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Culture de mort : Avortement / Liberté d'expression

Avortement : Ne laissez pas un État totalitaire penser à votre place

Jeudi 1er décembre, des jeunes de SOS Tout-Petits étaient rassemblés devant la fontaine des Innocents, au cœur du quartier du Marais à Paris, pour dénoncer l’aberrante proposition de loi discutée à l'Assemblée nationale, sous le nom de « délit d'entrave numérique à l'avortement », et dont l'objectif réel, est de censurer sur Internet les opposants à l'avortement !

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Dans notre pays qui se dit le défenseur des droits de l'Homme et de la liberté d'expression, nous assistons à la mise en place d'une véritable police de la pensée unique caractéristique des régimes les plus totalitaires ! Alors que chaque année en France 220 000 enfants ne verront jamais le jour, il est capital de rappeler que l'avortement est – et restera toujours – un drame, autant pour l'enfant avorté, que pour ses parents, auxquels on veut même aujourd'hui interdire d'exprimer leur souffrance !

Le gouvernement doit savoir que nous ne sommes pas prêts à nous taire, ni sur Internet, ni ailleurs ; que nous ne cesseront jamais de donner une voix à ceux qui n'en ont pas, à ceux qui n'en auront jamais à cause de la volonté complice des élites qui ont déjà sur leurs mains le sang de ces innocents. Car nous ne sommes pas dupes : ce n'est pas une coïncidence si, plutôt que de s'occuper des problèmes qui le concernent, le gouvernement s'acharne à lutter contre la vie humaine, jusqu'à vouloir censurer toute critique de l'avortement; mais c'est plutôt la preuve d'une volonté avouée de promouvoir l'avortement à tout prix, sous la pression des puissances financières à l'idéologie pro-mort !

Malgré la loi, nous continuerons à crier, à crier la vérité sur le drame qu'est l'avortement, à dire à toutes les futures mamans de France que tuer l'enfant qui est en elle ne sera jamais une solution, et que recevoir la vie est un don qu'il faut protéger et défendre !

Hier, tenter de dissuader une femme d'avorter était puni de deux ans de prison et 30 000 euros d’amende. Aujourd'hui, on veut élargir cette peine à Internet, on veut taire à tout prix la souffrance des femmes. Alors quoi ? Demain, le simple fait de se poser des questions vis à vis de l'avortement nous enverra aussi en prison ? Intéressez-vous à cette question ! Ne laissez pas un État totalitaire penser à votre place ! Ne vous laissez pas guider par la fatalité, rejoignez notre combat pour la Vie !

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