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Culture de mort : Avortement / Sciences

Quelles sont les causes de l’évolution des maladies du système nerveux chez les femmes ?

Le Credes, organisme financé par la sécurité sociale d’évaluation des dépenses de santé, a suivi l’évolution de la morbidité des hommes et des femmes de France pendant quarante ans. Ces chiffres n’ont pas fait l’objet de commentaires. Au contraire le Credes s’est plongé dans des recherches variées diversifiées beaucoup moins spectaculaires. Il n’y a même pas eu de tentative de critique. Le silence de mort s’est achevé par un enterrement surprenant : le Credes a été transformé en IRDES et les enquêtes décennales ont disparu de Google depuis. Une enquête auprès de l’Irdes est restée vaine.

La loi Veil demandait qu'un bilan devait être fait par le corps médical sur les conséquences de l'avortement : or non seulement les promesses de justification de la loi qui devaient être appuyées par le principe de dissuasion à l'IVG n'ont pas été suivies, mais les conséquences de l'avortement ont été occultées. La preuve nous est donnée par l'absence de réflexion sur les statistiques du CREDES, manifestant un bouleversement de la santé des femmes exposées par la pilule et l'avortement. Impossible de retrouver les traces d'un ouvrage intitulé "40 ans d'enquête décennale du CREDES". A ce jour il n'y a pas d'explication sur la terrible évolution de morbidité qui a fait multiplier par 20 les maladies du système nerveux chez la femme de 1970 à 1980 et par 28 de 80 à 91 dans la tranche d'âge aux capacités de procréer en 1970.

Si cet ouvrage retraçant 40 ans d’enquêtes décennales du Credes est introuvable, l'un de nos lecteurs a découvert en 2000 ces statistiques et a constaté que le sytème nerveux et l'appareil génito-urinaire ont été bouleversés par une aggravation sans doute jamais connue dans l’histoire humaine. La dizaine des autres pathologies n’a eu que des variations modérées voir réduites.

Cette évolution qui affecte l’appareil génito urinaire coïncide avec l’évolution de la sexualité. Il est fort probable qu’elle corresponde à la contraception chimique et à l’accroissement des avortements. On comprend que ces statistiques accusant l’évolution et la compromission de la santé publique soient restées dans l’ombre puis gommées de l’internet.

Ce lecteur a néanmoins sauvé des copies d’écran. Cette situation met en cause la vigilance sanitaire de la santé publique qui est actuellement sur la sellette avec la question de la maladie de lyme chronique, scandale sanitaire étouffé qui montre la supériorité de la vigilance des malades sur les experts médicaux. Nous avons 30 ans de retard sur ce sujet, à propos duquel on est loin d’avoir fait les comptes du coût humain et économique.

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