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Culture de mort : Avortement / Culture de mort : Euthanasie / Marche pour la Vie

Avortement, euthanasie, GPA : même logique de la culture de mort

Encore un argumentaire d'un défenseur de la culture de mort qui justifie l'avortement, l'euthanasie et la GPA au nom de la liberté. . :

"(…) les deux députés missionnés sur le sujet délicat de la fin de vie ont proposé la création d’un «droit à mourir», qui permet de contourner les faux débats sur l’euthanasie. C’est en se mettant au service de l’individu et de sa liberté de choix (…) que l’Etat se trouve dans son rôle légitime (…)

Dans la foulée, le Conseil d’Etat a validé la circulaire Taubira, qui permet aux enfants nés sous GPA à l’étranger d’obtenir la nationalité française. Plutôt que de laisser maladroitement émerger une génération de bébés Thalys, pourquoi ne pas aller jusqu’au bout de cette logique, en créant non pas un obscur droit à l’enfant, mais un véritable droit à naître, qui s’appliquerait au futur enfant en tant que projet parental? (…)

Plus prosaïquement, il est difficile d’être libéral et de s’opposer à la gestation pour autrui, une pratique qui ne nuit à personne, repose sur le libre consentement d’individus majeurs, et reste dissociée des questions de filiation (…) Après le droit à mourir, le droit à naître remettrait la France, trop souvent condamnée par la Cour européenne des droits de l’Homme, au premier rang de l’innovation politique et sociale. Vive la vie (sic) !

Notez que la GPA est rebaptisée "droit à naître" tandis que l'avortement reste une liberté fondamentale… Allez comprendre la logique de ces tordus.

Pour manifester votre opposition à l'avortement et à toutes les dérives éthiques qui en découlent (euthanasie, GPA etc…), rejoignez nombreux la Marche pour la Vie le 25 janvier 2015 !

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3 commentaires

  1. « Plutôt que de laisser maladroitement émerger une génération de bébés Thalys, pourquoi ne pas aller jusqu’au bout de cette logique, en créant non pas un obscur droit à l’enfant, mais un véritable droit à naître, qui s’appliquerait au futur enfant en tant que projet parental? (…) »
    Mais quelle aberration ! Quel langage délibérément faux et trompeur ! Tout enfant a évidemment toujours un droit à naître, par sa simple existence. Il ne s’agit pas de le créer, il s’agit de le reconnaître en refusant des avortements de conforts liés à l’égoïsme de la mère.
    Tout enfant que porte une femme est toujours en même temps l’enfant d’un homme. Tout enfant a un seul père et une seule mère et il a le droit incontestable de connaître ses géniteurs. Même avec le consentement de ceux-ci, les « bébés Thalys » ne doivent pas être enlevés à leurs véritables et seuls parents. Agir autrement est un déni des droits de l’enfant.
    Concevoir un enfant pour le donner ou pour le vendre n’est ni plus ni moins que du trafic d’être humain. C’est considérer une personne comme une chose dont on peut disposer à sa guise.

  2. « Plus prosaïquement, il est difficile d’être libéral et de s’opposer à la gestation pour autrui, une pratique qui ne nuit à personne, repose sur le libre consentement d’individus majeurs, et reste dissociée des questions de filiation (…) »
    Comment est-il possible d’être aussi mauvaise foi !! La pratique nuit d’abord à l’enfant qui est arraché à sa mère avec laquelle il a pendant neuf mois établis les relations les plus étroites qui puissent exister. Il lui est refusé de construire avec sa vraie mère et son vrai père les relations que tout autre enfant a le droit de construire. On lui impose, sans aucunement demander son avis un ersatz de relation qui ne sera jamais une relation de sang.
    Cela nuit évidemment à la mère à qui on impose, pour des questions d’argent, de se séparer de l’enfant qu’elle a porté. Quand on voit la réalité des situations, il ne s’agit pas d’altruisme, mais d’une relation commerciale dans laquelle la future mère s’engage sans en connaître le prix réel qu’elle aura à payer, physiquement (car une implantation d’embryon n’est pas un chemin de rose), psychologiquement (car elle ne peut pas savoir ce qu’il lui en coûtera avant de l’avoir vécu), relationnellement (car elle ne sait pas comment son mari ou ses autres enfants réagiront à cette grossesse), socialement (car elle ignore quelle sera la réaction de la société et quel impact cela aura sur sa carrière à elle, qui favorise la carrière d’une autre).
    C’est vraiment un marché de dupe, qui ne sert que à engraisser les intermédiaires. C’est l’exploitation de la misère d’une très jeune femme qui ne voit pas d’autre moyen de s’en sortir.
    Cela nuit évidemment aux acheteurs ou aux acquéreurs qui se rabaissent au niveau de trafiquants d’être humain, qui se placent dans une situation de fausseté et de mensonge vis à vis de la société et de l’état civil. Cette situation de fausseté corrompt définitivement toute relation qui s’est construite sur un mensonge intenable.
    Quant à la question de la filiation, elle est précisément honteusement évacuée, au nom d’un droit à reconstruire la vie de l’enfant sur une fiction qui le poursuivra toute sa vie.

  3. La logique de ces tordus est on ne peut plus simple : c’est celle de Satan qui s’en prend à La Vérité par tous les moyens qu’il peut, quelqu’en soient les contradictions !
    A nous de le combattre inlassablement … ONLR

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