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Culture de mort : Euthanasie

Elle refuse de débrancher son mari, elle a bien fait

Voilà un fait divers qui tombe bien, alors que la proposition de loi Claeys-Leonetti doit être examinée par le Sénat.

"Matt et Danielle Davis sont un couple heureux. En décembre 2010, ils s’unissent à Savannah aux Etats-Unis mais sept mois plus tard, Matt est victime d’un terrible accident de moto qui le plonge dans le coma. Les séquelles sont lourdes, les médecins recommandent à sa femme de le débrancher. « Ils me disaient que c’est ce qu’ils voudraient s’ils étaient dans le cas de Matt », raconte la jeune femme à la télévision locale américaine.

Mais Danielle s’y refuse catégoriquement. Sept jours sur sept, 24 heures sur 24, la jeune femme va s’occuper de son mari. Un jour, après trois de coma, elle glisse dans la main de Matt un chapeau en lui demandant de le mettre sur sa tête. Miracle, il lui répond « J’essaie ». Matt Davis est sorti du coma. Seul problème, sa mémoire a été touchée, il ne se souvient plus qu’il est marié à Danielle. Aujourd’hui, il en plaisante. Il assure que c’était une surprise agréable quand il a appris les détails de son ancienne vie. […]"

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4 commentaires

  1. Moi aussi, j’ai été dans le coma pendant ma grossesse, et le gynécologue croyait que mon fils ne vivait plus. Je l’entendais dire à ma famille que mon fils était mort et qu’il fallait faire un curetage. Moi, je les entendais, mais comme j’étais dans le coma, je ne pouvais rien faire. Révoltée par ce qu’il disait que mes proches acceptaient comme parole d’Évangile, je sortais de mon coma et la première chose que je leur disais était que mon fils était vivant, que je le savais, que j’en étais sûre, et ce, avec des yeux de flammes qui auraient fait reculer Lucifer : intuition et amour de mère, plus forts que la science sans conscience du XXe siècle, et que jamais on ne me ferait un curetage. Mon fils a 36 ans.

  2. Merveilleuse Dofiar, merci de nous révéler ce fait majeur de votre vie, j’imagine. Avis à tous les débrancheurs et autres sédateurs profonds!

  3. Souvenons-nous de cette femme qui était, elle aussi dans le coma, et qu’un médecin voulait débrancher et prenait comme exemple qu’elle ne vivait plus en lui pinçant fortement le bout des seins et disant : voyez, elle ne réagit pas.
    Quelque temps plus tard, elle ouvre les yeux et dit au médecin en question ce qu’il lui a fait.
    Là aussi heureusement que la famille ne l’a pas crue !
    De tels exemples sont hélas nombreux.

  4. prions pour TOUS LES AUTRES encore dans le coaltar

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