
mosquée en construction à Poitiers
, illustrant ainsi la capacité de
mobilisation de tels groupes – qui, en l’occurrence ont convergé de
plusieurs régions de France â€“ pour des actions d’éclat."

L'occupation pacifique d'un toit (alors même qu'il y a des régulièrement des occupations d'églises, des squatt d'immeubles… non mentionnés dans ce rapport) est donc considéré comme de l'activisme radical (armé ?)…

La gauche s’inquiète de la droitisation de la société

A l’initiative de François Rebsamen et de la Fondation Jean
Jaurès, un colloque se tient au Sénat sur le thème : « La
droitisation de la société française : mythe ou réalité ? Â».

Sur Canal+, François Rebsamen a appelé sa famille politique  à Â« reprendre la bataille des idées Â».

Leurs idées, nous savons où elles nous ont menés.

La bataille de l’embryon reprend

La Fondation Jérôme Lejeune relance un son journal de campagne en ligne Vous trouvez ça normal ? La raison : la bataille de l’embryon reprend !

En France,
la pression n’est jamais vraiment retombée depuis le 28 mars et la
résistance habile d’un groupe de députés de l’opposition à l’Assemblée
nationale ; réaction qui avait permis de mettre en échec temporairement
la proposition de loi visant à lever l’interdiction de la recherche sur
l’embryon humain. Les indicateurs d’un retour de la menace tournent
maintenant au rouge depuis que le gouvernement considère que la séquence
du mariage homosexuel est derrière lui. Outre l’euthanasie ou la
réforme de la famille, l’embryon est en première ligne. Ainsi, le Conseil des Ministres du 7 mai a fait du texte sur la recherche sur l’embryon une priorité du programme parlementaire avant l’été.
Dans le même temps, les partisans de ces recherches distillent dans la
presse l’image fantasmée d’une science brimée qui lutterait contre
« l’obscurantisme Â» (Philippe Brunet dans Le Monde le 19 mai).

C’est le moment de relancer l’alerte et d’appeler à la plus grande vigilance.

En Europe, l’heure
est à l’offensive pour protéger l’embryon. La Fondation Jérôme Lejeune
déploie en France, avec Alliance VITA, les Associations Familiales
Catholique et le Comité Protestant évangélique pour la Dignité Humaine l’initiative citoyenne européenne Un de nous.
Si le mouvement de défense du mariage en France est une « belle
surprise Â» et impressionne à l’étranger, pour la bataille de l’embryon
en revanche, les regards admiratifs portent sur l’Italie, la Hongrie,
l’Autriche, la Pologne ou l’Espagne. Dans ces pays, les signatures
pleuvent. A nous Français de suivre le rythme ! Avec 30 000 signatures, la moitié du contrat est rempli mais la France doit en réunir 60 000 d’ici l’été.
C’est l’occasion pour les Français, portés par une mobilisation
européenne, de briser le tabou entourant la fragilité de l’embryon pour
être capable collectivement d’adresser à la Commission européenne une
demande officielle de stopper les financements d’activités qui
détruisent l’embryon. L’enjeu est majeur. Soyons au rendez-vous.

Le coût de la non famille est exorbitant pour la collectivité

Michel Godet (Professeur du Cnam, membre du comité directeur de l'Institut Montaigne), propose dans Le Monde d'autres solutions pour réformer la politique familiale. Extraits :

"Le mandat confié à Bertrand Fragonard, le
président du Haut Conseil de la famille, il y a quelques mois par le
premier ministre était clair : trouver 2 milliards d'économie pour
résorber le déficit de la branche famille. Il faut rappeler que ce
déficit est artificiel puisqu'il vient des 3 milliards de dépenses de
majorations des retraites
pour familles nombreuses. Elles étaient
auparavant imputées à la branche vieillesse et pour cause : les enfants
d'hier sont les cotisants d'aujourd'hui. Sans ces transferts de
cavalerie initiés par la gauche en 1998 et renforcés après 2002 par la
droite, la branche famille serait aujourd'hui excédentaire d'un milliard
d'euros !

[…] La politique familiale a une
vocation de redistribution entre ménages sans enfants vers les ménages
avec enfants
. Il s'agit de faire en sorte qu'au sein de chaque catégorie
de revenu modeste, moyenne ou aisée, ceux qui ont des enfants ne soient
pas pénalisés par rapport à ceux qui n'en ont pas. En
moyenne, les familles en couple accusent une diminution de 13 % de leur
niveau de vie à la naissance de leur premier enfant, de 2 %
supplémentaires au second enfant, puis de 5 à 10 % par enfant à partir
du troisième. Le surcoût est d'autant plus flagrant que la France est le
seul pays de l'Union à ne pas proposer d'allocation significative pour
le premier enfant. […]

Dommage que le rapporteur n'ait pas eu plus de liberté dans ses
propositions au gouvernement. Il aurait pu par exemple proposer de
réaliser 12 milliards d'économies en supprimant le quotient conjugal :
pour la même somme totale, deux personnes en couple paient moins
d'impôts que deux célibataires imposés séparément. Cette imposition
séparée est prédominante en Europe du nord pour ne pas inciter les
femmes qui ont un salaire modeste à cesser de travailler. […] On pourrait du même coup lutter vraiment contre la
paupérisation des familles avec enfant(s) et :

  1. instaurer
    une allocation significative dès le premier enfant
    . Le surcoût
    économique du premier enfant conduit trop de familles à renoncer au
    second pour éviter un supplément de paupérisation relative ;
  2. "familialiser" la CSG qui représente 170 % de l'impôt sur le revenu, c'est-à-dire lui appliquer un quotient familial ;
  3. renforcer
    les aides et l'accompagnement des familles monoparentales, souvent des
    femmes seules avec un ou deux enfants. Un homme sur deux ne paye pas la
    pension alimentaire. Les caisses d'allocations familiales (Caf)
    pourraient être chargés de les recouvrer et de les payer en attendant.
    L'Etat est aussi laxiste vis-à-vis des chauffards de la route familiale
    et sociale qu'il est sévère vis-à-vis des chauffards de la route ;
  4. les
    enfants de fratries ont des chances éducatives moindres que les autres.
    On pourrait systématiser les bourses d'études pour les enfants de
    familles nombreuses des classes moyennes qui souvent n'y ont pas droit.

On
l'a compris, une société responsable et soucieuse de son avenir doit
aider les familles à avoir les enfants qu'elles désirent sans pour
autant se paupériser et leur permettre de les éduquer au mieux. Ce sont
les enfants d'aujourd'hui qui permettront d'assurer les solidarités
intergénérationnelles de demain
. Les familles qui assument leur
responsabilité font faire une énorme économie à la société dans
l'investissement en capital humain. Les 9 millions de familles (dont 1,8
monoparentales) reçoivent en moyenne de la société environ 6 000 euros
par an comme compensation partielle du coût de chaque enfant. Alors
qu'un enfant placé dans une famille d'accueil revient à la collectivité à
30 000 à 40 000 euros, voire 200 000 euros par an quand il s'agit d'un
centre éducatif fermé. Le coût de la non famille est exorbitant pour la
collectivité !
[…]"

Le gender est déjà dans le Plan académique de formation

Lu sur Veille éducation :

"Le député Xavier Breton annonce le retrait de l’amendement Sommaruga / Pompili qui voulait imposer l’enseignement de la théorie du Genre à l’école primaire. C’est le résultat des diverses mobilisations à ce sujet, manifestations, mais aussi des pétitions aux députés lancées par l’observatoire de la théorie du genre (270 000 signatures) et SOS éducation. Mais pendant que les députés amusent la galerie, les formateurs de l’Education nationale formatent en chÅ“ur. Le Plan académique de formation 2013-2014 de l’académie de Versailles prévoit ainsi un module pour aider les enseignants à « ÃŠtre
capable d’éduquer les élèves à la mixité des genres dans le contexte de
l’apprentissage de l’égalité.
 Â» Les formateurs du CEMEA annoncent la
couleur. Pour eux l’homophobie est violente
et s’accroit après les vacances quand  Â« les enfants, …  se laissent
aller à exprimer ce qu’ils entendent dans leurs familles. Â» Ils
affirment aussi que « le mariage religieux entre deux personnes du même
sexe, ce n’est pas directement pour demain ! Â» ce qui laisse penser
qu’il est prévu pour après demain.

Extraits plus larges de la même prise de position :

Le récent débat sur le « mariage pour tous Â» a atteint des sommets dans
la bêtise, … Il faudra trouver les mots pour aider les enfants à
comprendre le sens de l’union entre personnes du même sexe
. … Il faudra
aussi parler de mariage civil et de mariage religieux, parce que le
mariage religieux entre deux personnes du même sexe, ce n’est pas
directement pour demain ! … Parce qu’il nous semble que l’homophobie est de moins en moins latente.
Qu’elle est violente, dans les cours d’école … violente dans les temps
de loisirs et de vacances quand les enfants, partageant plus de temps
quotidien se laissent aller à exprimer ce qu’ils entendent dans leurs
familles. … L’éducation pèse dit-on. Oui, lourdement et longuement. Tout
cela valide l’obligation d’une éducation aux genres.
"

L’école Blanche de Castille ouvre ses portes en septembre 2013 au Mans (72)

L’école Blanche de
Castille est une initiative de parents
, soucieux de l’éducation intellectuelle et
spirituelle donnée à leurs enfants. Désirant offrir aux familles une
alternative à l’enseignement public et privé sous contrat, ces parents ont donc
créé pour la rentrée 2013 une structure libre de choisir sa pédagogie et ses
enseignants dans le but de dispenser une instruction de qualité en harmonie
avec les valeurs morales et spirituelles.

Les méthodes pédagogiques
utilisées dans cette école seront des méthodes logiques, ayant déjà fait leurs
p
reuves. Elles auront pour but à la fois de transmettre aux enfants des notions
claires et précises, de structurer leur pensée et de leur donner des méthodes
de travail efficaces. Elles leur apprendront le sens de l’effort et le goût du
beau et les inciteront à donner le meilleur d’eux-mêmes.

L'école Blanche de
Castille est une école primaire hors-contrat
à enseignement catholique
: tout en étant reconnue et inspectée
par l'Académie, l'école ne reçoit aucune subvention de l'Etat.

 L'école propose une réunion Portes Ouvertes le mercredi 12 juin à 20h45 au 47ter
rue Coëffort, Le Mans.


Accueil de Dominique Bertinotti en Poitou-Charentes, jeudi 6 juin

Programme :

  • 10h45 : Visite de la CAF de Poitiers 5, rue de la Croix-Blanche – 86000 Poitiers
  • 12h00 : Invitée du journal de France 3 Poitou-Charentes
    9, rue du fief des hausses – 86000 Poitiers
  • 14h00 : Visite de la crèche Cap’Vers qui accueille des enfants polyhandicapés Échange avec les personnels et les parents 93 rue des 4 Marie – 79410 Echire
  • 15h00 : Inauguration du multi-accueil Les Collibris en présence de François Fondard,
    Président de l’UNAF et Geneviève Gaillard, Députée maire de Niort Espace Mendes France – 580 avenue de Paris – 79000 Niort

6 juin : conférence sur la théorie du genre à Chantraine

1

Le métropolite de Thessalonique dénonce le carnaval désagréable des LGBT

À l’occasion d’informations mensongères publiées sur internet au sujet de sa position sur la « gay pride Â» à Thessalonique,
prévue les 14 et 15 juin, le métropolite Anthime a publié un
communiqué
:

« Le diocèse métropolite de
Thessalonique, avec beaucoup de tristesse et une inquiétude extrême, est
contraint d’affronter à nouveau, de façon pastorale et dissuasive, la
manifestation désagréable, inacceptable et blâmable, des homosexuels
,
lesquels se préparent à réaliser un festival les 14 et 15 juin et à
défiler à Thessalonique. Ainsi, ils nous démontrent leurs passions sous
la forme d’un carnaval.
»

« C’est cependant la décision de
la mairie de notre ville et celle, du maire lui-même, M. Ioannis
Boutaris. La seule concession accordée par celui-ci suite à notre
entretien, a été que ce rassemblement (…) n’ait point lieu comme prévu
devant les églises Sainte-Sophie et Saint-Grégoire Palamas, mais sur la
place de la liberté, loin des saints édifices. Il est néanmoins de mon
devoir de communiquer à l’opinion publique que suite à une manifestation
semblable dans la capitale géorgienne
ont eu lieu des affrontements et des troubles, de la part du clergé et
du peuple chrétien, lesquels ne voulaient pas d’un tel spectacle
affligeant.
(…) En outre, je vous informe que des hommes et des femmes
de Thessalonique m’ont rendu visite dans les bureaux diocésains et m’ont
transmis un dossier comportant 19.500 signatures vérifiées, par lequel
ils protestent fermement et de façon dynamique contre la présence et la
manifestation des homosexuels
dans notre ville de Thessalonique. Je les
justifie pleinement et je suis d’accord avec leurs opinions. Enfin, je
mentionne que, bien que cette question soit très sérieuse et brûlante,
nous, chrétiens orthodoxes, ne pratiquons jamais la violence. Aussi,
comme évêque, je ne recommanderai jamais les affrontements et les coups
dans la société. (…) En tout état de cause, le mieux serait que le maire
annule définitivement ce carnaval dans notre ville
 Â».

Qualifier l’avortement d’assassinat est une perle du Bac

Intéressant de voir que cette phrase est rangée parmi les perles du Bac 2012…

«Le désir d’enfant pour une femme est naturel, donner la vie est dans l’ordre des choses, c’est instinctif d’avoir une progéniture. Les femmes qui n’en veulent pas, ou pire qui choisissent l’abominable assassinat en avortant, sont donc des êtres pervertis.»

Question immorale : “les parents sont-ils ou non les premiers éducateurs des enfants ?”

Extraits du débat hier à l'Assemblée nationale autour de l'amendement sur l'enseignement de la théorie du genre à l'école :

"M. Xavier Breton. Nous abordons
l’article 31 qui est devenu, en quelques semaines, l’un des
articles vedettes de ce projet de loi, malgré les positions du
Gouvernement et de la majorité. Pourquoi ? Parce que cet article 31 indique les objectifs de
la formation primaire. Un amendement adopté en commission des
affaires culturelles a provoqué de vives réactions. Cet
amendement vise à dire que la formation primaire assure les
conditions d’une éducation à l’égalité de genre.

Il y a eu beaucoup de réactions, dont une pétition en ligne
qui a recueilli 270 000 signatures et qui s’est appuyée
notamment sur les propos de notre collègue Mme Sommaruga. Je
la cite, si elle le permet. En commission, elle indiquait :
« Avec cet amendement, il s’agit de substituer à des
catégories telles que le sexe ou la différence sexuelle, qui
renvoient à la biologie, le concept de genre, qui montre que
les différences entre les hommes et les femmes ne sont pas
fondées sur la nature, mais sont historiquement construites et
socialement reproduites
. Â» […]

Il y a eu un recul au Sénat, puisque nous ne parlons plus de
cette notion de genre, mais d’égalité entre les hommes et les
femmes. C’est un recul appréciable au plan sémantique. […] Il y a eu un recul sémantique mais aussi politique : à la
lumière des débats, la majorité, sentant la pression monter
dans l’opinion, a opéré un recul sur cette notion de genre et
nous nous en félicitons. […]

Mme Barbara Pompili. Nous arrivons à
ce fameux amendement n° 180, qui a fait couler déjà beaucoup
d’encre.

Je tiens en préambule à signaler qu’en démocratie, on doit
pouvoir débattre de tout
[sic ! Y compris de l'avortement ? NDMJ] et utiliser tous les arguments
possibles. […] Je suis
évidemment parfaitement consciente qu’il y a une différence
entre les sexes, et j’en suis d’ailleurs très heureuse. Je
parle simplement du genre, qui est un concept utilisé pour
désigner les différences non biologiques entre les hommes et
les femmes, et, notamment, le comportement attendu en fonction
d’un sexe dans une société donnée, qui est défini par la
société de manière hétéronome sans être aucunement lié à
l’inné ou à ce qui est issu de la nature. On voit donc bien
que c’est totalement différent.

On devrait pouvoir s’interroger sur le fait que les enfants
sont programmés très tôt pour être différents parce qu’ils
sont nés filles ou garçons. Les enfants doivent pouvoir
évoquer au sein de l’école ces stéréotypes selon lesquels, par
exemple, une fille doit être meilleure en français qu’en
maths. C’est inscrit très profondément dans notre culture et
les enfants doivent pouvoir s’interroger là-dessus. L’objectif de cet amendement, c’est de demander à tous
d’avoir une réflexion et pas du tout d’entrer dans des
théories fumeuses. […]

M. Yves Durand,
rapporteur. […] J’aimerais donc vous convaincre,
madame Pompili de retirer votre amendement, avec la même
exigence de vérité et de respect des consciences qui est la
mienne. S’il n’est pas retiré, j’y serai défavorable. […]

M. Vincent Peillon, ministre. […] Nous restons sur la position du Sénat, mais c’est la mission
de l’éducation nationale de lutter, dans l’intérêt même de
notre pays, contre un certain nombre de stéréotypes, y compris
de genre
au sens fille-garçon, qui font par exemple que notre
pays a des résultats excellents pour les filles en terminale
et au baccalauréat scientifiques, et en même temps un déficit
en femmes ingénieurs considérable par rapport à nos voisins
européens. […] Nous avons la
responsabilité, dans les orientations, dans le travail
scolaire, de lutter très activement pour l’égalité entre les
filles et les garçons
. Ce sera l’une des actions de ce
ministère ; elle est engagée et sera conduite avec résolution. […]

Par ailleurs, Xavier Breton a soutenu un autre amendement sur la place des parents dans léducation de leurs enfants :

M. Xavier Breton. Cet amendement
vise à préciser que la formation primaire « accompagne les
familles Â» plutôt que d’inscrire dans le texte qu’elle
s’effectue « conjointement avec la famille Â». En effet, ce
serait placer la famille au même niveau que l’école alors que
je considère que les parents sont les premiers éducateurs des
enfants.
L’école accompagne simplement les familles. Je sais
que la majorité ne partage pas cette opinion et qu’elle n’a
pas voté cet amendement en commission. […]

M. Yves Durand,rapporteur. Avis défavorable à un amendement qui
n’a pas été défendu. […]

M. Vincent Peillon, ministre. Les rapports
avec les familles sont précisément au cœur de la refondation
de l’école avec l’idée, d’ailleurs enrichie par les
parlementaires de la majorité, de coéducation, c’est-à-dire la
possibilité de mieux associer les parents au travail de
l’école. Il n’est pas question de prééminence mais de
l’ouverture de l’école aux parents. On l’a vu concernant les
langues et sur un certain nombre d’autres sujets, le Sénat
ayant encore enrichi le texte en prévoyant des espaces pour
les parents dans les institutions scolaires : nous avons
besoin d’accompagner les parents les plus éloignés de l’école
pour assurer, comme le montrent les études, la réussite des
élèves. Leur réussite devrait être le point de vue autour
duquel devrait revenir le débat. Je déplore à cet instant que
M. Breton se serve d’un débat sur l’école qui concerne douze
millions d’enfants pour régler des comptes avec une loi déjà
votée par la République. […]

M. Xavier Breton. Monsieur le
ministre, selon vous, les parents sont-ils ou non les premiers
éducateurs des enfants ?
Pour nous, c’est oui. On attend votre
réponse. Elle est importante de la part d’un ministre de
l’éducation nationale.

Plusieurs députés du groupe SRC. C’est une question
immorale !
"

Théorie du Genre à l’école: le Conseil de l’Europe est saisi.

De Grégor
Puppinck, Directeur du European Centre for Law
and Justice :

"Le Comité des Ministres du Conseil de l’Europe a été saisi le 4
juin 2013 d’une question
écrite
mettant en cause la volonté du gouvernement français de « déconstruire
les stéréotypes de genre Â» au moyen de l’école et ce dès l’âge de 6 ans.

Le Comité des Ministres du Conseil de l’Europe regroupe les ambassadeurs
des 47 Etats membres du Conseil de l’Europe. Il exerce notamment un rôle de
surveillance du respect par ces Etats de la démocratie, des droits de l’homme
et de l’Etat de droit. L’auteur de cette question est M. Luca Volontè, député
italien, Président du groupe PPE (centre-droit) à l’Assemblée Parlementaire du
Conseil de l’Europe (APCE). En avril, il
avait saisi cette même instance au sujet la répression policière des grandes manifestations
pour la défense de la famille
.

Cette question dénonce le caractère idéologique de la théorie du
genre et la violation des droits des enfants, des parents et des
enseignants
qui résulte de son enseignement obligatoire. Elle expose le
gouvernement français à la critique des autres gouvernements européens afin de
le contraindre à la retenue dans la mise en œuvre de son projet.

Il faut noter que la suppression éventuelle du mot « genre Â» du texte
final de la loi Peillon sur l’école n’affectera pas la volonté du gouvernement
d’utiliser l’école pour « déconstruire les stéréotypes de genre Â» ;
la vigilance devra donc s’exercer en toutes hypothèses sur la mise en œuvre
pratique de cet « enseignement Â».

Le Comité des Ministres devra apporter une réponse écrite et circonstanciée
à cette question dans les prochaines semaines
. A cette fin, il devra demander
au gouvernement français d’exposer son projet et les moyens qu’il entend mettre
en œuvre à cette fin.

Voici le texte de la question écrite déposée (Question écrite No. 638
au Comité des Ministres | Doc. 13222 | 04 juin 2013)

Déconstruction
obligatoire des « stéréotypes de genre » et violation des droits des parents

par : M.
Luca VOLONTÈ
, Italie, PPE/DC

Le Gouvernement français a entrepris d’imposer, dès la rentrée scolaire
2013, à tous les enfants âgés de 6 ans et plus, au sein des écoles publiques et
privées (même confessionnelles), un nouvel enseignement sexuel obligatoire
adoptant l’approche de la « théorie du genre Â». Ce projet gouvernemental provoque une immense inquiétude parmi les
parents d’élèves et les enseignants.

Présenté sous
couvert de promouvoir l’égalité sexuelle et de lutter contre l’homophobie, le
but de cet enseignement est de « substituer à des catégories comme le sexe
(…) le concept de genre qui (…) montre que les différences entre les hommes et
les femmes ne sont pas fondées sur la nature, mais sont historiquement construites
et socialement reproduites Â» (Mme Julie Sommaruga, députée, Commission des
affaires culturelles de l’Assemblée nationale, 28 février 2013). Dans sa lettre
aux recteurs d’Académie du 4 janvier 2013, le ministre français de l’Education
nationale, M. Vincent
Peillon, a déclaré que « le gouvernement s'est engagé à s'appuyer sur la
jeunesse pour changer les mentalités». Selon lui, le but de l’école est « d’arracher l'élève à tous les
déterminismes, familial, ethnique, social, intellectuel. Â» (L’Express, 2 septembre 2012).

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