Voici des extraits de débats au Parlement européen sur l’avortement. Ces débats en commission parlementaire du 25 mars ont préparé le vote sur un projet de résolution pro-IVG, qui a lieu en commission des droits des femmes les 10 et 11 mai et en plénière lors de la session du 23-24 juin.
estebe
elles nous préparent une société gérée par la mort, une société où l”enfant n’est plus qu’un produit. Marchandisation des corps, avortement, quelle perte de valeur, quelle inversions des valeurs, quel égoisme. Prions pour femmes.
estebe
ces femmes
Dawid
Au-delà des formules idéologiques creuses et toutes faites que débitent ces pauvres femmes, ce qui me frappe le plus, c’est l’effrayante laideur des expressions de leurs visages, véritables masques de haine froide, entretenue depuis trop longtemps pour continuer à passer inaperçue…
Haizkolari
Le projet est clair. C’est l’établissement du “Meilleur des Mondes” de Huxley.
AFumey
Une précision qui peut présenter un intérêt: ajustement de l’espérance de vie (à la naissance) dans les pays occidentaux.
Si on prend – légitimement – en compte les avortements dans le calcul de l’espérance de vie, la formule utilisée (voir par exemple https://fr.wikipedia.org/wiki/Esp%C3%A9rance_de_vie_humaine) montre qu’il faut multiplier l’âge obtenu par la proportion d’enfants nés.
Pour les dernières années, l’Ined donne le nombre d’avortements pour 100 naissances (source https://www.ined.fr/fr/tout-savoir-population/chiffres/france/avortements-contraception/avortements/) : 2016: 26,6; 2017: 27,9; 2018: 29,1; 2019: 30,4.
Par exemple en 2016, la proportion d’enfants tués est de 26,6 / 126,6, soit 0,21 ; la proportion prise en compte pour la survie la première année (p0 de 0,3%) ne prend pas en compte les enfants tués. L’espérance de vie réelle doit donc être multipliée par le complément (0,79 pour 2016); une espérance indiquée de 80 ans, par exemple, devient en réalité 63,2. Je laisse les lecteurs effectuer les autres calculs.